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Une conjoncture macroéconomique instable, des craintes de récession[1] et des conflits commerciaux créent de la volatilité[2] sur les marchés mondiaux.
Dans ce contexte, il est important que les investisseurs diversifient leurs portefeuilles et se concentrent sur des stratégies défensives, affirme Bipan Rai, premier directeur général et chef, Stratégies liées aux FNB et aux placements non traditionnels, à BMO Gestion mondiale d’actifs (GMA).
Voici ce qu’il prévoit pour 2025, y compris les secteurs pour lesquels il reste optimiste et les secteurs où les investisseurs peuvent continuer à trouver un potentiel de rendement.
Q. Quelles grandes tendances caractériseront l’année 2025?
Bipan Rai: Malheureusement, l’imprévisibilité de la politique commerciale américaine prédomine en raison des implications à long terme sur la situation macroéconomique. Cela aura des répercussions sur les investissements et déterminera les tendances pour le reste de l’année. Tout d’abord, cela signifiera qu’à l’avenir, les investisseurs envisageront sans doute plus sérieusement la diversification géographique. Par ailleurs, les anticipations d’inflation pourraient rester importantes pendant un certain temps, ce qui, par extension, implique un risque accru de corrélation entre les actifs traditionnels (actions et obligations). Cela pourrait créer des occasions dans le domaine des produits non traditionnels.
D’autre part, les élections qui ont vu la victoire du Parti libéral avec un mandat minoritaire sont importantes. En effet, la direction que prendra la politique fiscale des libéraux au Canada et ce que cela signifiera pour le marché obligataire canadien seront des points à surveiller.
Q. Comment les investisseurs peuvent-ils protéger leurs portefeuilles contre la volatilité des marchés?
B.R.: Il existe une foule de solutions, mais notre approche préférée consiste à augmenter légèrement la part des produits non traditionnels dans notre portefeuille. Au lieu d’une répartition traditionnelle de 60/40 entre actions et obligations, nous choisirions une répartition 50/30/20 entre actions, obligations et placements non traditionnels. Et dans chaque catégorie, nous insisterions sur l’importance de sélectionner des titres qui ne sont pas fortement corrélés les uns aux autres.
Dans la partie actions, nous préférerions des stratégies à faible volatilité qui suivent les actions américaines et canadiennes. À l’extérieur de l’Amérique du Nord, nous avons augmenté notre exposition à l’Europe et à la Chine.
Q. Pour quels secteurs êtes-vous optimiste?
B.R.: À BMO GMA, nous aimons utiliser une approche à deux volets en matière d’allocation sectorielle. Par exemple, dans le contexte actuel, nous pourrions associer deux secteurs défensifs, comme les soins de santé et les services publics, à un secteur procyclique, comme les services financiers. Nous pourrions remplacer les soins de santé par un autre secteur défensif, comme les produits de base, mais à nos yeux, l’idée reste la même.
« Il faut se concentrer sur la diversification pas uniquement d’un point de vue géographique, mais aussi sur des stratégies un peu plus défensives. »
Q. Quels sont les trois conseils que vous donneriez aux investisseurs en 2025?
B.R.: D’abord, il faut se concentrer sur la diversification pas uniquement d’un point de vue géographique, mais aussi sur des stratégies un peu plus défensives. Ensuite, il est important de comprendre la situation au niveau macroéconomique et ses conséquences pour la politique monétaire à l’avenir. La Réserve fédérale pourrait ne pas être aussi rapide à réduire les taux d’intérêt qu’on le pense et si cela se produit, cela laisse présager des difficultés pour l’économie réelle et, par extension, pour les actions. Finalement, donnez la priorité aux liquidités et concentrez-vous sur les flux de trésorerie pendant les prochains mois. Actuellement, l’incertitude liée à la politique et à la politique commerciale est simplement trop grande.
Q. Pourquoi BMO GMA a-t-elle lancé ses FINB sectoriels sélectionnés SPDR au Canada?
B.R.: À BMO GMA, nous voulons aider les clients et les investisseurs canadiens à accéder à diverses solutions de placement pour leur permettre d’atteindre leurs objectifs particuliers. Notre gamme de FNB comprend plus de 180 produits[3] susceptibles d’améliorer la construction d’un portefeuille et de la compléter.
Les FINB sectoriels sélectionnés SPDR de BMO permettent aux investisseurs d’accéder aux 11 secteurs américains de la norme de classification industrielle mondiale (GICS) grâce à des FNB cotés au Canada. Dans le contexte actuel, marqué par une certaine volatilité, ces FNB peuvent représenter un moyen supplémentaire de générer de l’alpha potentiel, tout en offrant également une possibilité d’atténuer le risque de baisse. Nos FNB cotés au Canada sont disponibles en version couverte et non couverte, ce qui permet aux investisseurs d’économiser sur leurs coûts de conversion et de contrôler leur exposition au dollar américain.
Q. Comment ces FNB peuvent-ils compléter les portefeuilles des clients?
B.R.: Vous pouvez utiliser les FNB sectoriels de BMO dans les portefeuilles de vos clients pour agir de façon tactique dans le contexte macroéconomique, tout en réduisant le risque de baisse grâce à la diversification. Les conseillers peuvent envisager de consacrer une partie, par exemple 10 % de la portion actions, à quelques secteurs, en fonction des objectifs de placement et du profil de risque de chaque client. Dans le contexte actuel, nous considérons que les secteurs défensifs, comme les soins de santé ou les services publics, devraient continuer à performer, alors que ces derniers offrent un rendement attrayant. L’association de ces secteurs à des secteurs procycliques peut donner aux investisseurs la possibilité de profiter des hausses, tout en offrant un certain degré de diversification pour atténuer les baisses. C’est ainsi que vous pouvez utiliser les FNB sectoriels de BMO dans les portefeuilles pour tirer réellement parti de la conjoncture macroéconomique.
Découvrez la gamme de FINB BMO sectoriels sélectionnés SPDR.
[1] Récession : ralentissement important et généralisé de l’activité économique qui dure généralement plus de quelques mois.
[2] Volatilité : indicateur du degré de fluctuation du prix d’un titre, d’un produit dérivé ou d’un indice.
[3] BMO GMA, au 30 avril 2025.
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On ne peut pas investir directement dans un indice.
Les produits de FNB sectoriels sont également sujets au risque sectoriel et au risque de non-diversification, ce qui se traduit généralement par des fluctuations de cours plus importantes que l’ensemble du marché.
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