Une photo du sigle RBC.
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RBC a promis de fournir 500 milliards de dollars (G$) d’ici 2025 en finance durable dans le cadre de sa stratégie climatique. Rappelons que l’institution avait initialement promis de verser 100 G$, une somme atteinte en 2020.

« Le changement climatique est l’un des enjeux les plus pressants de notre époque. C’est pourquoi il est essentiel que nous collaborions plus étroitement avec nos clients, nos pairs, les autres secteurs d’activité économique et les paliers de gouvernement pour contribuer à bâtir une économie durable pour les générations futures », dit Dave McKay, président et chef de la direction de RBC.

En plus de cette nouvelle cible de financement, RBC s’engage à devenir carboneutre d’ici 2050 conformément à l’Accord de Paris et adhère au Partnership for Carbon Accounting Financials (PCAF) et au Center for Climate-Aligned Finance du RMI.

RBC promet également de mesurer et déclarer les émissions découlant de ses activités de financement dans certains secteurs clés. Ces informations seront publiées dans le rapport de son Groupe de travail sur l’information financière relative aux changements climatiques (GIFCC) prévu pour 2022.

Pour atteindre ces objectifs ambitieux, RBC compte se fixer des objectifs intermédiaires qui l’aideront à réduire progressivement les émissions découlant de ses activités de financement et prévoit élaborer des programmes de simulation de crise liés au climat. L’institution compte également réduire de 70 % ses émissions de gaz à effet de serre (GES) ; et s’approvisionner en électricité entièrement auprès de sources renouvelables et non émettrices de GES d’ici 2025.

« Notre stratégie climatique actualisée renforce le rôle important que RBC doit jouer pour aider ses clients et les collectivités à effectuer la transition vers une économie à zéro émission nette d’ici 2050. Notre engagement à faire progresser les objectifs de nos clients en matière d’ESG et à accélérer les progrès réalisés par la société à cet égard repose sur notre conviction que les capitaux peuvent être un facteur de changement positif », assure Dave McKay.