FI RELÈVE – Il n’est pas évident d’estimer la valeur que peut apporter un conseiller en placement à un investisseur. Requérir les services d’un conseiller représente toutefois un certain coût, il est donc important d’avoir une idée approximative de cette valeur.
Les conseillers pourraient être amenés à évaluer la mise en place de mesures pour prévenir l’exploitation financière de personnes devenues vulnérables.
Une chronique fait bondir des conseillers.
PLANÈTE FINANCE – Récemment, Bank of America a décidé de transférer 300 conseillers travaillant pour Merrill Edge dans ses succursales de Merrill Lynch Wealth Management. Cette transaction pourrait marquer un tournant décisif dans l'évolution de la rémunération des conseillers financiers des grandes sociétés de courtage.
Le secteur de la gestion de patrimoine aux États-Unis s’est transformé radicalement ces dernières années. Les changements de comportement des investisseurs, les vastes mouvements démographiques et les percées technologiques et numériques ont forcé l’industrie à revoir la structure de ses services.
Avec une mise en demeure.
Il s’agit d’une première baisse du taux de satisfaction de la clientèle depuis 2008, rapporte J.D. Powers.
FI RELÈVE - La planification financière d’une personne seule, sans enfant et sans conjoint, comporte certaines particularités qui lui sont propres, notamment en matière de legs successoral.
Les clients seraient plus à l'aise de se faire servir par un conseiller qui oeuvre pour une firme de gestion de patrimoine indépendante que par un conseiller qui travaille pour une firme de courtage détenue par une banque ou pour une succursale bancaire, selon une recherche effectuée par Credo Consulting, de Mississauga, en Ontario.
Elles « massacrent la profession », selon Daniel Guillemette.