Les États-Unis ont indiqué qu’ils se retiraient de l’accord en mai et tentent depuis de réimposer des sanctions au pays du Moyen-Orient.

Les efforts des pays européens est une première démarche concrète en vue de maintenir l’accord sur le nucléaire.

L’Iran a signifié qu’elle arrêterait de se soumettre à l’entente tant et aussi longtemps qu’elle ne continuerait pas de recevoir les bénéfiques économiques consentis en 2015, souligne l’article du WSJ.

Tout n’est cependant pas gagné pour les trois pays européens, puisque les banques centrales sont réticentes à développer des liens avec l’Iran, particulièrement à l’heure où les États-Unis se préparent à réimposer des sanctions.

Les banques nationales demandent également que le pays du Moyen-Orient mette en place des normes adéquates en matière de blanchiment d’argent.

L’Europe bouge rapidement

La guerre commerciale mondiale entre les États-Unis et la Chine se profile et l’Europe ne veut pas être laisser en reste.

Elle suit le conseil de la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, qui avait signifié que «l’Europe peut jouer une carte tout à fait particulière» si elle est unie, comme l’a rapporté un article du Capital.fr.

Par exemple, l’Union européenne a signé cette semaine un accord de libre-échange avec le Japon. L’entente prévoit la disparition progressive de droits de douanes sur plusieurs produits.

Les exportations de biens et de services de l’Union européenne vers le Japon représentent 86 G d’euros par année, d’après les données de la Commission européenne, rapporte par le Paris Match.