Les courtiers veulent que davantage de représentants en aient un.
C'est l'avis des conseillers sur le programme de relève de leur firme.
Les clients en ont besoin d'un. À l'industrie d'en faire plus.
ZONE EXPERTS - Vous avez peut-être récemment entendu, au loin, un court bruit sourd assimilable à la paume d’une main heurtant violemment un front, suivi d’un juron traditionnel québécois.
En supposant que les vaccins ferment la voie à la COVID-19 et à ses variants, la nouvelle normalité des conseillers se conjuguera alors avec le verbe « hybrider ».
Celui de l'AMF a ses détracteurs et ses promoteurs.
On redoute son coût sur le secteur du courtage indépendant.
La technologie est souvent en cause.
Le soutien des firmes a été à géométrie variable.
Le jeune dirigeant veut implanter de nouveaux outils.