Dividendes – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 08 Feb 2024 18:16:58 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Dividendes – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 FNB pour les amoureux des dividendes https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/fnb-pour-les-amoureux-des-dividendes/ Wed, 14 Feb 2024 01:16:33 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98960 FOCUS FNB - On les trouve dans les fonds actifs, passifs et basés sur des facteurs.

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Les quelque deux douzaines de fonds négociés en Bourse (FNB) de la catégorie des actions canadiennes de dividende et de revenu forment un microcosme de l’univers général des FNB.

Les fonds passifs basés sur la capitalisation boursière adoptent une approche traditionnelle. À l’autre extrémité du spectre des stratégies, on trouve les mandats entièrement actifs, une nouvelle catégorie de FNB historiquement associée aux fonds communs de placement.

Les approches à bêta stratégiques se situent quelque part entre les deux. Ni passives ni totalement actives, elles reposent sur la sélection de facteurs quantifiables.

Comme l’indiquent les performances passées, chacune de ces trois stratégies principales – passive, pleinement active et fondée sur des facteurs – peut générer des rendements supérieurs à la moyenne.

L’une des stratégies les plus simples, et parmi les plus efficaces au cours des dix dernières années, est celle du Vanguard FNB indiciel FTSE canadien à dividende élevé (VDY), ayant un actif de 2,4 milliards de dollars (G$).

Tout d’abord, la stratégie classe les actions de grande, moyenne et petite capitalisation en fonction de leurs prévisions annuelles de rendement des dividendes. Elle descend ensuite dans la liste jusqu’à ce que la capitalisation boursière combinée représente 50 % de l’univers total. Enfin, les actions qui atteignent ce seuil sont pondérées en fonction de leur capitalisation boursière.

« Il s’agit d’une méthodologie simple qui a résisté à l’épreuve du temps », observe Sal D’Angelo, responsable des produits chez Placements Vanguard Canada, société basée à Toronto.

Sal D’Angelo note que le FNB se situe dans le quartile supérieur de son groupe de référence sur les trois, cinq et dix dernières années. Et ce, malgré le fait que la stratégie ne tente pas de sélectionner les titres en fonction d’attributs de qualité telles que la croissance des dividendes, la solidité financière ou les ratios de distribution.

Selon Sal D’Angelo, le coût est un facteur important pour expliquer les bonnes performances du FNB. Son ratio de frais de gestion (RFG) de 0,22 % est l’un des plus bas de sa catégorie, et cet avantage en matière de coûts s’est accru au fil du temps.

La forte pondération du FNB Vanguard en titres de sociétés financières et énergétiques – actuellement 56 % et 28 %, respectivement – joue également en sa faveur, car ces secteurs se sont bien comportés historiquement, souligne Sal D’Angelo. Mais cela fait en sorte que le portefeuille est soumis à un risque de concentration sectorielle plus élevé que certains de ses concurrents.

Le FNB actif de dividendes canadiens Dynamique (DXC), géré par la société torontoise Gestion d’actifs 1832 et dont la valeur de l’actif s’élève à 180 millions de dollars (M$), adopte une approche radicalement différente de l’investissement dans les dividendes.

Le rendement en dividendes est « la dernière partie du processus », mentionne le gestionnaire principal Don Simpson, et l’équipe de Dynamique ne s’appuie pas sur des critères quantitatifs. Elle s’attache plutôt à identifier les entreprises bien gérées et rentables qui peuvent augmenter leurs dividendes et générer des rendements totaux supérieurs au fil du temps.

« Chaque fois que l’on présente le rendement comme la raison d’être d’un investissement, rapporte Don Simpson, on se retrouve souvent dans des situations où les gens se demandent simplement comment ils peuvent continuer à payer le dividende, plutôt que comment l’entreprise va continuer à croître. »

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Année difficile pour les fonds de placements immobiliers https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/annee-difficile-pour-les-fonds-de-placements-immobiliers/ Fri, 05 Jan 2024 11:38:38 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98339 Mais « l'horizon est sur le point de s'éclaircir », estime un expert.

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L’année s’annonce encore difficile pour les fonds de placements immobiliers qui investissent dans les espaces de bureau, mais certains gestionnaires de portefeuille croient que le secteur offre des occasions pour les investisseurs à long terme.

