Le livre blanc, intitulé exposition fiscale américaine: plus large que vous pouvez imaginer, définit les différentes manières de respecter ses obligations au système fiscal américain.

« Vivre au Canada, à la frontière des États-Unis, est comme vivre à côté d’un éléphant. Son ombre est longue et large, et peut facilement avoir un impact sur nos vies quotidiennes, est-il écrit dans l’introduction. Le système fiscal américain s’étend très loin et beaucoup de Canadiens seraient surpris de voir jusqu’où ça se rend. »

Par exemple, un citoyen canadien vivant au Canada pourrait être surpris d’apprendre qu’il ou elle pourrait aussi être un citoyen américain, devoir payer des impôts aux États-Unis, si ses parents naturels sont des Américains mariés dont au moins un parent a vécu aux États-Unis à un moment donné.

Une personne qui vit au Canada, mais est titulaire d’une carte verte américaine peut également être tenue de payer des impôts aux États-Unis, même si cette carte verte expire.

En outre, le document de recherche explique également le calcul « test de présence substantielle » déterminant si les retraités migrateurs et d’autres personnes ont passé le nombre requis de jours aux États-Unis au cours d’une période déterminée et, par conséquent, peuvent être considérés comme des résidents des États-Unis aux fins de l’impôt sur le revenu.