Equisoft – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Wed, 18 Oct 2023 20:21:14 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Equisoft – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Equisoft et VieFONDS font équipe https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/equisoft-et-viefonds-font-equipe/ Fri, 20 Oct 2023 20:21:06 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96918 Pour rehausser l’expérience client en gestion de patrimoine.

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Equisoft, leader de solutions numériques dédiées à l’assurance et à l’investissement, annonce une entente de partenariat avec VieFONDS, un fournisseur de solutions d’arrière-guichet pour courtiers en placement, qui devrait permettre de rehausser l’expérience client.

L’intégration entre la plateforme d’arrière-guichet de VieFONDS et les solutions d’Equisoft pour conseillers (Equisoft/analyze, Equisoft/connect et Equisoft/plan) vise une amélioration en termes d’automatisation, d’efficacité et de capacités de planification de patrimoine pour les courtiers en placement et les conseillers financiers.

Les clients et les conseillers auront désormais la possibilité d’accéder, en un seul clic, à des solutions avancées de gestion du patrimoine, de CRM et d’analyse des besoins qui s’alimentent automatiquement avec les données provenant de la plateforme VieFONDS, comme l’a souligné Mark Lafreniere, chef de l’exploitation de VieFONDS.

Jonathan Georges, vice-président du secteur de la gestion du patrimoine chez Equisoft, estime pour sa part que cette collaboration va à la fois simplifier les ventes et les interactions avec les clients, et augmenter la productivité des conseillers. En outre, elle facilitera la conformité aux réformes axées sur le client, ce qui bénéficiera en fin de compte à leurs clients.

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L’immigration propulse les technologies financières https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/limmigration-propulse-les-technologies-financieres/ Fri, 06 Oct 2023 09:41:19 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96558 Selon le plus récent rapport FinTech Québec.

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Les immigrants, qui arrivent en grand nombre au Canada depuis quelques années, stimulent l’offre de nouveaux services financiers, signale le rapport FinTech Québec publié par Finance Montréal, la Station FinTech Montréal et Fathom4sight en marge du 10e Forum FinTech. Ce rapport fait état des activités du secteur des technologies financières au Québec pour les six premiers mois de 2023.
Entre 2016 et 2021, un peu plus de 1,3 million de nouveaux immigrants se sont établis au pays de façon permanente, selon Statistique Canada. Actuellement, près de 75 % de la croissance de la population provient de l’immigration, principalement dans la catégorie économique. Les nouveaux arrivants, munis d’un permis de résidence permanente ou temporaire, forment une clientèle ciblée par les institutions financières au pays, qui ont lancé plus d’une vingtaine de produits directement à leur intention en 2023, souvent en partenariat avec des FinTechs, signale le rapport.

Les forfaits bancaires pour nouveaux arrivants et les programmes qui proposent l’ouverture d’un compte et la vérification des antécédents de crédit avant l’arrivée au Canada sont les initiatives les plus répandues. Certains produits visent des clientèles très ciblées. La banque RBC a ainsi conçu un programme pour les immigrants entrepreneurs leur offrant des conseils personnalisés pour déménager vers le Canada. Elle a aussi développé un partenariat avec une banque indienne qui permet aux étudiants de ce pays de transférer directement leurs CPG dans un CPG de la RBC à leur arrivée au Canada.

La Banque Scotia offre aux nouveaux arrivants de partager les informations de leurs dossiers de crédit étrangers pour obtenir certains produits. BMO propose une plateforme qui permet aux immigrants de développer leurs connaissances financières. Desjardins a concocté un forfait bancaire pour les étudiants internationaux. La Banque Nationale donne accès pendant un an à ses clients nouvellement arrivés au pays à des conseils sur l’habitation, les emplois et les soins de santé afin de faciliter leur intégration.

Boom des applications de l’IA

Outre la floraison de produits ciblés pour la clientèle des nouveaux arrivants, le début de 2023 a été marqué par une forte augmentation de l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) dans les services financiers. Ce boom est favorisé par la popularité de l’application ChatGPT, conçue par la firme américaine Open AI, qui multiplie les collaborations avec les institutions financières et les FinTechs d’ici pour développer des applications concrètes de l’IA dans les services financiers. Par exemple des robots conversationnels qui peuvent répondre aux demandes de clients sur leurs comptes et leur prodiguer des conseils personnalisés.