« L’horizon est sur le point de s’éclaircir pour les fonds immobiliers dans les espaces de bureau, estime Michael McNabb, gestionnaire de portefeuille chez Purpose Investments, dans un courriel. On ne peut nier qu’ils sont bon marché, mais les propriétaires de bureaux sont confrontés à de nombreux vents contraires. »

« Je pense que beaucoup d’investisseurs oublient qu’il s’agissait de la classe d’actif la plus en vogue dans l’industrie à l’approche de 2020 », ajoute-t-il, alors que les taux d’inoccupation des bureaux étaient extrêmement serrés et que les investisseurs affluaient vers le secteur pour ses dividendes mensuels.

Après la pandémie, Michael McNabb a remarqué que la circulation piétonne dans le réseau de passerelles souterraines au cœur du centre-ville de Toronto était encore très faible, en particulier les lundis et vendredis. « Le bureau n’est pas mort, mais je crois qu’il a changé. »

Le télétravail a fait des ravages dans l’industrie des espaces de bureaux, de nombreux employeurs ayant réévalué leurs besoins. Les entreprises ont également envisagé de réduire la taille de leurs actifs immobiliers afin de réduire leurs dépenses et de s’adapter au ralentissement de l’économie.

« Il est probable que 10 à 15 % de la demande ait été détruite de façon permanente avec la tendance (au télétravail) », a déclaré Maria Benavente, vice-présidente et gestionnaire de portefeuille axé sur l’immobilier chez Fonds Dynamique. « Nous croyons que ce marché continuera d’être un marché de gagnants et de perdants. »

Le taux national d’inoccupation des bureaux est passé à 14,1 % au troisième trimestre de 2023, contre 13 % à la même période l’an dernier, selon un rapport de Colliers Canada publié en septembre.

Les taux d’inoccupation des bureaux augmentent depuis trois ans et demi et continueront probablement de grimper à court terme, car le travail à distance est toujours répandu, prévoit Colliers Canada. Au même moment, les loyers moyens des espaces de bureau ont atteint un niveau record de 21,08 $ le pied carré.

John Duda, président des services de gestion immobilière de Colliers au Canada, anticipe une « lente augmentation » de l’absorption des espaces de bureaux d’ici la fin de 2024, mais il ne « s’attend pas à un revirement radical ».

Une partie du problème réside dans la disparité entre ce que veulent les employeurs et les travailleurs. » Ce qui a empêché un retour massif au bureau, c’est le déséquilibre du marché de l’emploi », pointe John Duda en entrevue.

Les employés ont eu beaucoup de pouvoir et ils peuvent décider de ne pas venir au bureau, souligne John Duda. « Ça commence toutefois à changer et nous le remarquons particulièrement dans les centres-villes; le niveau d’occupation a augmenté de manière très significative. »

Le sentiment reste assez négatif à l’égard du secteur et il est difficile de prévoir le moment de la reprise, a déclaré Maria Benavente, soulignant que le marché de Calgary avait encore du mal à se remettre de l’effondrement des prix du pétrole en 2014, avant même la pandémie.

« L’immobilier dans le segment des bureaux est un investissement de style valeur, une stratégie qui nécessite de la patience et de la tolérance à l’égard de la volatilité », souligne-t-elle.

« Nous pensons qu’il y a certaines aubaines; cependant, les investisseurs doivent être sélectifs et porter une attention particulière au bilan, aux liquidités et au ratio de paiement du dividende. Nous avons vu de nombreux fonds contraints de réduire leurs dividendes, parfois même deux fois. »

Les fonds immobiliers de bureaux se porteront bien lorsque l’économie commencera à se redresser et que les entreprises reviendront au mode embauche, a souligné Maria Benavente. Pour que l’activité reprenne, les banques doivent également être mieux disposées à prêter aux propriétaires de bureaux.

Michael McNabb affirme qu’il reste très prudent à l’égard du secteur et souhaite voir les taux d’inoccupation s’améliorer, mais il estime que les investisseurs à plus long terme pourraient commencer à viser des sociétés de meilleure qualité, ce qui pourrait s’avérer un bon investissement à terme.

« L’immobilier commercial suit la règle économique simple de l’offre et de la demande ? et actuellement l’offre dépasse largement la demande », résume Michael McNabb.

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Attention aux changements apportés à la déduction des dividendes https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/attention-aux-changements-apportes-a-la-deduction-des-dividendes/ Mon, 11 Dec 2023 11:23:31 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97841 Ils pourraient avoir un impact sur les produits financiers.

