Pour se lancer sur les marchés, les entrepreneurs de startup ont besoin de beaucoup d’argent. L’une des voies d’accès passe par la ronde de financement, mais le cheminement est complexe et nécessite de trouver les investisseurs adéquats.
La Financière Fairstone et la Montréalaise Holt Accelerator ont conclu un partenariat visant à automatiser le processus de vérification et d'authentification d'identité des clients du prêteur.
Chez les assureurs de personnes, la route qui mène vers l'intelligence artificielle (IA) et l'automatisation est particulièrement ardue. Les progrès sont très lents et personne, dans l'industrie, ne peut se targuer d'être l'incarnation de Jeff Bezos (Amazon) ou de Larry Page et Sergueï Brin (Google). Pourquoi ?
C’est ce qui ressort d’un récent avis publié par l’Autorité des marchés financiers (AMF).
À la suite de l’adoption de la Loi visant principalement à améliorer l’encadrement du secteur financier, la protection des dépôts d’argent et le régime de fonctionnement des institutions financières.
Entre autres, les géants technos de ce monde risquent de menacer leur modèle d’affaires.
Les compagnies d’assurance se démarqueront désormais de la concurrence par leur capacité à tirer profit des « marchés momentanés » et leur aptitude à offrir des services et des polices adaptés sur mesure aux situations des clients en temps réel.
La croissance de ses revenus de primes brutes s'est accélérée pour atteindre 158,3 millions de dollars (M$) en 2018, soit une augmentation de 10,2 % par rapport à 2017, a dévoilé l’assureur de Saint-Hyacinthe lors de son assemblée générale annuelle, jeudi.
L’industrie de l’assurance a mis du temps à prendre le virage numérique, mais elle semble maintenant déterminée à rattraper son retard.
Co‑operators élargit ses options de placement assurtech en créant un fonds pour faciliter des partenariats avec des compagnies assurtech.