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la bonification du régime de rentes du Québec (RRQ) constitue un véritable eldorado pour la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ). En effet, les réserves du RRQ, gérées par la Caisse, franchiront le cap du 1 000 G$ d'ici 2065. Cependant, des voix s'élèvent pour dénoncer cette concentration de l'épargne. D'autres, dont le Conseil des gestionnaires en émergence (CGE), voudraient qu'un pourcentage de ces actifs soit confié à des gestionnaires émergents québécois.D'entrée de jeu, précisons que la loi prévoit que ces réserves seront comptabilisées dans deux régimes distincts : le régime de base, soit le régime actuel mis en place en 1966, et le nouveau régime supplémentaire. «Les cotisations et les prestations de chacun des régimes feront l'objet d'une comptabilité distincte», peut-on lire dans le «Rapport modifiant l'évaluation actuarielle du Régime de rentes du Québec».

  • 1 février 2018 12 novembre 2019
  • 00:59

Voilà, c'est fait. le gouvernement québécois se plie aux arguments des experts et des divers groupes de la société civile qui exigeaient que le Régime de rentes du Québec (RRQ) soit harmonisé avec les modifications apportées par le gouvernement fédéral au régime en vigueur ailleurs au pays. Toutefois, les représentants devront faire encore plus attention à certaines variables.Ils devront faire oeuvre de pédagogie et expliquer les nouvelles modifications à leurs clients, selon F. Hubert Tremblay, conseiller principal chez Mercer.

  • 1 janvier 2018 12 novembre 2019
  • 00:57

DOSSIER RETRAITE - Les fonds distincts à garantie de retrait à vie (GRV) de deuxième génération n'ont pas l'attraction de leurs homologues de première génération, mais ils peuvent être utiles dans la planification de la retraite de certains clients.

  • 15 novembre 2017 11 novembre 2019
  • 00:00

Les mauvais rendements qu'obtiennent de nombreux investisseurs s'expliqueraient notamment par le fait que les comportements humains qui apparaissent comme étant logiques et efficaces dans la vie de tous les jours ne le sont pas dans le monde des investissements, selon Ray Sin, docteur en sociologie et associé de recherche en économie comportementale chez Morningstar.Pour illustrer ce phénomène, Ray Sin a utilisé l'exemple de la restauration, lors du congrès annuel de Morningstar tenu à Chicago en avril dernier : «Si on vous présente deux hamburgers, il est facile de différencier celui qui est comestible de celui que ne l'est pas, puisque le premier sera plus frais et qu'il ne sentira pas la viande avariée ou ne contiendra pas de traces de moisissure. Dans le monde de l'investissement, ce réflexe n'est pas toujours aussi efficace, dit-il. Est-ce que le fonds commun qui est le mieux présenté est forcément le meilleur ?»

  • 15 novembre 2017 4 février 2019
  • 00:00

L’inflation pointe. Que doit-on favoriser dans les portefeuilles ? Les obligations à rendement réel et les titres de pays émergents semblent avantagés.

  • 30 octobre 2017 15 octobre 2019
  • 10:23

DOSSIER PLANIFICATION FISCALE 2017 – Le complément de garantie est un élément clé des fonds distincts. Les titulaires de contrats apprécient la quiétude d'esprit que la garantie à l'échéance procure, puisqu'ils sont ainsi prémunis contre les pertes sur leurs placements à l'échéance (10 ans) ou au décès.

  • 15 octobre 2017 11 novembre 2019
  • 00:00

Alors que l'inflation reste sous les cibles des banquiers centraux, des analystes perçoivent toutefois des signes annonciateurs de son accélération. Serait-ce le temps de réaligner la composition des portefeuilles afin d'y inclure des actifs qui les protégeraient de cette calamité ?Si l'on en croit le «Rapport sur les prix alimentaires à la consommation 2017» de l'Université Dalhousie, la hausse des prix serait sous-estimée par Statistique Canada. Le prix de la viande, par exemple, aurait augmenté de 10 % depuis le début de l'année, selon les auteurs de l'étude. Le rapport prévoit un taux d'inflation pour les aliments de 4 à 6 % en 2017.

  • 15 octobre 2017 16 janvier 2019
  • 00:00

Bon nombre d'investisseurs misent sur les actions à dividendes élevés étant donné la faiblesse des taux d'intérêt. Ces actions se comportent toutefois moins bien lorsque les rendements obligataires remontent. Pire : plus ces actions ont un dividende élevé, plus elles sont à risque.«Nous avons mené une étude portant sur la période de 1953 à 2016 et avons constaté que les actions à dividendes élevés sont les plus vulnérables», a dévoilé Alex Bryan, directeur de la recherche sur les stratégies passives, Amérique du Nord chez Morningstar, lors d'un panel tenu à Chicago en avril. En effet, ces titres se comportent mal en période de hausse des taux, car les obligations deviennent alors plus intéressantes par rapport aux actions à dividendes.

  • 1 septembre 2017 12 mars 2018
  • 00:00

Elle investit 180 $ en début de carrière et lègue 7 millions $ à son décès. La recette de Grace Groner ? Les dividendes et… la discipline.

  • 21 août 2017 16 octobre 2019
  • 14:43

La décision de Betterment, le principal robot-conseiller américain, de délaisser son offre en ligne en faveur des conseillers humains suscite des questions.«En fin de compte, Betterment vient de prendre un virage important qui annonce la fin du modèle d'affaires des robots-conseillers sans intervention humaine», estime Michael Kitces, un conseiller américain et auteur du blogue financier Nerd's Eye View (www.kitces.com). «En fait, depuis leur émergence il y a cinq ans, la croyance répandue dans l'industrie était que les robots-conseillers entraîneraient une baisse de la rémunération des représentants, puisque la composition des portefeuilles allait devenir une simple commodité», poursuit le conférencier à de nombreux congrès de planificateurs financiers américains.

  • 1 juin 2017 1 juin 2017
  • 00:00