L’IA générative, l’intelligence artificielle qui sert à créer de nouveaux contenus, est le nouvel Eldorado. Cette technologie offre un potentiel quasi infini pour propulser des robots conseillers financiers, des assistants en investissement ou encore des aides pour la gestion des dépenses d’entreprise.

Les FinTechs mettent également à profit l’intelligence artificielle pour créer des outils afin d’aider les conseillers à mieux évaluer le niveau de tolérance au risque des clients et à définir des stratégies de planification financière plus pointues. L’IA est utilisée aussi par les institutions financières pour détecter les mécanismes de fraudes, notamment celles reliées aux paiements par carte de crédit. Elle sert à assurer la conformité réglementaire, établir les rapports ESG et automatiser certaines tâches.

La banque ouverte : l’avenir

Les BaaS (Systèmes Bancaires ouverts ou Banking-as-a-Service) sont de plus en plus populaires. Ils répondent à une demande grandissante pour les services financiers intégrés et à l’augmentation du nombre de marques qui veulent ajouter des outils de paiement à leur plateforme. Le marché du Québec n’est pas en reste dans ce domaine. Au cours des derniers mois, la Montréalaise Nuvei a lancé son système bancaire ouvert. L’Américaine Synctera a fait son entrée sur le marché canadien grâce à un partenariat avec la Banque Nationale. La FinTech Neo Financial, de Calgary, a conclu des partenariats avec Tim Hortons et Cathay Pacific pour lancer leur carte de crédit.

En 2023, des FinTechs québécoises telles que Lightspeed, Cubeler Business Hub, ReInvestWealth, WorkJam, Kiwili, Nethris et Budgeto ont également aidé plusieurs PME à consolider leurs activités commerciales secondaires en les aidant à réduire leur nombre de fournisseurs.

Finalement, on a assisté ces derniers mois à une consolidation du secteur des cryptoactifs au Canada avec la signature en juillet d’une entente historique entre WonderFi, Coinsquare et Coinsmart. La société née de cette transaction forme l’un des plus importants écosystèmes réglementés de placement en cryptoactifs au Canada avec plus de 1,6 million d’utilisateurs inscrits.

Bouillonnement des FinTechs

Le secteur québécois des FinTechs a connu quatre acquisitions de taille durant la première moitié de l’année, dont l’achat par Nuvei de Paya, l’un des principaux fournisseurs américains de solutions intégrées de paiement. L’acquisition par la Financière Sun Life de la plateforme de santé virtuelle montréalaise Dialogue n’est pas non plus passée inaperçue.

Depuis le début de l’année, 17 ententes de partenariat impliquant une FinTech fondée au Québec ont vu le jour. Nuvei et Hopper se trouvent au sommet de la liste pour le nombre de partenariats conclus. Une douzaine de nouveaux produits sont nés de la collaboration entre des FinTechs et des institutions financières.

Au 1er semestre de 2023, les FinTechs québécoises ont réalisé cinq cycles de financement, pour une somme totale de 183,8 M$. Equisoft, qui développe des logiciels pour les compagnies d’assurance et de gestion de patrimoine a obtenu le cycle le plus élevé, à 125 M$. Mila, l’Institut québécois d’intelligence artificielle, a obtenu 21 M$, et Novisto, spécialisée dans les données et rapports ESG, a recueilli 20 M$.

Dix nouvelles FinTechs sont nées au Québec en 2023, ce qui porte leur nombre total à 226, et la majorité d’entre elles est située à Montréal. Plus d’une cinquantaine de ces entreprises produisent des technologies de paiement, 29 conçoivent des technologies d’investissement, 23 sont en Assurtech et 20 en intelligence artificielle. Environ 60% des FinTechs québécoises sont formées de cinq à 99 employés, et la moitié d’entre elles ont un modèle de gestion Business to Business.

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Défis de mutations numériques https://www.finance-investissement.com/edition-papier/pointage-des-courtiers-multidisciplinaires/defis-de-mutations-numeriques/ Mon, 28 Aug 2023 04:00:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95740 POINTAGE DES COURTIERS MULTI - Pour I'utilisation des outils de front office et d'onboarding

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Même si une majorité de conseillers sont satisfaits des efforts de leurs courtiers pour leur offrir des outils technologiques efficaces sur le plan des relations avec la clientèle (front office) et de l’accueil de nouveaux clients (onboarding), une portion de conseillers a des attentes non comblées pour ces aspects.

