RBC Gestion mondiale d’actif a modifié les cotes de risque de certains fonds négocié en Bourse (FNB).
Le gouvernement du Canada adopte une réglementation établissant le régime de recapitalisation interne des grandes banques canadiennes visant à appuyer la solidité et la résilience du système financier.
Les Banques risquent de se faire tasser sur les lignes de côté à l'ère des réseaux sociaux et des mégadonnées, a estimé vendredi le chef de la direction de la Banque Royale, David McKay.
Le patron de l'une des plus grandes banques du Canada presse le gouvernement fédéral d'agir pour endiguer l'exode des capitaux d'investissement vers les États-Unis, car selon lui, les fonds sortent déjà en « temps réel ».
La culture organisationnelle n’est pas un moyen de protéger le consommateur et les sondages de satisfaction de la clientèle ne sont pas des bons outils de mesure, selon l’Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC) et les intervenants interrogés par Finance et Investissement.
Le traitement des plaintes des consommateurs par les grandes banques canadiennes inquiète les observateurs interrogés par Finance et Investissement à la suite de la publication du rapport de l’Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC).
La culture des services bancaires de détail, fortement axée sur la vente, peut accroître les risques de vente abusive aux consommateurs et de manquement aux obligations en matière de pratiques commerciales de la part des employés, conclut l'Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC).
La probabilité que survienne une période de tensions financières au cours des deux prochaines années au pays est de 36 %, selon l’indicateur de la Banque du Canada (BDC), réutilisé par RBC Gestion mondiale d’actifs.
Les grands patrons des cinq plus grandes banques du Canada ont profité d'une rémunération totalisant environ 53,6 millions de dollars (M$) au cours du dernier exercice financier, ce qui représentait une hausse de plus de 7 % par rapport à l'exercice précédent.
Après avoir connu une croissance rapide l'an dernier, l'économie canadienne devrait ralentir en 2018 en raison de la perspective d'une augmentation des taux d'intérêt et de la diminution des dépenses de consommation, selon le dernier rapport Perspectives économiques RBC.