Karine Précourt

Diplômée en droit et membre du Barreau du Québec, Karine Précourt détient également un diplôme de maîtrise en fiscalité et un autre en administration des affaires.

Karine Précourt a amorcé sa carrière en œuvrant en fiscalité et en droit corporatif auprès de différents cabinets d’avocats de la région de Montréal, de 2006 à 2009, avant d’être recrutée à titre de conseillère principale en fiscalité canadienne par Raymond Chabot Grant Thornton. « En plus des dossiers classiques d’un bureau de comptables, j’ai été initiée à l’écriture, aux présentations publiques et à la gestion de dossiers, dit-elle. J’ai aussi été confrontée aux besoins réels des clients, tant les particuliers que les sociétés ».

« J’avais l’impression que de très nombreuses personnes géraient leurs affaires à l’aveugle. Je sentais que ma voie se précisait », ajoute-t-elle.

En 2013, elle se joint à Standard Life à titre de directrice régionale en planification fiscale et successorale. « Lorsqu’on m’a proposé un emploi dans le milieu financier qui consistait à mener à temps complet les mêmes activités de formation et de représentation que je réalisais chez RCGT à temps partiel, j’ai accepté d’emblée », explique Karine Précourt.

Puis, à la suite de l’acquisition de Standard Life par Manuvie, « ce fut l’aventure dans le monde de l’assurance ». On y trouve des produits détenus par un grand nombre d’investisseurs, « mais dont très peu en connaît les avantages et les limites », lance-t-elle.

Lorsque Placements Mackenzie lui propose un emploi en mars 2016, Karine Précourt accepte avec plaisir de relever ce nouveau défi. Il comporte une dimension de gestion de dossiers et de projets, et davantage de relations avec les conseillers en services financiers et leurs clients, ce qui l’a beaucoup intéressé.

« Jusqu’à maintenant, il n’y a pas eu de décision déterminante dans ma carrière. Mes décisions ont été une suite logique et cohérente », affirme Karine Précourt, qui est membre de l’Association de planification fiscale et financière (APFF) et de la Fondation canadienne de fiscalité (FCF).

Au sujet de Placements Mackenzie, elle ajoute : « L’emploi me permettait de concilier finances, droit, fiscalité et gestion dans un contexte de relations directes avec la clientèle. Il n’est pas facile de trouver un emploi qui permette de concilier tous ces domaines de connaissances et, en plus, de placer le fiscaliste plus près du coeur des opérations ».

Certaines personnes pensent que les compétences peuvent être acquises « sur le tas » mettant en évidence l’adage qui dit « on devient forgeron en forgeant ». Si cela était vrai il y a 25 ans, je suis d’avis qu’aujourd’hui, les pratiques professionnelles comportent tellement de règles et d’exigences que « compétence » est indissociable de « connaissances avancées », affirme Karine Précourt. Elle ajoute : « C’est la voie que j’ai choisie de suivre pour supporter les conseillers en services financiers et leurs clients ».