Accueil Jean-François Barbe

Les femmes sont plus calmes que les hommes, et cela les favorise en matière de placement. En effet, elles suivent beaucoup plus fidèlement leur plan de match et prennent moins de risques, estime LouAnn Lofton, auteure du livre Warren Buffett Invests Like a Girl: And Why You Should, Too (New York, HarperBusiness, 259 p., 2011). Ce n'est pas tout puisqu'à notre époque, où la diversité générationnelle règne, les femmes seraient de meilleures gestionnaires que les hommes. C'est ce qu'avancent les auteurs d'une enquête britannique menée auprès de 28 000 employés. «Les décisions des gestionnaires sont davantage contestées que par le passé et la capacité à diriger en suscitant la collaboration est plus importante que jamais», signale un des responsables de l'enquête. Selon les résultats de cette étude, les femmes de la génération Y (nées après 1980) affichent de bien meilleurs résultats que leurs homologues masculins en matière d'habiletés organisationnelles et d'altruisme. Il s'agit de qualités essentielles pour diriger des organisations dans lesquelles jusqu'à cinq générations différentes se côtoient maintenant (http://tinyurl.com/qcfgtae).

  • 1 janvier 2015 1 janvier 2015
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Qu'est-ce qui vous rend unique aux yeux de vos clients ? Des solutions sur mesure ? L'expérience ? Votre indépendance et votre volonté de défendre les intérêts du client ? Ces arguments sont nécessaires, mais insuffisants pour convaincre les clients, car ils les tiennent pour acquis. Est-ce le fait de les soulager du fardeau de la gestion de leurs avoirs afin de leur permettre de profiter de la vie ? Mauvaise réponse, car seuls les plus jeunes et les millionnaires (plus de 5 M$ d'actif) sont sensibles à cet aspect. Qu'est-ce qui, alors, vous est propre et constituerait votre fameuse proposition de valeur ? Afin de trouver de bons exemples, la firme américaine Pershing a examiné les sites Web des meilleurs conseillers tels que repérés par l'hebdomadaire Barron's dans son dossier annuel «Top 100 Financial Advisors». Pershing a aussi interviewé 600 épargnants qui ont un actif d'au moins 1 M$ pouvant être investi. Cette étude fascinante conclut qu'il doit y avoir une connexion émotionnelle entre le conseiller et son client ; que ce dernier doit comprendre rapidement les avantages de cette relation ; et que l'argument de vente doit être rationnel. En outre, il est essentiel de bien cerner sa cible démographique, car les moins de 40 ans ne réagissent pas aux mêmes messages que les plus de 65 ans (http://tinyurl.com/nrb6nbl).

  • 1 janvier 2015 1 janvier 2015
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«Tant qu'on a la santé, tout va», dit l'expression. Et c'est si vrai, qu'avec la santé vient aussi l'épargne ! Une enquête menée auprès de 1 700 Américains montre que les personnes en excellente santé épargnent en moyenne 20 % de leurs revenus, par rapport à 14 % chez ceux qui affichent un état de santé qualifié de «passable» à «mauvais» (http://tinyurl.com/pgqtf56). De plus, les employés en très bonne santé paient leurs dettes plus vite que les autres et disposent d'un meilleur coussin financier en cas de coup dur. Par exemple, parmi les personnes qui jouissent d'une très bonne santé, deux sur trois pensent qu'elles ont suffisamment de ressources pour assumer les conséquences financières d'une maladie grave, par rapport à une personne sur trois dont l'état de santé est passable ou mauvais. Les auteurs de l'étude n'en font pas mention, mais les conseillers devront-ils inclure des conseils sur la nutrition et l'exercice physique lors de leurs communications futures avec leurs clients ?

  • 1 janvier 2015 1 janvier 2015
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Un Américain sur six seulement pense que les perspectives d'emploi de la prochaine génération seront meilleures que les leurs (http://tinyurl.com/obp75ek). Il ne faut pas s'en étonner, affirme l'auteur de ce livre. Très pessimiste, il pense que la production manufacturière transférée dans les pays où la main-d'oeuvre est moins coûteuse ne reviendra pas, et que seuls les gens qui sont en mesure de compléter le travail des ordinateurs (par exemple en analyse financière) ou d'effectuer des tâches qui ne peuvent être réalisées par des ordinateurs (comme motiver et gérer des équipes) feront de l'argent. Quant aux autres, s'ils ont la chance de travailler, ils seront condamnés à occuper des emplois mal payés.... Trois nouveaux emplois sur quatre créés aux États-Unis depuis 2008 afficheraient un salaire horaire moyen inférieur à 13,50 $. Selon l'auteur, 15 % des gens connaîtront le rêve américain. Les autres vivront mal, abrutis par des jeux vidéo et des biens de consommation de mauvaise qualité.

  • 1 janvier 2015 1 janvier 2015
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À compter de janvier 2015, le produit à garantie de retraits Helios2 de Desjardins Assurances comprendra une nouvelle option de frais de rachat réduits, appelée Série 6B. Helios2 comportait jusqu'ici une Série 6A (sans frais) avec commission de suivi de 1 %, une Série 6C avec frais de rachat différés sur sept ans avec commission de première année de 5 % et commission de suivi de 1 % (sauf pour deux fonds de revenu), ainsi qu'une Série 7A sans aucuns frais, avec dépôt minimal de 250 000 $ et commission de suivi de 0,90 % (à l'exception de trois fonds de revenu). Au printemps dernier, les frais de gestion des fonds de la Série 7A avaient été réduits de 50 points de base par rapport à ceux de la Série 6A. Selon Desjardins Assurances, le dépôt minimal de la Série 7A, qui concerne les clientèles fortunées, est «l'un des plus bas de l'industrie». Rappelons que l'assureur a aussi introduit la notion de boni variable, définie par l'évolution du taux des obligations canadiennes de 10 ans plus 1,5 %. Le taux de boni de la garantie de retrait à vie d'Helios2 s'établit ainsi entre 2,5 % et 8 %. Jusqu'au 31 mars 2015, le montant forfaitaire minimal d'Helios2 - 75/100 GRV sera de 25 000 $ au lieu de 10 000 $. Et afin qu'Helios2 rejoigne un vaste public, les conseillers ont maintenant accès à du matériel promotionnel rédigé en mandarin (http://tinyurl.com/pd34egf).

