Les services financiers font tourner l'économie canadienne
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Le cabinet d’experts-conseils spécialisé en technologie et en transformation des processus d’affaires ouvre son premier bureau francophone.

Pour diriger celui-ci à titre de directeur général, Slalom s’est tourné vers Lionel Pimpin, qui occupait jusqu’en décembre le poste de premier vice-président, Canaux numériques, Stratégies particuliers et entreprises à la Banque Nationale.

Montréal se positionne comme un centre névralgique pour la recherche et l’innovation en intelligence artificielle. Elle semble donc être la place idéale pour Slalom qui compte bien contribuer à l’innovation technologique.

« Au cours des derniers mois, nous avons eu le plaisir de collaborer avec l’équipe de Slalom afin de concrétiser l’ouverture de ce nouveau bureau à Montréal. Cela démontre à quel point, malgré la pandémie, la grande région montréalaise est une destination de choix pour les entreprises de partout dans le monde. La preuve : Montréal International a accompagné une valeur record d’investissements étrangers au cours du premier semestre de l’année », souligne Stéphane Paquet, président-directeur général de Montréal International, l’agence de promotion économique du Grand Montréal.

« Il était crucial pour nous d’établir une présence locale afin de soutenir notre clientèle. Avec des clients établis à Montréal, nous avons aidé de nombreuses industries, notamment le secteur manufacturier, les services financiers, le commerce de détail et les télécommunications. Cela nous permet de nouer des relations étroites avec nos clients et nos partenaires, y compris Salesforce, AWS, Microsoft et Google », indique Wayne Ingram, directeur général du Canada, chez Slalom.

D’ici la fin de l’année, l’équipe de Slalom à Montréal comptera une quarantaine de personnes et d’ici cinq ans, elle devrait compter 200 consultants environ.

Pour soutenir ses initiatives d’embauche et de formation, le cabinet peut d’ailleurs compter sur une subvention de 504 405 $ du Ministère du travail. Ces fonds seront notamment utilisés pour former jusqu’à 80 nouveaux employés au cours des deux prochaines années.

« Les emplois dans le domaine des nouvelles technologies sont très recherchés. Ce sont des emplois de qualité qui sont bien payés et qui requièrent une main-d’œuvre qualifiée. Votre gouvernement consolide la relance économique du Québec en soutenant le développement des compétences par la formation continue de nos travailleuses et travailleurs, notamment dans des domaines de pointe comme les TIC », commente Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la Mauricie.