Selon le document, les gestes ont été posés par le conseiller « pour accommoder certains clients ou pour accélérer le processus ». Il les a posé dans la province de Québec, entre les ou vers les 20 avril et 12 juillet 2012.

Maxime Dorion a enregistré un plaidoyer de culpabilité et a été déclaré séance tenante coupable des gestes reprochés. « Au moment de l’infraction, il détenait un certificat en épargne collective depuis un peu plus de deux ans seulement », a noté le comité de discipline.

Comme facteurs atténuants, le comité a retenu que ces fautes avait été commises sans intention malicieuse, mais plutôt pour accommoder certains clients ou accélérer le processus et le fait que le conseiller n’avait pas d’antécédent disciplinaire et qu’il a plaidé coupable.

En plus d’une radiation de deux mois, Maxime Dorion a été condamné au paiement des débours.