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Le gouvernement fédéral s’apprête à modifier le traitement fiscal des dividendes d’actions canadiennes pour les institutions financières, ce qui pourrait se traduire par une augmentation des frais liés aux produits d’investissement.

La « déduction pour dividendes reçus » permet aux sociétés de demander une déduction sur les dividendes reçus d’actions de sociétés canadiennes, excluant de fait les dividendes du revenu.

Toutefois, dans le budget 2023, le gouvernement a déclaré que la déduction est en contradiction avec les règles qui exigent que les gains sur les biens évalués à la valeur du marché soient inclus dans le revenu ordinaire. Par conséquent, à compter du 1er janvier 2024, le gouvernement refuse la déduction des dividendes reçus par les institutions financières sur les actions qui sont des biens évalués à la valeur du marché.

Dans un rapport publié le 28 novembre dernier, Valeurs Mobilières TD indique que l’élimination de la déduction pour dividendes aura probablement un impact sur certains produits financiers.

« Votre sympathique courtier canadien vient de voir ses impôts augmenter, et l’élimination de certaines des déductions fiscales antérieures se répercutera probablement sur certains des produits financiers qu’il offre », peut-on lire dans le rapport.

La Banque TD a déclaré que les bureaux qui ont une position longue sur les actions canadiennes pour se couvrir ou pour compenser l’exposition seront touchés. « De nombreux produits financiers au Canada ont une action canadienne comme sous-jacent, a noté la banque. Les changements fiscaux sont susceptibles d’avoir un impact sur la tarification de certains de ces produits financiers.

En ce qui concerne les fonds négociés en Bourse (FNB), le rapport indique que l’impact serait différent selon les types de transactions utilisées par les entreprises, notant que la plupart des courtiers gardent de faibles stocks de FNB et d’actions.

« Une chose est certaine, le retrait de la suppression de la prescription de dividendes sera ressenti non seulement par les banques et leurs divisions de marchés de capitaux, mais aussi par les investisseurs institutionnels et de détail », affirme le rapport.

Dans son énoncé économique d’automne de la semaine dernière, le gouvernement libéral a prévu une exception à la nouvelle mesure pour les « actions privilégiées imposables ».

Le budget 2023 estimait que l’élimination de la déduction des dividendes perçus rapporterait 3,15 milliards de dollars sur cinq ans à partir de 2024. L’exposé économique estime que l’exception réduirait ce montant de 215 millions de dollars.

La mesure a été incluse dans un avis de motion de voies et moyens déposé le 28 novembre à la Chambre des communes en vue de présenter un projet de loi tiré du budget 2023 et de l’énoncé économique de l’automne.

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La Banque Laurentienne annonce un recul des résultats nets https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-banque-laurentienne-annonce-un-recul-des-resultats-nets/ Thu, 07 Dec 2023 12:52:29 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98051 À son 4e trimestre et à l'exercice 2023.

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La Banque Laurentienne du Canada rapporte qu’au quatrième trimestre de l’exercice de cette année, elle a réalisé un bénéfice net de 30,6 millions de dollars (M$), ou 0,67 $ par action diluée, comparativement à un résultat net de 55,7 M$, ou 1,26 $ par action diluée lors du trimestre correspondant de l’exercice 2022.

La direction de l’institution basée à Montréal fait remarquer que les résultats du quatrième trimestre comprennent une incidence négative avant impôts de 5,3 M$ liée à la panne du système central survenue en septembre. Les résultats comprennent aussi des charges de restructuration et des charges liées à l’examen stratégique de 15,9 M$.

Le bénéfice net ajusté a été de 44,7 M$, ou 1,00 $ par action diluée ajustée, par rapport à 57,8 M$, ou 1,31 $ par action diluée ajustée pour le quatrième trimestre de l’exercice 2022.

Pour l’ensemble de l’exercice 2023, la Banque Laurentienne déclare un bénéfice net de 181,1 M$, ou 3,89 $ par action diluée, comparativement à un résultat net de 226,6 M$, ou 4,95 $ par action diluée pour l’exercice qui a pris fin un an plus tôt, le 31 octobre 2022.

Le président et chef de la direction de la Banque Laurentienne, Éric Provost, affirme que l’institution s’affaire à rationaliser les activités de la Banque et à revoir en profondeur son plan stratégique afin de se concentrer à demeurer une institution québécoise solide.

