SOMMET FINTECH 2018 DE L’ACCVM - L’intelligence artificielle (IA) serait un véritable « game changer », selon des intervenants au Sommet FinTech 2018 de l'Association canadienne du commerce des valeurs mobilières (ACCVM) qui s’est tenu à Montréal le 11 octobre. Les régulateurs canadiens qui adoptent progressivement cette technologie sont en voie de changer complètement leur manière de faire.
La Banque Royale du Canada versera 1 million de dollars sur trois ans à l’Institut canadien de recherches avancées (CIFAR) dans l’objectif de soutenir la recherche et les initiatives sur l’étude des pratiques éthiques en matière d’intelligence artificielle.
Manuvie a annoncé un partenariat de 400 000 $ sur quatre ans avec le Waterloo Artificial Intelligence Institute de l'Université de Waterloo.
Les citoyens pourront télécharger d'ici la fin du mois une application gratuite qui viendra sensiblement accroître la sécurité de leur téléphone intelligent.
Upgrade, une société de technologies financières établie à San Francisco, implantera un centre de développement à Montréal, selon Montréal International.
PLANÈTE FINANCE - UBS, première banque de gestion de fortune de la planète, a déjà déployé l’intelligence artificielle auprès de sa clientèle et en salle de marché. Et elle prévoit de lui donner davantage d’ampleur.
Au cours des cinq dernières années, 17 sociétés de courtage au détail en valeurs mobilières ont fermé leurs portes, ont fusionné ou ont été acquises.
L’intelligence artificielle (IA) et l’automatisation pourraient générer plusieurs centaines de milliards de dollars américains de revenus dans l’industrie des services financiers au cours des deux prochaines années, rapporte Les Echos.
Broadridge Financial Services a lancé un outil de gestion de patrimoine ayant recours à l'analyse prédictive pour créer un profil amélioré de clients potentiels, en plus de fournir un contenu pertinent pour nourrir les interactions avec ces différents types de clients.
La Banque Royale du Canada (RBC) a investi deux millions de dollars (M$) pour appuyer BGN, le centre de recherche sur la cybersécurité de l’université Ben-Gurion, en Israël.