Mot-clé : crise financière

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Une main choisissant un petit bonhomme parmi une rangée de petits bonhommes bleus.

L'économie canadienne a perdu un million d'emplois en mars, la pire variation jamais enregistrée sur un mois, pendant que la crise de la COVID-19 commençait à s'installer, portant le taux de chômage à 7,8 %, a indiqué jeudi Statistique Canada.

Une photo du sigle RBC.

La reprise économique qui suivra la pandémie de COVID-19 sera probablement plus lente et plus inégale qu'on ne l'a d'abord imaginée, a prévenu mercredi le grand patron de la Banque Royale.

Une femme et un homme qui regardent deux feuilles de papier et semblent comparer ce qu'il y a dessus.

Si l’on observe beaucoup de différences entre les deux crises, on peut également voir des similitudes, selon cet expert.

Après les petites et moyennes entreprises (PME), d'autres secteurs ébranlés par la pandémie de COVID-19 pourraient bien recevoir un coup de pouce de la part du gouvernement Trudeau, qui ne semble pas vouloir fixer de limite quant à l'ampleur des deniers publics nécessaires pour traverser la crise.

Une femme d'affaire qui se pose des questions.

En raison du poids de l'empire du Milieu dans l'économie planétaire et de la mondialisation du tourisme, l'épidémie de pneumonie virale survenue en Chine taraude les investisseurs. Et si le coronavirus faisait trébucher ou chuter les places boursières, à l'image de l'épidémie de SRAS en 2003 ?

L'économiste en chef et vice-président principal de la Banque Scotia a minimisé mercredi la probabilité d'une récession, mais il s'attend néanmoins à une diminution des taux d'intérêt.

Les personnes les plus riches de la planète ont pris leurs dispositions pour affronter les turbulences auxquelles ils s’attendent sur les marchés en 2020.

Un homme d'affaire qui est sur un fil suspendu au-dessus d'une ville, comme un funambule.

Hilda Applbaum donne les raisons de son optimisme pour les marchés, malgré les doutes entourant les perspectives de l’économie mondiale.

  • Par : Siham Lebiad
  • 12 novembre 2019 12 novembre 2019
  • 08:37
Trois hommes d'affaires à une table qui réfléchissent ou semblent anéantis après une récession.

Les avantages de la gestion discrétionnaire de portefeuille sont bien connus, mais les risques qu'elle présente le sont moins. Et ceux-ci pourraient causer quelques maux de tête aux conseillers et aux firmes de courtage quand les marchés boursiers subiront un recul important.

Un homme d'affaire qui pleure accroché à une flèche rouge qui descend.

Dans le cycle actuel, on peut observer plusieurs signes annonciateurs d’un cycle financier qui est sur sa fin, conduisant ainsi au risque potentiel d’une crise systémique, écrivent Oliver Klein, directeur général de la BRED et Éric Lombard, directeur général de la Caisse des Dépôts. Cela serait dû, selon eux, aux « effets pervers » des taux d’intérêt durablement bas.