Éric Provost a pris la tête de la banque au début du mois d’octobre peu après avoir été nommé chef de groupe des services bancaires aux particuliers et aux entreprises. Il a succédé à Rania Llewellyn.

Michael Boychuk a quant à lui été nommé président du conseil d’administration. Il a remplacé Michael Mueller.

En marge de la publication des résultats du quatrième trimestre, le conseil d’administration de la Banque Laurentienne a déclaré un dividende trimestriel régulier de 0,47 $ par action sur les actions ordinaires payable le 1 février prochain.

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Hausse du profit pour la Financière Sun Life https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/hausse-du-profit-pour-la-financiere-sun-life/ Tue, 14 Nov 2023 11:50:01 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97508 Pour son 3e trimestre.

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La Financière Sun Life a affiché lundi un bénéfice du troisième trimestre de 871 millions de dollars (M$), en hausse par rapport à celui de 111 M$ qu’elle avait réalisé lors de la même période un an plus tôt.

Le bénéfice par action de l’assureur torontois s’est établi à 1,48 $, alors qu’il avait été de 19 cents au troisième trimestre précédent.

La Sun Life a notamment attribué la hausse de son résultat à l’incidence favorable des marchés reflétant principalement les taux d’intérêt.

Lire également : La Sun Life : la créativité pour façonner l’avenir de l’assurance

Le bénéfice net sous-jacent s’est établi à 930 M$, ce qui représentait une légère baisse par rapport à celui de 949 M$ enregistré un an plus tôt.

L’assureur a indiqué avoir complété au cours du trimestre son acquisition du fournisseur de services virtuels de santé et de mieux-être Dialogue au cours du trimestre.

En outre, la Sun Life a annoncé qu’elle verserait, le 29 décembre, un dividende de 78 cents par action aux actionnaires ordinaires inscrits en date du 29 novembre. Il s’agit d’une augmentation de 3 cents, soit 4 %, par rapport au dividende du trimestre précédent.

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IG Gestion de patrimoine introduit de nouveaux fonds Profil https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/ig-gestion-de-patrimoine-introduit-de-nouveaux-fonds-profil/ Mon, 06 Nov 2023 13:15:12 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97131 PRODUITS - Axés sur les revenus et les dividendes.

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IG Gestion de patrimoine élargit sa gamme de solutions de placement Profil avec le lancement de deux nouveaux Portefeuilles de revenu mensuel bonifié Profil et d’un Fonds privé d’actions canadiennes de dividendes et de revenu Profil.

Ces véhicules d’investissement sont conçus pour fournir aux investisseurs un revenu stable et une appréciation du capital grâce à une exposition aux sociétés canadiennes versant des dividendes.

Les nouveaux Portefeuilles de revenu mensuel bonifié Profil, notamment le Portefeuille Équilibré canadien à revenu fixe et le Portefeuille Équilibré canadien neutre, ciblent une distribution annuelle stable de 5 % et 6 % respectivement, payée mensuellement.

« Les Portefeuilles visent à rendre les rentrées de fonds que les clientes et clients reçoivent de leurs placements plus prévisibles, en mettant l’accent sur l’efficience fiscale, ce qui peut favoriser la longévité de leurs placements axés sur le revenu », a précisé Todd Asman, vice-président exécutif chez IG Gestion de patrimoine.

Placements Mackenzie agira à titre de sous-conseiller en valeurs pour les Portefeuilles.

Quant au Fonds privé d’actions canadiennes de dividendes et de revenu Profil, il mise sur le potentiel de croissance et de revenu en se concentrant sur des titres canadiens à dividendes. Ce fonds, qui sera sous-conseiller par Placements Mackenzie et Fonds Dynamique, investit dans des entreprises de qualité, évaluées à un prix avantageux, et qui présentent des perspectives de rendement et de croissance de dividende supérieures à la moyenne. Le Fonds pourrait également sélectionner des entreprises qui peuvent accroître leurs dividendes au fil du temps.

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La décision salaire-dividende dans le contexte d’une société de placements immobiliers https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/apff/la-decision-salaire-dividende-dans-le-contexte-dune-societe-de-placements-immobiliers/ Wed, 18 Oct 2023 10:24:14 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96886 ZONE EXPERTS - Des pistes pour y voir plus clair.

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La décision de rémunération d’un actionnaire dirigeant doit être analysée minutieusement étant donné que celle-ci dépend de nombreux facteurs.

