La croissance économique serait mal distribuée au Québec, estime une étude de l'IRIS.
Un rebond économique qui laisse derrière lui une partie de la main-d’œuvre canadienne à court terme pourrait finir par compromettre la reprise post-pandémique à plus long terme, estime le grand patron de la Banque du Canada.
Même si certains s’inquiètent quant à la dette et aux déficits budgétaires.
L'économie du pays ne se remettra pas complètement de la crise de la COVID-19 avant 2022, selon elle.
Il faut se faire à l'idée que le virus de la COVID-19 va attaquer les finances publiques du Québec pendant plusieurs années.
Les investisseurs doivent se préparer à une période prolongée de rendements faméliques.
Le directeur parlementaire du budget à Ottawa affirme que les sociétés d'État ont versé environ 422 milliards de dollars (G$) en « soutien de liquidité » aux entreprises depuis le début de la pandémie.
Le produit intérieur brut réel du Canada a affiché une croissance de 3,0 % en juillet, a indiqué mercredi Statistique Canada, ce qui était conforme à l'estimation préliminaire de l'agence fédérale.
Un million d'emplois promis, une subvention salariale prolongée jusqu'à l'été prochain, mais pas un mot sur les demandes des provinces pour une augmentation des transferts en santé.
L’environnement économique actuel semble signer la fin de la pertinence de ces portefeuilles.