C’est ce que révèle le ­Pointage des courtiers multidisciplinaires 2023. Pour ces deux critères d’évaluation, la moitié de tous les répondants ont accordé une note de 9 sur 10 ou plus à leur courtier. Or, dans les deux cas, environ 14 % des répondants lui ont décerné une note de 6 ou moins. Diverses tendances expliquent ces résultats, lesquelles sont influencées par les modèles d’affaires propres à chaque firme. D’abord, entre autres en raison de la crise sanitaire de la ­COVID-19, les courtiers ont investi de manière importante dans les outils technologiques sur ces plans pour répondre aux besoins des clients. Or, pour certains conseillers, le manque de formation pour bien maîtriser ces outils ainsi que leur complexité posent problème.

Débutons avec les outils technologiques de front office, dont les logiciels de gestion des relations avec les clients (GRC), les applications pour les clients et autres outils du genre. Les firmes de courtage obtiennent une appréciation moyenne de 8,2 sur 10 en 2023, soit la même qu’en 2022. Les répondants attribuent une note moyenne de 9,1 à leur importance. Cet écart indique que les attentes ne sont pas comblées pour un segment de conseillers.

On trouve la plus forte baisse de l’appréciation concernant les outils de front office à ­CI ­Gestion de patrimoine Assante, où la note passe de 9,0 en 2022 à 8,5 en 2023. Chez les autres firmes, les notes sont relativement stables, excepté ­MICA, où la note passe de 9,2 à 9,6 en un an.

Les commentaires des sondés portent principalement sur les logiciels de ­GRC. Salesforce est l’outil privilégié par plusieurs firmes, dont ­Financière ­Sun ­Life (FSL), ­IG Gestion de patrimoine et Assante. Groupe ­Cloutier s’en remet pour sa part à ­Equisoft/connect, tandis que le Groupe financier ­PEAK a son propre logiciel, Peakconnect.

Les avis sur le ­GRC divergent. Bon nombre l’apprécient, mais certains le trouvent compliqué ou se plaignent des difficultés d’arrimage de cet outil avec les autres qu’ils utilisent.

Chez ­Assante, la majorité des répondants sont satisfaits du ­GRC offert. Un répondant juge toutefois qu’« il manque de souplesse pour s’adapter à nos besoins ». Le logiciel ­GRC pourrait être plus modulable, reconnaît Éric Lauzon, ­vice-président développement des affaires à Gestion de patrimoine ­Assante. Or, l’outil reste flexible, le courtier l’ayant adapté au fil du temps en fonction de la rétroaction des conseillers, ­dit-il : « ­On l’a presque transformé de A à Z. On a réinventé des plages où ils peuvent mettre des informations dont on ne pensait pas qu’ils auraient besoin. » ­La baisse de la note pour le front office s’expliquerait par le roulement au sein de l’équipe qui forme les conseillers sur les logiciels.

À la ­FSL, beaucoup de conseillers semblent satisfaits de Salesforce. Cependant, ­Salesforce ­Financial Services Cloud (SFSC) serait moins fonctionnel pour retrouver des fichiers et suivre les interactions avec les clients, selon un répondant.

FSL utilise ­Salesforce depuis 2015. En 2021, la firme a migré vers le ­SFSC pour accroître les capacités des conseillers. « ­Le système mis à niveau fait appel à des processus numériques simplifiés et fournit aux conseillers une perspective éclairée des clients et des affaires, ce qui les aidera à prospérer », note ­Rowena ­Chan, présidente, Distribution ­Financière ­Sun ­Life (Canada) et ­vice-présidente principale, ­Conseils et solutions de l’Individuelle.

« ­Depuis mai 2021, nous avons vu une hausse de plus de 50 % des utilisateurs avancés de la plateforme ­Salesforce parmi nos conseillers. Nous continuons à faire d’importants investissements dans nos plateformes et à les améliorer chaque mois en nous basant sur les besoins des clients et des conseillers », ­ajoute-t-elle.