Dans le cas d’une société exploitant un parc immobilier, le réflexe fréquent pour rémunérer les actionnaires est de déclarer un dividende non déterminé pour permettre la récupération de l’impôt en main remboursable au titre de dividendes non déterminés. Pour cette raison, le salaire est rarement une option envisagée… à tort.

Voici un exemple pour y voir plus clair.

Pour voir le tableau en grand format, cliquer ici.

Les sorties de fonds de la société à prévoir pour rémunérer l’actionnaire sont souvent plus importantes dans le cas du salaire par rapport au dividende pour obtenir le même montant de liquidités nettes. En effet, le taux d’imposition sur ce type de rémunération est plus élevé, d’autant plus que des charges sociales sont à payer, ce qui n’est pas le cas avec le dividende.

Néanmoins, pour évaluer le vrai coût de chaque forme de rémunération, nous devons aussi analyser leur impact sur les liquidités de la société.

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Dans le cas de la rémunération à dividende, il n’y a aucune déduction admise dans la société. L’impôt payé par la société est donc plus élevé comme il y a moins de dépenses pour réduire le revenu imposable.

Dans le cas de la rémunération à salaire, l’impôt à payer dans la société est moindre étant donné que le salaire et les charges sociales afférentes peuvent être déduits du revenu imposable.

En utilisant les actifs comme base de comparaison, les résultats sont similaires. Il n’y aurait donc pas d’avantage important à choisir un type de rémunération plutôt qu’un autre. Toutefois, en versant un salaire plutôt qu’un dividende, cela permet à l’actionnaire de cotiser « gratuitement » à la Régie des rentes du Québec (« RRQ ») et au Régime québécois d’assurance parentale. En d’autres mots, pour l’obtention de liquidités et d’actifs équivalents (tant sur le plan personnel que sur celui de la société), l’actionnaire contribue à un régime de retraite public (RRQ) qui lui donnera droit (éventuellement) à une rente de retraite pleinement indexée, et ce, jusqu’à son décès en plus de cumuler de l’espace REÉR.

Devrions-nous avoir le même réflexe lorsque les activités de location de la société sont à perte?

La rémunération à salaire aurait alors pour effet d’augmenter la perte locative, laquelle est reportable dans le temps. Cette perte a une valeur d’un point de vue financier étant donné qu’elle donne accès à des économies d’impôt futures. Toutefois, cet avantage n’est pas immédiat. D’ici à ce que la société puisse en bénéficier, celle-ci doit supporter des frais d’exploitation plus élevés en lien avec les charges sociales afférentes. Malgré ce décalage, en raison des économies d’impôt potentielles, la rémunération à salaire peut demeurer l’avenue la plus intéressante.

Si la société possède un solde d’IMRTDND positif, le versement d’un dividende en permet la récupération en plus d’éviter le paiement de charges sociales. Par conséquent, il donne un avantage immédiat à la société en matière de liquidités.

Pour contrecarrer cet avantage, le report de la perte locative découlant d’une rémunération à salaire doit se faire dans un délai restreint. Plus ce moment est loin dans le temps, plus les économies afférentes seront à la baisse. Dans ce contexte, comme le dollar se déprécie dans le temps, les liquidités obtenues aujourd’hui avec le versement d’un dividende donneraient un plus grand avantage à l’actionnaire.

Pour consulter l’arbre de décision en grand format, cliquer ici.

Décision d’épargne

La décision d’épargne est difficilement dissociable de la décision de rémunération, car une modification de l’une a un impact sur l’autre, et vice versa.

Très brièvement, la maximisation des abris fiscaux personnels nécessite le versement d’un salaire plus élevé, ce qui crée une déduction supplémentaire dans la société, diminuant ainsi l’impôt des sociétés. L’investissement au REÉR n’occasionne pas d’impôt personnel supplémentaire étant donné que la cotisation peut être déduite du revenu de l’actionnaire. La résultante est que plus de sommes sont disponibles au réinvestissement et moins d’impôts sont payés dans la société.

En somme, alors qu’il est habituel de rémunérer l’actionnaire d’une société immobilière par dividende pour récupérer l’impôt temporaire, on constate qu’il peut parfois être plus rentable de procéder par salaire. De plus, le fait de maximiser avant tout les abris fiscaux personnels permettrait d’investir un montant plus élevé. Ces conclusions ne peuvent, bien évidemment, être appliquées systématiquement à tous les actionnaires d’une société immobilière, mais il est intéressant de constater qu’il ne faut pas hésiter à remettre en question certains réflexes!

