Ainsi, selon l’étude, en cas d’urgence, 35 % des Canadiens contractent un petit emprunt ou payent avec leur carte de crédit. Ce chiffre monte à 43 % chez les Canadiens qui vivent de chèque de paye en chèque de paye.
« Personne n’est à l’abri de difficultés financières et d’urgences inattendues. La question n’est pas de savoir si, mais quand. Cela peut arriver à n’importe qui, a déclaré le directeur général de Refresh Financial, Michael Wendland. Cette étude montre combien de Canadiens sont sous-préparés aux urgences financières lorsqu’elles surviennent. »
Ainsi, 53 % des Canadiens vivent grâce à leur chèque de paye, et près de 20 % ont du mal à s’en sortir. Une proportion de 14 % des personnes interrogées a déclaré s’être déjà retrouvée dans une situation financière précaire, telle que la faillite.
Ce sondage a été commandé par Refresh Financial, une fintech canadienne basée en Colombie-Britannique, et a été réalisé par Léger. Il a été effectué en ligne auprès de 1901 Canadien. Sa marge d’erreur est de +/- 2,2%, 19 fois sur 20.