  • 1 janvier 2015 1 janvier 2015
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Ancien PDG du Collège des médecins, le docteur Yves Lamontagne a pris sa retraite en 2010. Depuis lors, il est devenu une véritable machine à écrire, ce livre étant son cinquième ouvrage en quatre ans. Il montre ainsi que la retraite, comme il le dit, est «un nouveau départ plutôt qu'une période de déclin». En bon pédagogue, Yves Lamontagne puise dans ses lectures et ses connaissances pour nous montrer, par exemple, que les retraités qui font de l'exercice de façon modérée se tiennent loin du régime des soins de santé de 10 à 20 ans de plus que ceux qui sont inactifs. Il recommande de travailler à temps partiel ou de faire du bénévolat le plus longtemps possible. Il conseille aux préretraités d'épargner 12 % de leur salaire et de consulter un conseiller, car il pense que les régimes publics pourraient imploser d'ici une vingtaine d'années. À recommander aux clients qui réfléchissent à cette future étape de leur vie.

  • 1 décembre 2014 1 décembre 2014
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Le financement de primes, le règlement d'assurances viatiques (life settlement) et le rachat à rabais de contrats d'assurance vie par des tiers n'ayant aucun intérêt assurable dans la vie de l'assuré ne sont plus tolérés par l'Assomption Vie. «Si nous détectons qu'un contrat d'assurance vie a été vendu en utilisant de telles pratiques, le remède est expéditif. Le contrat d'assurance vie de l'assuré sera immédiatement annulé», prévient l'assureur de Moncton dans un communiqué envoyé en octobre dernier aux conseillers en sécurité financière et aux courtiers en assurance vie. «De plus en plus répandues» sur le marché, ces pratiques «minent l'intégrité de notre industrie et vont à l'encontre du code de déontologie et d'éthique de notre compagnie», affirme l'assureur acadien. Il précise que «les courtiers impliqués dans le commerce nébuleux d'assurance vie pourraient être soumis à des procédures disciplinaires et se voir infliger d'importantes sanctions par les autorités de réglementation des provinces où ils détiennent un permis». Par exemple, la Commission des services financiers de l'Ontario (CSFO) a annoncé récemment que la vente ou le transfert de polices d'assurance vie pour une somme supérieure à la valeur de rachat, mais inférieure à la prestation nette au décès a «un caractère litigieux et, dans certains cas, illégal en Ontario». Le CSFO précise que ce type de police «risque de ne pas être valide parce que la tierce partie qui l'a vraiment souscrite n'a aucun intérêt assurable dans la vie de la personne assurée» (http://tinyurl.com/n7d2o4h).

  • 1 décembre 2014 1 décembre 2014
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La Financière Sun Life souligne qu'elle n'accepte pas les propositions de contrats d'assurance vie basées sur le financement sans recours des primes. Selon cette méthode, la vie de la personne assurée est l'unique garantie offerte pour le prêt. «Le prêteur réalise le financement purement par intérêt et ne profitera de la situation qu'au décès du client, lorsque le capital-décès sera versé», explique l'assureur. Dans un communiqué transmis aux conseillers en sécurité financière et aux courtiers en assurance vie en septembre dernier, Sun Life ajoute avoir «récemment pris connaissance» du phénomène de financement sans recours des primes en assurance vie. Si un client décide de demander ce type d'assurance, «il devrait obtenir un avis juridique avant d'aller de l'avant», signale la Sun Life. «Nous revoyons actuellement les questions de la proposition et le libellé du contrat pour déterminer la meilleure façon d'éviter que des propositions ne fassent l'objet d'un financement sans recours des primes», précise l'assureur.

  • 1 décembre 2014 1 décembre 2014
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Les courtiers en assurance vie de la Saskatchewan doivent suivre 15 heures de formation continue par an. Or, à compter de janvier 2015, l'autorité de réglementation Life Insurance Council of Saskatchewan modifie les critères de la formation continue (http://tinyurl.com/ljbukf6). Au moins 10 de ces 15 heures doivent porter sur des produits d'assurance vie ou d'assurance accident et maladie, la conformité, l'éthique, l'assurance erreurs et omissions, ou encore se rattacher à des cours menant à un titre reconnu comme celui d'assureur vie agréé. Cinq heures de formation continue, au plus, peuvent toucher aux fonds communs de placement, aux valeurs mobilières ou à la planification financière. Les cours portant sur les ventes, la promotion, la motivation et l'informatique ne sont pas admissibles. Les cours peuvent être suivis en classe, en séminaire ou en ligne. Ils peuvent également être suivis dans un cadre personnalisé.

  • 1 décembre 2014 1 décembre 2014
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La capitale s'apprête à entrer dans le top 10 des assureurs de personnes au Canada. Et si la tendance se maintient, l'assureur des fonctionnaires du gouvernement du Québec figurera bientôt au top 7 au pays.«Plusieurs conseillers sont surpris lorsque je mentionne que nous avons déjà dépassé BMO Assurance», dit Steven Ross, président et chef de l'exploitation, secteur Assurance de personnes et services financiers, de La Capitale.

  • 1 décembre 2014 1 décembre 2014
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