À ­SFL ­Gestion de patrimoine, les répondants sont polarisés. Certains aiment le logiciel de ­GRC et soulignent ses améliorations et d’autres le détestent parce « qu’il ne parle pas toujours avec les autres systèmes ». L’outil permet aux conseillers d’être efficaces et est généralement apprécié, même si ­SFL prévoit y apporter des améliorations, selon ­André ­Langlois, ­vice-président, ventes et distribution, réseaux indépendants chez Desjardins sécurité financière. Les attentes varient selon l’utilisateur, estime-t-il : « ­Ceux qui ne l’ont pas adapté à leurs pratiques peuvent trouver que c’est un outil plein d’irritants. D’autres qui l’ont adopté sont déjà à l’aise et apprécient l’outil. Il y a aussi ceux qui connaissent ce qui se fait de mieux et qui souhaitent ­peut-être des améliorations. »

À ­IG, des répondants saluent la récente modernisation des nombreux logiciels de front office, mais quelques-uns déplorent leur manque de synchronisation. Carl Thibeault, ­vice-président principal, Services financiers (Distribution), ­IG ­Gestion de patrimoine, répond que les choses vont mieux et que la firme projette de déployer des outils d’intégration supplémentaires au cours des prochains trimestres. Des ressources humaines locales pour chacun des bureaux régionaux seront également déployées cet automne pour améliorer le soutien aux conseillers.

À ­Investia, on laisse au conseiller le choix du ­GRC pour ses activités, si bien que les conseillers notent ce courtier entre autres en fonction du ­Portail conseiller, dont bon nombre de répondants sont satisfaits. Le courtier effectue des améliorations continues à ce portail, note ­Louis H. DeConinck, président d’Investia : « ­Les clients peuvent dorénavant faire ­eux-mêmes leur changement bancaire. On a été les premiers à permettre aux clients de faire leur changement d’adresse en ligne en allant sur le portail. Le changement se fait automatiquement dans les compagnies de fonds. C’est itératif. »

Défis pour l’onboarding

Le soutien à l’accueil de nouveaux clients continue à être important pour les conseillers, qui lui attribuent une importance moyenne de 8,9 sur 10, égale à celle de 2022. Malgré l’accélération de la transformation numérique des courtiers découlant de la pandémie, l’onboarding 100 % numérique continue à apporter son lot de défis. On remarque un écart avec la note moyenne de satisfaction (8,2), qui est en hausse par rapport à 2022 (7,9).

Investia, ­SFL et ­Quadrus connaissent une hausse de la satisfaction pour l’onboarding. Par exemple, les logiciels Equisoft et ­DocuSign, utilisés par ­Quadrus, semblent appréciés. « ­On peut travailler de n’importe où », signale un conseiller de cette firme.

Toutes les firmes ne sont pas au même niveau dans l’automatisation des processus. Par exemple, Assante utilise des documents ­PDF dynamiques via le logiciel SmartDox. Les informations d’ouverture de compte s’intègrent à la fois au logiciel de ­GRC du conseiller et à ceux de conformité, ce qui permet aux conseillers de gagner du temps. Même si plusieurs conseillers applaudissent ces processus, ainsi que les logiciels de signature électronique, un sondé parle de lacunes à améliorer. Le recrutement de nouveaux conseillers et la croissance interne ont favorisé l’affluence de nouveaux clients à ­Assante, ce qui a mis à l’épreuve les logiciels et les équipes de soutien. « ­Le taux de roulement, les difficultés d’embauche, ça nous a touchés », admet Éric Lauzon. Il juge cependant que le transfert de blocs d’affaires chez ­Assante se fait plus vite maintenant qu’auparavant et que les logiciels d’onboarding les facilitent : « ­Si on n’avait pas eu les logiciels, on aurait de vrais problèmes. »

À ­IG, certains conseillers semblent satisfaits du soutien, mais d’autres croient qu’il y a « trop de courriels individuels à envoyer aux clients avec les formulaires numériques. La première expérience client devrait être plus fluide. » ­Carl ­Thibeault répond que les systèmes vont beaucoup mieux et que le taux d’erreur est infiniment moindre : « ­Toutefois, on va encore ajouter des nouveautés qui vont simplifier la vie. »

À ­Investia, les conseillers semblent avoir des expériences différentes sur le plan de l’accueil de nouveaux clients. Certains disent que tout se fait de manière numérique, mais d’autres que ce n’est pas le cas ou affirment qu’« ouvrir un compte avec les nouveaux clients est assez complexe ».

« ­On a un onboarding numérique complet », souligne Louis H. DeConinck. Selon lui, 330 conseillers d’Investia ont des bureaux sans papier. Il se dit frustré que certains n’utilisent pas les outils disponibles, malgré toutes les formations offertes en ce sens. « C’est un grand défi de s’assurer que les gens lisent les communications, de s’assurer qu’ils utilisent les bons outils et de s’assurer qu’ils transforment un peu leur approche de travail. »

À ­SFL, certains conseillers soulignent les effets positifs de l’ajout de la signature électronique, de l’intégration d’un nouvel outil et de l’ajout des processus d’intégration numérique de clients pour presque tous les types de comptes.

