FOCUS FNB - Marie-Chantal Lauzon, Première vice-présidente au développement des affaires, Horizons ETF, explique comment un gestionnaire de portefeuille peut ajouter de la valeur de manière à couvrir ses frais de gestion.
FOCUS FNB – À l’instar des autres investisseurs de détail canadiens, les investisseurs de détail ayant plus d’un million de dollars à investir jugent que les relativement faibles frais de gestion des fonds négociés en Bourse (FNB) sont leur avantage le plus important.
Les ACVM songent à les interdire.
Aux yeux des investisseurs, individuels et institutionnels, de « bonnes performances à juste prix » ne suffisent plus. Ce qu'ils veulent, désormais, c'est la « performance au meilleur prix », affirme une étude des consultants McKinsey & Company.
En feuilletant la dernière édition de l'étude Global Investor Experience de Morningstar (USA) on pourrait penser que le Canada arnaque les consommateurs de fonds communs de placement (FCP). Mais est-ce vraiment le cas ?
Les firmes de gestion de fonds de couverture n'échappent pas à la tendance à la baisse des frais de gestion. Toutefois, leur capacité de protection des marges bénéficiaires est plus élevé que pour les firmes de fonds d'investissements destinés au grand public.
Le gouvernement fédéral ne considérera finalement pas les frais de gestion de placement payés à l’extérieur d’un régime enregistré comme un avantage au titre du régime, contrairement à ce qu’il annonçait en 2016.
Le déploiement de la deuxième phase du Modèle de relation client-conseiller (MRCC 2) ne se fait pas sans heurts.
Les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) entendent inciter les investisseurs à davantage prêter attention aux frais de placement tout en les mettant en garde contre leur attrait pour les cryptomonnaies.
Depuis trois ans chef de la direction de Société de placements Franklin Templeton, Duane Green, dit avoir fait son chemin à travers les rangs du conseil financier. Son impératif depuis qu’il a pris la barre de la firme, est de se rapprocher de la communauté du conseil. « J’ai voulu défier le statu quo et nos processus pour faciliter les rapports d’affaires avec les conseillers », dit-il.