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La succursale canadienne de la Silicon Valley Bank ne fait pas partie de la transaction qui a vu First Citizens acquérir la majeure partie de la banque américaine en faillite, révèle un document réglementaire.

Le document 8-K enregistré aux États-Unis montre que les divisions canadienne, allemande et hongkongaise de la Silicon Valley Bank seront plutôt disponibles en option pour First Citizens.

L’organisme de réglementation bancaire du Canada a décidé de saisir les actifs canadiens de la Silicon Valley lorsque la société mère s’est effondrée, puis a obtenu une ordonnance de liquidation conçue en partie pour faciliter une éventuelle transition des activités de la division canadienne.

L’ordonnance de liquidation rendue par la Cour supérieure de justice de l’Ontario fournit également le cadre d’une future liquidation si aucune autre option n’est possible.

PricewaterhouseCoopers, qui a été nommée par le tribunal pour superviser la transition, n’a pas répondu à une demande de commentaires sur la façon dont la vente à First Citizens, annoncée dimanche soir, pourrait affecter la division canadienne.

La division canadienne de la Silicon Valley Bank a été particulièrement active dans le financement de démarrage pour le secteur technologique canadien, mais ses actifs et la quasi-totalité de ses dépôts ont été transférés à une nouvelle « banque-relais à services complets » créée par les autorités réglementaires américaines dans le cadre de leurs efforts visant à maintenir le déroulement des activités américaines.