Un représentant syndical a qualifié cette décision de scandaleuse, de la part d’une banque dans laquelle les contribuables britanniques détiennent une participation de 41 %.

La Lloyds veut abolir 15 000 emplois d’ici la fin de 2014 et a jusqu’à présent annoncé la disparition de 8000 postes.

Pour sa part, la banque Barclays a annoncé qu’elle examinait les emplois au sein de ses services bancaires d’investissement. Elle a refusé de commenter des informations selon lesquelles 2000 des 23 000 emplois au sein de cette division pourraient être en jeu.