Une femme assise à un bureau devant un ordinateur. Elle écrit sur un bloc note.
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Alors que la pandémie sévit maintenant depuis près d’un an, la majorité des Québécois (70 %) avouent être incertains quant aux mesures à prendre concernant leurs placements et 33 % disent avoir tout gelé en raison de l’incertitude latente, selon un récent sondage de la Banque Scotia.

Pourtant, plus de la moitié des sondés (59 %) estiment que les perspectives sur le marché sont bonnes. La plupart avouent que l’arrivée du vaccin a eu un impact positif sur leur niveau de confiance à l’égard des marchés. Toutefois, les investisseurs de la belle province restent prudents. Un cinquième d’entre eux préfèrent attendre avant d’investir la totalité de leur épargne en raison de l’incertitude.

« Les Québécois continuent de subir les conséquences financières de la pandémie, et il est tout à fait normal qu’ils soient inquiets, explique Geneviève Brouillard, première vice-présidente régionale, Québec et Est de l’Ontario. Il est plus important que jamais de les accompagner pour qu’ils atteignent leurs objectifs financiers. »

Afin d’aider les investisseurs, Geneviève Brouillard suggère :

  • D’établir des objectifs financiers clairs et de mettre en place une stratégie de placement en conséquence;
  • D’obtenir des conseils financiers d’un professionnel qui sera capable de calculer la tolérance au risque, l’horizon temporel et les options de placements de son client.

La retraite, au centre des préoccupations

Avec la pandémie, nombre de Québécois se sont mis à douter de leur plan de retraite. La majorité des sondés (72 %) craignent ne pas avoir assez épargné pour leurs vieux jours. Parmi ceux-ci, environ le tiers d’entre eux (32 %) pensent qu’ils seront obligés de repousser leur retraite et 28 % pensent qu’ils ne seront pas en mesure de rembourser toutes leurs dettes d’ici là.

Toujours selon le sondage, seul un Canadien sur trois planifient de cotiser à un REER en 2020 et 47 % prévoient cotiser à un CELI.

« Lorsqu’il est question d’avenir financier, il est important de veiller à faire fructifier son argent, commente Geneviève Brouillard. Le conseiller évalue la situation financière du client et dresse un plan qui l’aidera à atteindre ses objectifs, en plus de répondre à ses préoccupations. »

Ce sondage a été réalisé en ligne auprès de 1523 Canadiens par Maru/Blue les 5 et 6 janvier 2021 pour le compte de la Banque Scotia.