Guillaume Poulin-Goyer est rédacteur en chef adjoint pour Finance et Investissement et Conseiller.ca, ainsi qu’administrateur de projet, recherche – Québec.
Guillaume Poulin-Goyer est rédacteur en chef adjoint pour Finance et Investissement et Conseiller.ca, ainsi qu’administrateur de projet, recherche – Québec.
BUDGET FÉDÉRAL 2017 – Le gouvernement fédéral envisage d’abolir le crédit d’impôt pour le transport en commun ainsi que le programme des obligations d’épargne au Canada.
BUDGET FÉDÉRAL 2017 – Le gouvernement fédéral souhaite contrecarrer une stratégie qui permettait à un client de profiter d’un avantage fiscal en effectuant certaines opérations avec des produits dérivés, aussi appelées opérations de chevauchement.
BUDGET FÉDÉRAL 2017 – Le gouvernement fédéral propose d’offrir un allègement aux manufacturiers au moment de la fusion de fonds commun de placement (FCP) constitués en sociétés par actions.
Des membres de l'industrie financière déplorent le manque de clarté des obligations proposées par les régulateurs provinciaux concernant le rôle de la personne désignée responsable et du chef de la conformité.C'est ce que révèle un survol des mémoires déposés relativement à la consultation 33-404 des Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) sur le rehaussement des obligations des conseillers, des courtiers et des représentants envers leurs clients.
Le programme de dénonciation de l'Autorité des marchés financiers (AMF) a beau en être à ses débuts, il donne déjà des résultats satisfaisants, selon le régulateur québécois.Le programme lancé en juin dernier a déjà recueilli près d'une trentaine de dénonciations dont la majorité sont de bonne qualité, a indiqué Éric René, directeur des services des enquêtes à l'AMF, lors de la 11e édition du Rendez-vous avec l'AMF, tenu à la mi-novembre.
Une éventuelle obligation règlementaire de recueillir davantage de renseignements sur la situation fiscale de base du client risque d'alourdir sans raison la tâche du conseiller. Et de créer de fausses attentes du client à l'égard de celui-ci.C'est ce qui ressort de plusieurs mémoires de membres de l'industrie financière remis aux Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) en réponse au document de consultation 33-404 sur le rehaussement des obligations des conseillers et des courtiers à l'égard de leurs clients. Selon ce document, la collecte de ces renseignements fiscaux additionnels serait nécessaire pour bien connaître son client. «Nous reconnaissons que les sociétés et les représentants ne fournissent pas de services de planification fiscale, à moins de l'annoncer explicitement», notent toutefois les ACVM dans l'avis 33-404.
Le top 25 de l'industrie financière se redéfinit. L'exercice conserve la même finalité, soit de souligner la performance, le leadership et l'engagement de 25 dirigeants, gestionnaires et entrepreneurs de l'industrie. Il donne aussi encore une place à la relève de l'industrie ainsi qu'aux gestionnaires de portefeuilles qui s'illustrent.C'est plutôt sa forme qui fait peau neuve. Finance et Investissement a segmenté le Top 25 en cinq catégories, chacune présentant quatre lauréats et un gagnant. La Personnalité financière de l'année est l'un des cinq gagnants des catégories. Les nouvelles catégories sont Institutions financières à portée nationale, Courtiers de plein exercice, Cabinets multidisciplinaires, Sociétés de gestion indépendante et Assureurs de personnes.
Top 25 - Richard Legault et son équipe n'ont pas chômé depuis que celui-ci est devenu président d'Industrielle Alliance Valeurs mobilières (IAVM) en janvier 2012. Sous sa direction, l'actif sous administration (ASA) d'IAVM est passé de 2,6 G$ à 8,6 G$ entre janvier 2012 et juin 2016. Durant cette période, le nombre de ses représentants est passé de 180 à 300.La croissance d'IAVM s'est faite à la fois de façon interne et par voie d'acquisitions, dont celles de Burgeonvest Bick Securities, FIN-XO Valeurs mobilières et MGI Securities, respectivement en mai 2016, en décembre 2015 et en avril 2014. Résultat : les revenus et le bénéfice d'exploitation d'IAVM ont connu une croissance annuelle moyenne de 20 % et de 15 % respectivement au cours des cinq dernières années.
Les régulateurs envoient une nouvelle salve aux commissions de suivi et aux frais d'acquisition reportés (FAR) sur les fonds d'investissement. Les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) projettent de les interdire, mais l'industrie financière entend les défendre.Selon le document de consultation 81-408 publié au début de janvier, l'interdiction toucherait les fonds au sens de la législation en valeurs mobilières, comme les fonds communs de placement et les fonds négociés en Bourse, ainsi que les billets structurés, offerts au moyen d'un prospectus ou sur le marché dispensé.
Plusieurs membres de l'industrie financière ont fortement critiqué les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) dans des mémoires qui répondent au document de consultation 33-404 sur le rehaussement des obligations des firmes et des représentants. À l'invitation de Finance et Investissement, l'Autorité des marchés financiers (AMF) a répondu à certaines de ces critiques.D'abord, plusieurs intervenants montraient du doigt le coût élevé de certaines propositions, dont la mise à jour tous les 12 mois des dossiers clients et l'enquête de marché équitable et impartiale que la firme offrant des produits non exclusifs devrait faire. Ce coût additionnel pourrait forcer des firmes à fermer boutique ou à se consolider, ce qui viendrait ultimement réduire l'accès au conseil pour l'investisseur peu fortuné, d'après des membres de l'industrie.