Par Michèle Audet, CPA, Barricad, maudet@barricad.ca et Sophie Casgrain, avocate fiscaliste, Barricad, scasgrain@barricad.ca

Ce texte a été publié initialement dans le magazine Stratège de l’APFF, vol. 28, no 2 (Été 2023).

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Bénéfice net à la hausse pour BMO, à la baisse pour la Scotia https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/benefice-net-a-la-hausse-pour-bmo-a-la-baisse-pour-la-scotia/ Tue, 29 Aug 2023 12:25:03 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95956 La ronde des résultats au troisième trimestre se poursuit.

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Le bénéfice net du troisième trimestre de BMO Groupe financier a progressé lors de l’exercice financier en cours, s’étant établi à 1,45 milliard de dollars (G$), ou 1,97 $ par action, comparativement à près de 1,37 G$, ou 1,95 $ par action lors du trimestre correspondant de l’exercice 2022.

Au cours de la même période, le bénéfice net ajusté a reculé, de 2,13 G$, ou 3,09 $ par action ajustée, à près de 2,04 G$, ou 2,78 $ par action ajustée.

« Nos résultats financiers restent solides et reflètent la force, la diversité et la gestion active de nos activités dans un contexte qui évolue. Grâce aux revenus records générés par les Services bancaires Particuliers et entreprises au Canada et à la contribution de Bank of the West, nous avons enregistré une bonne croissance du bénéfice avant dotation et impôts ce trimestre, et notre assise financière et notre position de liquidité demeurent solides », a déclaré Darryl White, chef de la direction, BMO Groupe financier.

BMO Groupe financier explique la baisse de 4 % du bénéfice net ajusté par le fait que la hausse de revenus ait été plus que contrebalancée par la hausse des charges et l’augmentation de la dotation à la provision pour pertes sur créances.

En un an, les revenus du troisième trimestre de l’institution financière ont augmenté, de 6,1 G$ à 7,93 G$.

Chez BMO Gestion de patrimoine, le bénéfice net comptable s’est élevé à 303 M$ et le bénéfice net ajusté s’est situé à 304 M$, en baisse, dans les deux cas, de 21 M$, ou de 7 %, par rapport à l’exercice précédent. Le bénéfice net comptable de Gestion d’actifs et de patrimoine a été de 222 M$, et le bénéfice net ajusté s’est quant à lui élevé à 223 M$, un recul de 41 M$, ou de 16 %, « dans les deux cas, l’inclusion de Bank of the West et la hausse des revenus découlant de l’accroissement des actifs des clients ayant été plus que contrebalancées par l’augmentation des charges sous-jacentes », indique la BMO dans un communiqué.

Le bénéfice net des activités d’assurance s’est fixé à 81 M$, en hausse de 20 M$, ou de 34 %, par rapport à l’an dernier, en raison essentiellement des variations plus favorables du marché au cours de l’exercice considéré.

Concurremment à la publication de ses résultats, BMO Groupe financier a annoncé un dividende de 1,47 $ par action ordinaire pour le quatrième trimestre de 2023, soit le même montant que pour le trimestre précédent et en hausse de 0,08 $, ou de 6 %, par rapport à l’exercice précédent.

À la Banque Scotia

De son côté, la Banque Scotia a affiché un bénéfice net de 2,21 G$ au troisième trimestre de l’exercice financier en cours, en recul comparativement à un montant de 2,6 G$ lors du trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Le bénéfice par action a lui aussi baissé pendant la même période, de 2,09 $ à 1,72 $.

Quant au bénéfice net ajusté du troisième trimestre de 2023, il s’est établi à 2,23 G$, comparativement à 2,61 G$ un an plus tôt, alors que le bénéfice par action ajustée a reculé de 2,10 $ à 1,73 $.

« La Banque a connu un autre trimestre caractérisé par des bénéfices stables, ce qui est venu renforcer nos indicateurs de trésorerie et de liquidités. Nous avons prudemment haussé notre compte de correction de valeur pour pertes sur prêts et géré la croissance de nos dépenses alors que nous traversons une période d’incertitude économique », a déclaré Scott Thomson, président et chef de la direction de la Banque Scotia.

Le total des revenus de la Banque Scotia a augmenté d’un troisième trimestre à l’autre, de 7,8 G$ à 8,1 G$.

