Un homme d'affaire levant une main en signe d'indifférence.
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« Nous sommes conscients que favoriser le changement signifie passer à l’action. C’est pourquoi nous effectuons ces investissements importants pour accroître la diversité au sein de notre équipe et pour mieux comprendre le rôle que nous pouvons tous jouer en étant un allié et en soutenant l’inclusion », souligne Roy Gori, président et chef de la direction de Manuvie.

Dans sa stratégie de diversification de ses objectifs, Manuvie met l’accent non seulement sur le recrutement, mais aussi sur le perfectionnement et l’avancement des professionnels faisant partie des communautés de personnes autochtones, noires et de couleur (PANDC).

Ces investissements ciblés de Manuvie et John Hancock se divisent en trois volets :

1)      Accroître la représentation de talents diversifiés faisant partie des communautés du PANDC.

Pour cela, Manuvie compte faire du recrutement ciblé dans des écoles postsecondaires, établir des partenariats avec Avantage carrière au Canada et avec le programme MLK Scholars aux États-Unis pour embaucher des jeunes. La firme compte également offrir un programme d’accélération du perfectionnement professionnel pour les gestionnaires à forts potentiels faisant partie des communautés de PANDC et établir des objectifs d’embauche de gestionnaires.

2)      Favoriser une plus grande inclusion.

Notamment grâce à des programmes et des forums d’écoute pour favoriser les conversations.

3)      Soutenir les organisations qui aident les communautés.

Les organisations visées pour le moment sont NAACP Legal Defense and Educational Fund, Equal Justice Initiative, ICON Talent Partners, Canadian Association of Urban Financial Professionals et la Fondation canadienne des relations raciales.

« Grâce à des discussions franches avec les membres de notre équipe, nous avons élaboré ce plan en fonction de leur rétroaction, en nous concentrant sur les aspects qu’ils considèrent comme les leviers les plus importants pour nous aider à créer un changement durable », explique Roy Gori.