« ­On a mis beaucoup d’efforts au cours des deux dernières années pour changer nos processus d’affaires, tant aux points de vente, donc au conseiller, qu’à l’interne. L’ensemble de ces changements commence à rapporter et contribue, entre autres, à la qualité de l’accueil des nouveaux clients », dit André ­Langlois.

À la ­FSL, des conseillers sont satisfaits de l’aide fournie pour la signature électronique. L’un d’entre eux dit : « Nous sommes à la fine pointe des logiciels d’ouverture de compte. C’est un outil convivial et apprécié par la clientèle. » ­En revanche, un répondant affirme devoir traiter « encore beaucoup de papier ».

« ­Nous avons beaucoup investi dans nos capacités de signature électronique et nous continuerons de le faire », répond ­Rowena ­Chan. La firme offre plus de 300 formulaires avec signature électronique aux conseillers, dont 62 nouveaux depuis 2021. « ­Depuis le début de l’année, nous avons observé une augmentation de 7 % dans l’utilisation régulière de ces formulaires (par utilisation régulière, nous faisons référence aux conseillers qui utilisent au moins 50 % de tous les formulaires destinés aux clients qui sont dotés de la signature électronique), ce qui contribue grandement à réduire la consommation de papier. »

FSL prévoit lancer une demande d’assurance en ligne en cours d’année ainsi que de nouvelles capacités en lien avec la signature électronique.

En collaboration avec Richard Cloutier, Sylvie Lemieux et Guillaume Poulin-Goyer.

Pour obtenir le tableau du Pointage des courtiers multidisciplinaires, veuillez cliquer ici.

NDLR. Le tableau de notre édition imprimée identifiait par erreur une baisse de 0,5 de la note du Groupe financier PEAK pour le critère du programme de transfert de bloc d’affaires à la relève entre 2022 et 2023. La note était plutôt en baisse de 0,4 de 2022 à 2023 et le présent article contient la version la plus à jour de notre tableau.

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Sophia Bennaceur se joint au CA chez Equisoft https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/sophia-bennaceur-se-joint-au-ca-chez-equisoft/ Fri, 28 Jul 2023 11:29:25 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95188 NOUVELLES DU MONDE - Pour aider la firme à poursuivre son expansion mondiale.

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La responsable régionale et technologique de la banque d’affaires Morgan Stanley à Montréal, Sophia Bennaceur, intègre le conseil d’administration d’Equisoft, un fournisseur de solutions d’affaires numériques pour les secteurs de l’assurance et de la gestion de patrimoine.

Sophia Bennaceur possède plus de 20 ans d’expérience dans les opérations, la finance et les technologies de l’information, ainsi qu’en transformation organisationnelle. Elle a été embauchée pour diriger les opérations du Centre technologique de Morgan Stanley à Montréal en 2016, avec pour mandat de déployer la stratégie d’affaires du bureau montréalais de la firme basée à New York. En 2022, elle en a été nommée directrice régionale et responsable technologique. Avant de se joindre à Morgan Stanley Montréal, Sophia Bennaceur a occupé différents rôles à la Société Générale, à Paris puis à Montréal, incluant celui de directrice financière et cheffe des opérations.

« Equisoft est à l’avant-garde de la révolution numérique dans les domaines de l’assurance et de la gestion de patrimoine, c’est pourquoi j’ai hâte de pouvoir aider à définir son orientation stratégique », a déclaré la femme d’origine franco-tunisienne qui détient un MBA de HEC Paris et une maîtrise en finance et en investissement de l’Université d’Exeter.

Luis Romero, président et chef de la direction d’Equisoft, a indiqué que l’expertise de la gestionnaire en matière d’accélération de croissance et de mise en œuvre des changements organisationnels sera déterminante dans la définition de l’orientation future de la firme qu’il a fondée en 1994. « Tout comme Equisoft, Sophia valorise l’équité et l’inclusion », a-t-il ajouté.

Le conseil d’administration d’Equisoft est présidé par Emilio B. Imbriglio, administrateur de sociétés qui a été président et chef de la direction de Raymond Chabot Grant Thornton de 2013 à 2022. Il se compose également de Sylvain Brosseau (Gestion d’actifs mondiale Walter), Fulvio Bussandri (Corporation des Aliments I-D), Laird Elliott (Preneur Consulting Services), Robert Héroux (IBM), Annalee Moore (Sun Life) et Peter Strom (March Networks).

