Un système de transactions cautionné par l'industrie vise à éliminer les questions administratives.
Cette proposition, qui occasionnerait des économies de coûts pour les conseillers en ligne, est sujette à l'approbation de la CVMO.
Il ne faudra pas attendre longtemps en 2017 pour qu'un dénouement intervienne sur la question la plus controversée relative aux conseils financiers : l'avenir des rémunérations intégrées.
La valeur des conseils ne se mesure pas selon des normes ou des indices universellement acceptés. Mais cela n'a pas découragé les experts de la recherche en placement, notamment Morningstar, d'élaborer des manières de la quantifier.
Les conseillers robots ont suscité des louanges pour offrir des solutions pratiques à un coût plus bas que les prestataires de services financiers traditionnels. Toutefois, leur percée sur le marché du détail canadien n’a pas été sans pleurs et grincements de dents, selon une enquête récemment menée par DALBAR Inc.
Les organismes de réglementation canadiens des valeurs mobilières ont envoyé mercredi les plus forts signaux à ce jour qu'ils allaient de l'avant pour interdire aux compagnies de fonds de placement de payer les courtiers et les négociants en fonds communs de placement pour vendre leurs produits.
L'estimation du temps nécessaire pour doubler son argent doit tenir compte de l'inflation.
Les conseillers-robots semblent être une excellente alternative pour les jeunes investisseurs dont les actifs sont plus modestes, dont les besoins de planification financière sont plutôt simples, et qui ont d'autres choses en tête que d'économiser pour une retraite qui n’est prévue que dans plusieurs décennies.
Baisses d'impôt pour les gens à revenu moyen, hausses d'impôt pour les plus nantis et réduction des contributions pour les comptes d'épargne libre d'impôt figurent parmi les changements affectant les foyers canadiens que le nouveau gouvernement Libéral prévoit instaurer.
L'augmentation de la limite des cotisations annuelles aux comptes d'épargne libres d'impôt, annoncée dans le budget fédéral, a changé la donne pour ce qui est de l'épargne à l'abri de l'impôt, du moins pour ceux qui peuvent se le permettre.