Accueil Jean-François Barbe

«Ceux qui estiment qu'ils ont moins bien réussi que leurs anciens collègues, mais qui se situent dans le haut de l'échelle sociale, sont moins heureux que ceux qui s'estiment plus bas dans l'échelle sociale, mais plus haut que leurs anciens pairs.» Cette phrase de l'auteure résume bien l'esprit de ce livre qui porte sur l'économie du bonheur. Après avoir décortiqué diverses études et expériences scientifiques, Claudia Senik conclut que le bien-être ressenti est toujours relatif. Et que notre malheur - s'il y a lieu - vient de notre tendance naturelle à vouloir nous comparer aux autres. À partir d'un revenu de 75 000 $ par an, l'argent n'a pas d'influence sur le bien-être, au point où en gagner 75 000 $ ou 1 M$ procurerait la même satisfaction face à la vie. Outre la comparaison avec les autres, un autre facteur de «bonheur» entre en jeu : la mobilité. Si on pense qu'il est possible de gravir les échelons ou de s'enrichir, on se sentira mieux dans sa peau, on trouvera davantage de sens à la vie et on verra les difficultés comme étant temporaires. Claudia Senik est professeure à l'Université Paris-Sorbonne.

  • 15 octobre 2015 15 octobre 2015
  • 00:00

Créée en 2006 en tant que spécialiste de structures de fonds dites fiscalement efficientes, NexGen a été durement touchée par le budget fédéral de 2013. La société ne pouvait plus utiliser de produits dérivés pour convertir des revenus d'intérêt en gains en capital.Les rachats nets ont atteint 159,5 M$ en 2013.Toutefois, le vent a semblé tourner lors du troisième trimestre de 2014, avec des ventes nettes de 18,5 M$, selon les dernières données disponibles sur SEDAR (source : NexGen Financial Corporation. Management discussion & analysis. For the three and nine months ended September 30, 2014).

  • 1 octobre 2015 1 octobre 2015
  • 00:00

Se définissant comme «institution super-régionale +», la Banque Nationale étend son rayon d'action à l'échelle canadienne.En 2014, le secteur de la gestion de patrimoine a tiré près de 44 % de ses revenus à l'extérieur du Québec.

  • 1 octobre 2015 1 octobre 2015
  • 00:00

Les assureurs de personnes à charte québécoise commenceraient-ils à manquer de souffle ?Pour la première fois en cinq ans, leur part de marché cumulative a reculé en 2014.Selon le Rapport annuel sur les institutions financières 2014 de l'Autorité des marchés financiers (AMF), la part de marché des assureurs de personnes à charte québécoise a atteint 52,2 % en 2014 au Québec, une baisse de 1,3 point de pourcentage par rapport à 2013.

  • 1 octobre 2015 1 octobre 2015
  • 00:00

Invesco Canada se classe parmi les 10 plus grands manufacturiers de fonds canadiens pour les FCP à long terme.Toutefois, la société perd du terrain depuis quelques années, car ses ventes se situent en territoire négatif. Elles sont de - 0,9 G$ US en 2014 ; - 0,7 G$ US en 2013 ; - 1,1 G$ US en 2012 (source : Invesco (U.S.A.) Rapport annuel 2014).

  • 1 octobre 2015 1 octobre 2015
  • 00:00

L'expansion se poursuit chez BMO. En avril 2015, la société a lancé deux FCP. Cinq autres FCP ont été mis en circulation en novembre 2014, dont deux sont codirigés par Denis Senécal, chef des placements, gestion active de titres à revenu fixe. Embauché en mars 2014, Denis Senécal travaillait précédemment chez State Street à titre de vice-président, gestion de titres à revenu fixe.Par ailleurs, cinq Portefeuilles d'éducation Objectif BMO destinés aux régimes enregistrés d'épargne-études (REEE) ont été lancés en novembre 2014. Les échéances s'échelonnent sur des périodes comprises entre 2020 et 2035.

  • 1 octobre 2015 1 octobre 2015
  • 00:00

De nouvelles études montrent que les épargnants cherchent des conseillers qui inspirent confiance. Par exemple, un sondage du CFA Institute souligne qu'un épargnant sur trois choisit de faire affaire avec le conseiller qui agira dans leurs intérêts. Un sur sept (15 %) portera son choix sur le conseiller recommandé par quelqu'un de confiance. Et 17 % des répondants choisiront le conseiller qui convainc par son éthique professionnelle (http://tiny.cc/a6l40x). Chez les conseillers, la clé de la réussite résiderait dans la transparence et la communication, et non seulement dans la définition d'une stratégie d'investissement. Effectivement, même si la stratégie était la meilleure et la moins coûteuse sur papier, qu'arriverait-il si le client panique lorsque les marchés vont mal ? La banque JP Morgan a examiné les rendements du S&P 500 de janvier 1995 à décembre 2014. Les épargnants qui seraient restés en Bourse pendant ces années auraient fait des gains annuels de 9,8 %. Cependant, plus les épargnants ratent les journées de reprise qui suivent immanquablement les journées difficiles, plus leurs résultats sont mauvais. Au point de s'enfoncer éventuellement - et solidement - en territoire négatif (http://tiny.cc/4sm40x).

  • 1 octobre 2015 1 octobre 2015
  • 00:00

Lancée en 2010, la famille de fonds communs de placement (FCP) de Jarislowsky Fraser soufflera ses cinq premières chandelles en octobre 2015.Jarislowsky Fraser fait partie d'une confrérie très sélecte, celle des gestionnaires d'actifs indépendants qui ont réussi à créer leurs propres familles de fonds. Jarislowsky Fraser avait lancé sa famille de FCP en 2010 après avoir perdu des mandats de gestion de la Banque TD. Aujourd'hui, ses FCP s'approchent du demi-milliard d'actif sous gestion.

  • 1 octobre 2015 1 octobre 2015
  • 00:00

PLACEMENTS AGF cherche la formule qui stabilisera l'actif sous gestion, en baisse de près de 5 % depuis les trois dernières années.Afin de contrer cette érosion, l'entreprise a accueilli en juin 2014 un nouveau chef des placements en la personne de Kevin McCreadie. La société dit avoir revu sous sa direction ses processus d'investissement afin d'améliorer le rendement des placements, selon une conférence téléphonique de juin dernier.

  • 1 octobre 2015 1 octobre 2015
  • 00:00

Un rapport du sénat canadien déposé en juin en chante les louanges. Il va même jusqu'à suggérer à l'Agence du revenu du Canada (ARC) d'adopter la technologie sur laquelle repose cette monnaie (http://tiny.cc/li3m2x).Le Comité sénatorial permanent des banques et du commerce souhaite que l'État limite l'encadrement de ces cryptomonnaies afin de ne pas en freiner le «vaste potentiel». En effet, elles pourraient réduire le coût des transactions, puisque les intermédiaires prélèveraient des commissions moins élevées. Mais il y a plus. Les auteurs du rapport pensent que la technologie du bitcoin appelée «chaîne de blocs» protège mieux l'identité des personnes et qu'elle sécurise davantage les transactions. «C'est comme si des millions d'ordinateurs indépendants dotés de caméras enregistraient ces transactions en même temps.»

  • 1 octobre 2015 1 octobre 2015
  • 00:00