Ainsi, au deuxième trimestre de 2013, Fiera a dégagé un bénéfice net de 3,4 M$, ou de 0,06 $ par action, comparativement à une perte nette de 3,5 M$ pour le même trimestre en 2012. Cette perte s’explique par « des éléments hors trésorerie de 3,8 M$, ou de 0,07 $ par action, et par des charges non récurrentes de 1,3 M$ ».

En rajoutant ces éléments et charges au bénéfice net, Fiera obtient un bénéfice net ajusté de 8,5 M$, ou de 0,16 $ par action, pour le trimestre terminé le 30 juin 2013, contre un bénéfice net ajusté de 7,1 M$, ou de 0,13 $ par action, pour la période correspondante de 2012.

Durant le deuxième trimestre, Fiera a vu ses ventes, ses coûts ainsi que son actif sous gestion influencé par les acquisitions d’actifs de CWM, d’UBS et de GMP. À 65 G$ au 30 juin 2013, l’actif sous gestion de Fiera est stable par rapport au 31 mars 2013, mais est en hausse de 10,7 M$, ou 20 %, par rapport au 30 juin 2012.

Quant à la hausse du dividende, Fiera a annoncé qu’elle avait augmenté son dividende trimestriel de 0,09 à 0,10 $ par action. Fiera affiche ainsi deux augmentations de dividende au cours de six derniers mois pour une hausse combinée de 25 %.

« Grâce à notre stratégie de croissance Fiera Capital a été en mesure de générer substantiellement de valeur pour ses actionnaires et ses clients. Les solides résultats financiers du deuxième trimestre sont le reflet du potentiel de nos acquisitions. En effet, nous bénéficions rapidement d’une marge de manoeuvre accrue par rapport à nos coûts fixes, ce qui nous permet d’accroître nos marges et notre rentabilité », a déclaré Jean-Guy Desjardins, président du conseil, chef de la direction et chef des placements de Fiera Capital, dans un communiqué.