Le secteur Gestion de patrimoine mondiale a inscrit un bénéfice net ajusté de 375 M$. La croissance à deux chiffres, enregistrée dans l’ensemble des activités internationales de l’institution, a été contrée en partie par la conjoncture de marché difficile, qui continue d’entraîner des répercussions sur la croissance des revenus au Canada.

« Nos résultats pour le trimestre illustrent les progrès initiaux de nos initiatives de croissance des dépôts ainsi que l’importance que nous continuons d’accorder à la vigueur et à la stabilité du bilan. Il s’agit des priorités clés de la prochaine phase de croissance de la Banque », a ajouté Scott Thomson.

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Dividendes records dans le monde https://www.finance-investissement.com/edition-papier/produits-et-assurance-edition-papier/dividendes-records-dans-le-monde/ Mon, 28 Aug 2023 04:02:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95742 Jamais les actionnaires n’ont reçu autant de dividendes !

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En 2022, ce sont 1 560 milliards de dollars américains qui ont été distribués dans le monde, indique un rapport de la firme Janus Henderson.

Le montant mondial des dividendes a connu une croissance de 8,4 % l’année dernière. Et cette hausse est généralisée : 88 % des entreprises ont augmenté ou maintenu le montant de ceux-ci.

Certaines industries se sont distinguées plus que d’autres, comme les producteurs de pétrole et de gaz, ainsi que le secteur financier, qui ont généré à elles seules la moitié de la croissance des dividendes en 2022.

Les producteurs d’énergies fossiles ont profité de la flambée des prix de l’énergie, alimentée par la guerre menée par la Russie en Ukraine. Trois des quatre plus gros payeurs de dividendes sont BHP, Petrobras et ExxonMobil, des géants du secteur pétrolier. Les banques et les firmes financières ont bénéficié du relèvement des taux d’intérêt tout au long de l’année 2022. Certains pays se sont démarqués, en battant le record des dividendes versés par leurs entreprises. C’est le cas des États-Unis (574,2 G$ US), de la Chine (49,7 G$ US) et de la France (63,7 G$ US), laquelle a contribué au tiers de la hausse constatée dans l’Union européenne.

Mais 2023 pourrait être bien différente : Janus Henderson prévoit que les versements de dividendes connaîtront une croissance limitée à 2,3 % dans le monde en raison du ralentissement économique.

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RBC Gestion mondiale d’actifs met à jour ses fonds https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/rbc-gestion-mondiale-dactifs-met-a-jour-ses-fonds/ Fri, 07 Jul 2023 11:09:18 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94806 PRODUITS – Cela entraîne des réductions de frais et une révision de cotes de risque, entre autres.

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RBC Gestion mondiale d’actifs (RBC GMA) a procédé à des changements importants à plusieurs de ses fonds RBC et PH&N. Certains bénéficient d’une réduction de frais de gestion ou d’administration. Pour d’autres, il y a des changements de cote de risque. De plus, la firme a dressé une liste de fonds RBC qui ne peuvent actuellement être détenus dans des régimes enregistrés.

Voici plus en détail la liste des fonds concernés et les modifications apportées.

Réduction des frais de gestion

Les changements prendront effet à partir du 1er juillet 2023 pour les fonds suivants :

Pour consulter le tableau en grand format, veuillez cliquer ici.

Réduction des frais d’administration

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Modifications des cotes de risque

RBC GMA a aussi annoncé des modifications des cotes de risque pour certains fonds. Elles résultent d’une révision annuelle et ne sont pas liées à des changements majeurs dans les objectifs de placement, les stratégies ou la gestion des fonds. Ces changements font suite à l’application de la méthode de détermination du degré de risque des fonds communs de placement, imposée par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières.

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Fonds exclus des régimes enregistrés

Par ailleurs, certains fonds ne sont actuellement pas admissibles aux régimes enregistrés parce qu’ils ne sont pas considérés comme des fiducies de fonds commun de placement. S’ils sont détenus dans un régime enregistré, ils peuvent être assujettis à l’impôt. Il s’agit de :

  • Fonds de dividendes de marchés émergents hors Chine RBC
  • Fonds d’actions de marchés émergents à faible volatilité QUBE RBC
  • Fonds d’actions de marchés émergents sans combustibles fossiles Vision RBC

Une fois que ces fonds seront considérés comme des fiducies de fonds commun de placement, ils pourront être détenus dans des régimes enregistrés.

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