Il s’agit de la première étape de son plan visant à fournir un soutien financier aux entreprises américaines.
ZONE EXPERTS - L’expression zinzin a parfois été utilisée pour désigner les investisseurs institutionnels. Sonder ce que pensent les grandes institutions peut aider le petit investisseur à se faire une tête sur ce qui est raisonnable de s’attendre des marchés financiers.
Bien que les marchés aient connu un beau rebond, il est encore trop tôt pour conclure qu’on va être dans un environnement haussier à long terme, selon cet expert.
Mais les gouvernements ont bien agi et rapidement, estime Martin Coiteux.
Les données encourageantes de divers pays sur l’état de la pandémie de COVID-19 et les interventions massives de la Réserve fédérale ont contribué au rebond des titres boursiers la semaine dernière.
Les montagnes russes dans lesquelles sont lancées le marché ont eu des impacts ressentis à travers le monde. De l’incompréhension à l’acceptation, Richardson GMP, dans un nouveau rapport, les compare aux cinq étapes du deuil décrit par le modèle de Kübler-Ross.
La Réserve fédérale des États-Unis (Fed) a annoncé lundi qu'elle pourrait prêter jusqu'à 300 milliards de dollars américains (G$ US) aux entreprises, petites et grandes, ainsi qu'aux gouvernements locaux pour les aider à affronter la crise de la COVID-19.
Alors que l’efficacité semble être le mot d’ordre dans la profession financière, le nombre d’employés des banques centrales semble excessif.
La Réserve fédérale des États-Unis a posé un geste surprise, mardi, en décidant d'abaisser son taux d'intérêt directeur d'un demi-point de pourcentage dans le but d'amortir l'impact économique du nouveau coronavirus.
Les effets de la propagation du nouveau coronavirus sur l'économie font grimper les chances de voir la Banque du Canada abaisser son taux directeur principal cette semaine, et peut-être de manière plus importante que prévu, selon des économistes.