L'économie canadienne a commencé l'année 2018 sur une séquence aussi impressionnante qu'inattendue. À l'approche de 2019, le pays témoigne d'une relative bonne santé, mais des signes de faiblesse soulèvent une question importante: combien de temps avant la fin des beaux jours?
La Bourse de Toronto devrait se remettre en 2019 de sa pire performance annuelle en une décennie. L'année 2018 a vu le parquet torontois perdre environ 14 % dans un contexte de forte volatilité, de plongeon des prix du pétrole et d'incertitude géopolitique, ont noté des experts.
L’année 2018 a encore offert un bon rendement, mais force est d’admettre que la reprise est moins synchronisée et certaines turbulences apparues sur le marché devraient se poursuivre en 2019 et même au-delà, selon Mercer.
Un rapport affirme que le gouvernement du Canada aura dépensé toutes ses recettes pour l'année 2018 ce samedi, 15 décembre, vers 21h00.
C’est peut-être signe qu’un ralentissement économique approche.
Le rythme de la croissance économique au Canada a ralenti pendant le troisième trimestre, alors que les investissements des entreprises ont diminué et que les ménages ont moins dépensé, ce qui soulève des questions entourant la cadence des prochaines hausses des taux d'intérêt par la Banque du Canada.
Comme l'explique Martin Roberge de Canaccord Genuity dans son dernier billet, le duel entre les optimistes et les pessimistes entre dans une nouvelle phase.
Les demandes du secteur des affaires ne sont pas tombées dans l'oreille d'un sourd. Le ministre des Finances, Bill Morneau, a annoncé mercredi trois mesures fiscales en réponse à la réforme fiscale de Donald Trump. Il veut ainsi éviter une fuite des investissements des entreprises vers les États-Unis.
PLANÈTE FINANCE - Malgré la démission de plusieurs de ses ministres, dont Dominic Raab, le ministre en charge des négociations sur le Brexit, la première ministre du Royaume-Uni continue de soutenir son projet de Brexit.
PLANÈTE FINANCE - Depuis la dernière crise financière déclenchée par le scandale des subprimes, les experts financiers craignent les bulles financières. Si cette fois-ci, les crédits immobiliers octroyés à des ménages insolvables ne semblent pas être un problème, les prêts à effet de levier ou leverage loans suscitent l’inquiétude de la Réserve fédérale.