Le montant que les Canadiens doivent par rapport à leur revenu a diminué au deuxième trimestre, l'aide gouvernementale visant à contrebalancer l'impact économique de la pandémie de COVID-19 ayant contribué à augmenter le revenu disponible, pendant que le montant de la dette est resté relativement inchangé.
En contrepartie, l'endettement non hypothécaire moyen a diminué.
Les banques canadiennes continuent de mettre de côté d'importantes sommes afin de pallier les mauvaises créances alors que la pandémie de COVID-19 continue de secouer l'économie.
Bien avant l'effet de la crise de la COVID-19 sur leurs finances, 50 % des étudiants diplômés de 2015 au Canada avaient déjà déclaré qu'ils étaient endettés à la fin de leur programme d'études.
Le gouvernement fédéral prévoit d'utiliser des programmes existants afin de créer rapidement une nouvelle mesure de soutien pour les travailleurs mis à pied qui ne seront pas admissibles à l'assurance-emploi lorsque prendra fin la PCU.
Les prêteurs vont devoir réimaginer leur service client.
Elle avait touché le fond du baril en avril.
Les consommateurs canadiens sont plus optimistes vis-à-vis de leur dette personnelle.
Certaines communautés sont aussi plus durement touchées.
Plusieurs craignent d’être incapables de continuer leurs études postsecondaires.