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La Banque Nationale vend son outil de planification financière interne à un fournisseur de TI https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/la-banque-nationale-vend-son-outil-de-planification-financiere-interne-a-un-fournisseur-de-ti/ Wed, 15 Feb 2023 12:07:36 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=91766 AdviceSuite sera intégré à CGI Wealth360.

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Le fournisseur de technologies de l’information Groupe CGI inc. ajoute de nouvelles fonctions à son logiciel Wealth360 existant en faisant l’acquisition AdviceSuite de la Financière Banque Nationale.

La vente de la propriété intellectuelle pourrait permettre à CGI d’élargir la clientèle de son logiciel Wealth360 au-delà des courtiers en valeurs mobilières et en fonds communs de placement pour inclure les banques de détail, a déclaré Bryan Waldeva, vice-président de la propriété intellectuelle chez CGI et chef de CGI Wealth360.

CGI était déjà un fournisseur de technologie pour la Banque Nationale avant que la transaction ne soit annoncée jeudi. CGI n’a pas divulgué les conditions financières de cet accord.

AdviceSuite, un outil de planification financière interne existant de la Financière Banque Nationale, « permet aux clients de voir un baromètre et des graphiques montrant où ils en sont dans l’atteinte de leurs objectifs », a déclaré Amy Dietz-Graham, première vice-présidente, gestionnaire de portefeuille, à la Gestion de patrimoine de la Financière Banque Nationale.

Les fonctions existantes de Wealth360 comprennent la gestion de portefeuille, le traitement des fonds d’investissement, la gestion des ordres et les services de tenue de dossiers.

« La façon dont [la Banque Nationale] a décrit [AdviceSuite] au [Groupe CGI] était qu’elle avait fait une étude de marché des solutions disponibles et qu’elle estimait devoir créer une offre unique pour répondre aux besoins de ses conseillers et de ses clients », a déclaré Bryan Waldeva, ajoutant que l’intégration d’AdviceSuite à Wealth360 signifie qu’un client peut « articuler » ses besoins et ses objectifs financiers.

« Il s’agit en partie de comprendre s’ils sont corrects du point de vue des investissements et de l’assurance », a ajouté Bryan Waldeva.

Par ailleurs, la société montréalaise Equisoft Inc. a annoncé l’acquisition de CompuOffice Software Inc. qui fournit des logiciels indépendants d’analyse et de recherche en matière d’assurance vie à assureurs multiples.

Cette transaction, annoncée jeudi, donne à Equisoft « un accès accru à l’ensemble du réseau des intervenants canadiens en assurance vie et offre des possibilités intéressantes de partager des analyses de données qui révèlent les tendances en matière d’achat et de rendement », a déclaré Luis Romero, fondateur et PDG d’Equisoft, dans un communiqué.

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Equisoft complète son offre dans le secteur de l’assurance https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/equisoft-complete-son-offre-dans-le-secteur-de-lassurance/ Thu, 09 Feb 2023 11:59:15 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=91715 Il acquiert un développeur de logiciels indépendants.

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Equisoft a annoncé l’acquisition de CompuOffice Software, une société canadienne fondée en 1992 qui conçoit, fournit et exploite des logiciels spécialisés sur mesure pour le secteur financier.

Ce développeur de logiciels indépendants de recherche et d’analyse cible les produits d’assurance vie de multiples assureurs. Son logiciel LifeGuide rassemble des données sur les produits de tous les assureurs canadiens que les distributeurs et la plupart des conseillers utilisent pour trouver rapidement le produit idéal pour leur client.

Equisoft compte intégrer LifeGuide à son CRM Equisoft/connect pour offrir une expérience intégrée aux conseillers. Les outils de soumission multiple et de comparaison deviendront des éléments clés de sa plateforme intégrée. Les conseillers bénéficieront ainsi d’une solution efficace à tous points de vue : gestion de la relation client, analyse des besoins, soumissions, illustrations et propositions électroniques.

Avec cette acquisition, Equisoft ajoute à son écosystème les 28 assureurs canadiens, plus de 50 agents généraux ainsi que des milliers de nouveaux conseillers qui font affaire avec CompuOffice, pour ainsi créer le réseau de distribution de produits d’assurance le plus solide au pays.

