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Une mauvaise nouvelle pour les conseillers.

Une bonhomme avec un ordinateur pour tête. Sur l'écran de celui-ci, on voit un point d'interrogation.

ZONE EXPERTS - Le conseil automatisé est vite devenu une solution simple et peu coûteuse : on peut encore parler d’une sorte de révolution. À titre d’exemple, l’un des plus connus créé en septembre 2014 a maintenant près de 3 milliards d’actifs sous gestion. (1)

Bien que la fintech ait considérablement évolué au cours des dernières années, elle continue de changer rapidement et les tendances actuelles vont probablement céder rapidement le pas à d’autres, tandis que les leaders existants mûriront et se diversifieront et que de nouveaux leaders innovants émergeront.

Un homme d'affaire devant un ordinateur montrant des graphiques financiers.

CI Financial fera l'acquisition d'une participation majoritaire de WealthBar Financial Services, un chef de file canadien offrant une plateforme en ligne de gestion du patrimoine et de planification financière.

PRODUITS - La London Life annonce le lancement des Portefeuilles gérés Constellation, un programme de gestion des actifs destiné aux conseillers de la Financière Liberté 55 et à leurs clients, de même que des fonds Parcours, exclusivement offerts par l'intermédiaire des Services d'investissement Quadrus.

Une main de robot écrivant sur un clavier d'ordinateur.

Il vise à rendre les conseillers plus efficaces.

un homme d'affaire tenant un téléphone sur lequel on voit un robot qui lui parle

La Banque Royale du Canada (RBC) a déployé son service de conseiller-robot dans tout Canada, alors que de plus en plus de consommateurs se tournent vers des options d'investissement numériques à moindre coût.

La fintech montréalaise Koïos Intelligence développe actuellement une application, appelée Olivo, qui pourrait révolutionner le domaine de l’assurance.

Une majorité des membres de l’association CFA Montréal considèrent les récents développements en technologies financières (fintechs) comme une opportunité à l’intérieur de leur rôle actuel et non comme une menace, analyse le président de l’association, Frederick Chenel.

Grâce aux applications mobiles, il est maintenant facile de gérer son argent. Si ces applications ont été créées pour aider les consommateurs à s’occuper de leurs finances et payer rapidement, elles semblent avoir un effet néfaste sur les décisions financières de leurs utilisateurs.