L'organisme de réglementation financière du Canada a répondu aux critiques au sujet de sa simulation de crise pour les prêts hypothécaires non assurés, qui a compliqué la qualification des emprunteurs et a fait ralentir les ventes de logements à l'échelle nationale.
Le ministre fédéral des Finances soutient que le gouvernement libéral cherche des moyens de rendre l'achat d'une maison plus abordable pour les Canadiens de la « génération du millénaire ».
Le ministre des Finances, Bill Morneau, a brossé un tableau rose de l'avenir économique du Canada mercredi, malgré les bouleversements diplomatiques et politiques dans le monde qui pourraient perturber le commerce mondial et nuire à la croissance au moment même le pays se prépare à se rendre aux urnes en octobre.
Après avoir atteint des sommets en 2017-2018, la croissance mondiale s’essouffle et la Banque Scotia prévoit un ralentissement économique au Canada et aux États-Unis.
ZONE EXPERTS – Tel que grandement anticipé, la Banque du Canada (BdC) a décidé de ne pas augmenter le taux directeur le 9 janvier dernier.
Le chef de la direction de la Banque CIBC s'attend à ce que la croissance d'ensemble des prêts hypothécaires au pays soit stable ou inférieure à 5 % à court terme.
Entre les hausses de taux d’intérêt de la Banque du Canada et la hausse des coûts des maisons, RBC estime qu’il est peu probable que 2019 offre un quelconque répit pour l’accessibilité à la propriété.
Les ventes de maisons devraient reculer l'an prochain à leur plus faible niveau de la décennie en 2019, alors que la hausse des taux d'intérêt et le resserrement des règles du marché hypothécaire continueront de peser lourdement sur le moral des acheteurs, a prédit lundi l'Association canadienne de l'immeuble (ACI).
ZONE EXPERTS - La Banque du Canada (BdC) a encore surpris le marché en décidant de ne pas augmenter le taux directeur le 5 décembre dernier. Cette décision était toutefois conforme avec nos anticipations.
ZONE EXPERTS - Depuis juillet 2017, la Banque du Canada a augmenté le taux directeur cinq fois pour un total de 1.25%. Ces augmentations ont pour but de ralentir la croissance économique et empêcher des excès qui pourraient amener de l’inflation. Comme de fait, les emprunteurs doivent payer plus cher sur les emprunts de consommation (marges de crédit personnelles, prêts personnels, prêts de voiture, prêts étudiants), mais également sur leurs prêts hypothécaires à taux variable.