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Equisoft consolide sa position en Europe https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/equisoft-consolide-sa-position-en-europe/ Wed, 02 Feb 2022 13:09:32 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=84894 Le fournisseur technologique conclut un partenariat avec Hellenic Life.

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Equisoft consolide sa position en Europe en implantant la plateforme complète d’administration des polices de l’assureur européen Hellenic Life. Après l’acquisition du géant de la retraite et de l’investissement au Royaume-Uni, Altus, l’an passé, l’entreprise se lie avec l’une des plus grandes institutions financières de Chypre, Hellenic Bank.

Equisoft va ainsi soutenir la transformation numérique complète de l’assureur vie. Hellenic Life a déjà intégré les outils de solutions de gestion pour les soumissions et illustration (Equisoft/illustrate), une application électronique (Equisoft/apply) et le système d’administration des polices d’assurance d’Equisoft.

« Nous voulions être agiles et améliorer notre flexibilité et nos processus. C’est pourquoi nous avons opté pour une solution moderne et évolutive qui nous permet de contrôler entièrement le cycle de vie de nos produits et nous aide à rationaliser nos opérations et le parcours de nos clients », a expliqué Andreas Papadatos, directeur général de Hellenic Life, pour justifier le choix d’Equisoft.

Hellenic Life a ainsi confié la gestion de la migration des données pour plus de 80 000 polices d’assurance à la firme de technologie axée sur les affaires basée à Montréal.

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Broadridge se tourne vers Equisoft https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/broadridge-se-tourne-vers-equisoft/ Wed, 03 Nov 2021 12:10:16 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=83178 Afin de bonifier sa plateforme de gestion de patrimoine.

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Broadridge Financial Solutions et Equisoft concluent un partenariat stratégique. Celui-ci permettra à Broadridge Canada de proposer de nouvelles solutions sur sa plateforme de gestion de patrimoine.

Ainsi, la suite de solutions d’Equisoft, qui comprend des outils de planification financière, de gestion de la relation client (CRM) et de génération de propositions de placement, se greffera à la plateforme de gestion de patrimoine de Broadridge.

« Broadridge est un leader mondial des technologies financières qui propose une plateforme de gestion de patrimoine unique et consolidée permettant de moderniser toutes les activités d’une entreprise de services financiers. Nos solutions de gestion du patrimoine s’intègrent parfaitement à cet écosystème, observe Anthony Stockley, vice-président, Solutions de gestion de patrimoine, Canada chez Equisoft. En conjuguant nos domaines d’expertise respectifs, nous offrons maintenant à nos clients une expérience utilisateur globale améliorée et favorisons la croissance et les économies de coûts dans toute l’organisation. »

Rappelons que la technologie d’Equisoft est déjà utilisée par nombre d’institutions financières dans le monde. Sa suite d’outils financiers permet aux clients de produire des analyses de portefeuille poussées et d’assurer le suivi des objectifs d’investissement dans le cadre d’un plan de gestion de patrimoine complet.

« Notre partenariat procure une suite élargie de solutions qui permettent aux professionnels en gestion d’actifs et de patrimoine de s’adapter aux nouvelles attentes des clients et des autorités réglementaires, grâce à des outils de pointe pour découvrir les besoins des clients, approfondir les relations avec eux et augmenter la productivité », souligne Donna Bristow, chef de produits, Patrimoine chez Broadridge.

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Nouveau chef des finances à Equisoft https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/nouveau-chef-des-finances-a-equisoft/ Mon, 28 Jun 2021 12:12:13 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=80795 NOUVELLES DU MONDE – Brian Cosgrove se joint à l’équipe de la fintech.

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Equisoft accueille Brian Cosgrove au sein de son équipe à titre de chef des finances. Il aura comme mandat de mettre en œuvre la stratégie de croissance de l’entreprise et à renforcer son efficacité financière. Un rôle tout désigné pour ce spécialiste de l’accélération de la croissance pour les entreprises technologiques à capital public et privé.

« Brian est un chef des finances à l’esprit stratégique qui saura enrichir notre culture de rendement déjà solide. Il s’est forgé une impressionnante réputation pour l’exécution et l’obtention de résultats, sans compter ses réalisations en matière de génération de croissance; c’est donc la personne toute désignée pour ce poste », se réjouit Luis Romero, fondateur et président d’Equisoft.

Brian Cosgrove a longtemps travaillé au sein d’entreprises de logiciels et de services professionnels. Au cours de la dernière décennie, il a occupé le poste de chef des finances pour plusieurs entreprises en essor dans le secteur des technologies, concluant diverses opérations de fusion et d’acquisition pour un total de plus d’un milliard de dollars.

