La chroniqueuse Mary Hagerman présente l'un de ses principaux portefeuilles de fonds négociés en Bourse (FNB) et explique comment elle l'a utilisé pour faire des dons à des œuvres caritatives.
Toutefois on constate une baisse significative des dons en général.
Rappelez à vos clients de le demander.
ZONE EXPERTS - On entend fréquemment parler des résultats prometteurs obtenus par telle ou telle équipe de chercheurs, particulièrement dans le domaine de la santé et du rappel des besoins de financement. En cette période sans précédent, il se pourrait que le moment soit propice à une révision des affaires financières, de la planification successorale, testamentaire et de fait, des objectifs philanthropiques.
C'est le moment de l'année où des dépliants montrant de rayonnantes jeunes filles qui tiennent des bébés chèvres arrivent dans les boîtes aux lettres. Où des publireportages soulignant les besoins de la recherche pour le cancer sont diffusés à la télévision. Où des collectes pour une banque alimentaire sont annoncées sur les réseaux sociaux.
Malgré la COVID-19.
ZONE EXPERTS - Pendant la pandémie causée par la COVID-19, le rôle joué par les organismes de bienfaisance n’a jamais été aussi important. Qu’il s’agisse de s’assurer que les travailleurs essentiels disposent d’un équipement de protection individuelle suffisant ou d’aider les Québécois à traverser une crise économique jamais vue auparavant, les organismes de bienfaisance ont joué, depuis le tout début, un rôle de première ligne dans cette pandémie.
Faire des dons à un organisme de bienfaisance enregistré est une action noble. Sans compter sur le fait que venir en aide à une bonne cause s’accompagne d’un crédit d’impôt très avantageux.
La valeur des dons a atteint près de 10 milliards de dollars (G$) en 2018.
ZONE EXPERTS - Les incitatifs fiscaux permettent de soutenir une bonne partie du financement des organismes de bienfaisance enregistrés (« OBE »).