Après s'être contractée en novembre et en décembre, l'économie canadienne a renoué avec la croissance avec une progression généralisée en janvier, alimentée par les secteurs de la fabrication et de la construction, qui ont contrebalancé la faiblesse de celui des ressources.
Un rapport mitigé sur la croissance a "surpris" la Banque du Canada, alimenté les doutes sur de futures hausses des taux d'intérêt et a amené la banque centrale à prévenir les Canadiens que le marasme actuel pourrait se révéler plus persistant que prévu, a indiqué l'une des principales responsables de la banque.
L'économie américaine a continué de croître en janvier ainsi qu'en février, selon la Réserve fédérale, qui ajoute toutefois que la moitié du pays a subi les contrecoups la fermeture partielle du gouvernement pendant 35 jours.
L'économie canadienne a crû à une cadence annualisée de 0,4 pour cent au cours des trois derniers mois de 2018, le pays ayant affiché sa plus faible progression trimestrielle depuis le milieu de 2016, a indiqué vendredi Statistique Canada.
La réduction du nombre d’entreprises québécoises émettant des actions à la Bourse pour se financer n’inquiète pas Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation du Québec. Si les sociétés parviennent à trouver les capitaux dont elles ont besoin, le gouvernement n’a pas à intervenir, a-t-il dit vendredi à Montréal lors d’une allocution organisée par Québec Bourse.
Le milliardaire Warren Buffett soutient que l'entreprise qu'il a bâtie au fil de décennies d'acquisitions continue à bien se porter, même s'il peine depuis quelque temps à trouver des transactions majeures à des prix intéressants.
Le patron de la Banque du Canada estime que le taux directeur est suffisamment bas, à son niveau actuel de 1,75 %, pour avoir un effet stimulant sur l'économie.
Le gouvernement du Québec se dirigerait vers un surplus plus important que prévu pour l'année financière 2018-2019.
La Réserve Fédérale (Fed) a annoncé qu’elle ferait désormais preuve de prudence et suivrait l’évolution des données économiques pour « ajuster » son taux directeur.
ZONE EXPERTS – Le chef de la Réserve Fédérale des États-Unis (Fed) a de nouveau fait preuve de transparence le 30 janvier dernier, évoquant clairement son intention de demeurer patient en matière de hausse du taux directeur. Il compte y recourir seulement dans le cas où l’économie montrerait des signes d’inflation ou de surchauffe. Ce qui n’est pas le cas présentement!