« C’est formidable de me joindre à une équipe d’exception qui aide les compagnies d’assurance et de placements à accélérer leur virage numérique, se réjouit-il. J’ai hâte de travailler avec la direction d’Equisoft et de contribuer à élaborer des solutions aux problèmes les plus importants et les plus complexes auxquels nos clients sont confrontés. »

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La technologie, un challenge de taille pour les assureurs vie https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-technologie-un-challenge-de-taille-pour-les-assureurs-vie/ Wed, 23 Sep 2020 11:28:28 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=75236 Ces derniers doivent toujours composer avec un horizon temporel de près de 150 ans.

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Le manque d’investissement technologique dans le secteur de l’assurance vie est un thème récurrent. Nombre de personnes blâment le secteur et le manque d’intérêt des assureurs, mais en réalité le problème est davantage complexe, selon un rapport de recherche publié par Celent.

Le défi fondamental des assureurs vie est la durée de vie de leurs produits. Chez les autres assureurs, quand un nouveau système est mis en place, ils n’ont généralement pas besoin de faire de conversion. Les polices se terminent sur l’ancien système et se renouvellent sur le nouveau. En assurance vie, ce n’est pas aussi facile.

« Les assureurs vie sont confrontés à un horizon beaucoup plus long que les autres types d’assureurs puisqu’ils ont dans leurs systèmes des polices qui peuvent avoir été vendues il y a 75 ans, et des polices vendues aujourd’hui qui pourraient être en vigueur pour 75 autres, créant un problème de 150 ans », constate Celent dans son rapport.

La complexité des données à long terme, parfois peu fiables, stockées sur des systèmes vieillissants complique le monde technologique des assureurs vie et rente.

Cela fait des années que ces entreprises font en sorte de maintenir leur infrastructure vieillissante, tout en remplaçant leurs systèmes patrimoniaux et assurant la migration de leurs données vers une plateforme moderne pour répondre à ce problème de temporalité. Mais ces considérations sont devenues du jour au lendemain, une urgence.

Les clients, qui font également affaire avec d’autres assureurs ont des exigences plus élevées et en raison de la pandémie et de la distanciation sociale, il n’est plus possible d’envisager de continuer les rencontres en face à face. « Des outils de première ligne numériques intégrés et des flux de travail automatisés sont désormais requis pour optimiser le processus de vente », note Equisoft dans un communiqué de presse.

« Plusieurs assureurs sont au pied du mur en ce qui concerne la nécessité de se doter d’un nouveau système central. Il leur sera très difficile de demeurer concurrentiels en utilisant une technologie qui n’est plus prise en charge, dont le code n’est plus en usage, qui repose sur une architecture complexe et coûteuse, et qui dépend d’employés approchant l’âge de la retraite ou l’ayant dépassé », ajoute Keith Raymond, analyste principal, assurance-vie et rentes, Amériques chez Celent.

Malgré l’environnement actuel complexe, nombre d’entreprises ont réussi à faire ce grand pas en avant dans la mise-à-jour du back-office ou travaillent pour y arriver, constate Celent à la suite d’entrevues réalisées avec des personnes clés de onze assureurs en Amérique du Nord.

Bien que la tâche soit difficile, le rapport de Celent montre que la plupart des entreprises interrogées sont enthousiastes face à cette modernisation. Et bien que le rapport souligne qu’il est presque impossible pour la plupart des entreprises, de créer une analyse coûts-avantages indépendante pour une mise-à-jour back-office qui se traduit par un retour sur investissement positif, les assureurs décident d’aller tout de même de l’avant.

Parmi les 11 assureurs interrogés, dix ont obtenu un retour sur investissement négatif, ou géré un retour sur investissement positif uniquement en combinant le projet avec d’autres initiatives dans le cadre d’un programme.

Un seul assureur a été en mesure de fournir un retour sur investissement positif. Et même dans ce cas, le rendement était modeste et dépendait d’un certain nombre de facteurs clés.

Toutefois, Celent estime que les assureurs vie qui n’ont pas encore fait le pas devraient se dépêcher, car leurs concurrents n’ont pas attendu et ont décidé d’investir même si la probabilité de rendements positifs était très faible.

Ces entreprises ont compris le risque de stagner dans le passé et la nécessité d’une plateforme moderne et soutenue, conclut Celent.

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