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Au deuxième trimestre de 2021, Fiera Capital a enregistré une hausse de ses actifs sous gestion (ASG) de 6,6 milliards de dollars (G$) ou 4 % par rapport au premier trimestre. Ces derniers ont ainsi atteint 179,5 G$.

Cette hausse résulte principalement de l’appréciation du marché de 25,9 G$, aux nouveaux mandats dans les canaux de distribution Marchés institutionnels, Intermédiaires financiers et Gestion privée de 4,8 G$, 3,1 G$ et 1,7 G$, respectivement. Elle s’explique également par l’acquisition de la nouvelle équipe Fiera Atlas.

« Nous sommes très heureux de nos résultats du deuxième trimestre et de notre rendement pour le premier semestre de 2021, qui cadrent avec le scénario de croissance économique que nous avions projeté plus tôt au cours de l’exercice », commente Jean-Guy Desjardins, président du conseil et chef de la direction.

Le résultat net s’est établi à 13,8 M$ au deuxième trimestre de 2021. Le résultat net ajusté a quant à lui été de 41,3 M$, soit 0,39 $ par action (de base) contre 38,7 M$, soit 0,38 $ par action (de base) pour le deuxième trimestre de 2020. Il s’agit d’une hausse de 2,6 millions de dollars, ou 6,7 % du résultat net ajusté. Cette dernière comprend une diminution de 8,5 M$ du résultat net ajusté en raison de la vente des droits de gestion des fonds communs de placement destinés aux investisseurs individuels de Fiera Investissements, de la vente de WGAM et de Bel Air, ainsi que de la résiliation de la convention de partage des revenus avec CNR liée au fonds Fiera Capital Emerging Markets.

« L’ajout de l’équipe Fiera Atlas vient ajouter beaucoup d’aplomb à notre offre liée aux actions mondiales », affirme Jean-Guy Desjardins.

Le BAIIA ajusté a atteint 52,7 M$ contre 51,9 M$ pour le trimestre correspondant en 2020.

« La croissance du BAIIA ajusté de la Société au cours du deuxième trimestre et de la marge du BAIIA ajusté de 31,5 % est attribuable à l’attention soutenue que nous portons à l’exécution de nos priorités stratégiques et à notre approche rigoureuse de la gestion des coûts », souligne Lucas Pontillo, vice-président exécutif et chef de la direction financière mondiale.