FI RELÈVE - Après s’être développée au sein des secteurs juridique et gouvernemental au point d’en être devenue un incontournable en matière de valorisation de données, l'entreprise montréalaise Irosoft vise maintenant à répéter l’expérience dans le secteur financier.
La capacité de travailler avec la technologie devient une nécessité.
Chez les assureurs de personnes, la route qui mène vers l'intelligence artificielle (IA) et l'automatisation est particulièrement ardue. Les progrès sont très lents et personne, dans l'industrie, ne peut se targuer d'être l'incarnation de Jeff Bezos (Amazon) ou de Larry Page et Sergueï Brin (Google). Pourquoi ?
NOUVELLES DU MONDE - Frédérick Guillot a été nommé directeur principal chez Co-operators.
En assurance de personnes, l'intelligence artificielle (IA) en est à ses premiers pas. Pourquoi des assureurs s'engageraient-ils dans un secteur qui n'a pas fait ses preuves et qui exigera d'importants investissements pendant longtemps ? Être pionnier en intelligence artificielle en vaut-il la chandelle ?
Les compagnies d’assurance se démarqueront désormais de la concurrence par leur capacité à tirer profit des « marchés momentanés » et leur aptitude à offrir des services et des polices adaptés sur mesure aux situations des clients en temps réel.
Son objectif : devenir « la banque du futur » !
NOUVELLES DU MONDE - Benoit Robert joint les rangs de la fintech et société de gestion de portefeuilles Evovest à titre de chef du développement des affaires.
CanDeal sera alors en mesure de lancer plus rapidement et de façon plus fiable les activités commerciales de données-service de DataVault Innovations.
Il est rare qu'un président de compagnie lève la main pour inciter les gouvernements à encadrer son secteur d'activité, mais pour le dirigeant de l'entreprise québécoise d'intelligence artificielle Element AI, Jean-François Gagné, cela va plutôt de soi.