Les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) doivent être prudentes quant à leur volonté de réformer le cadre réglementaire des organismes d’autoréglementation (OAR).
Comment prévenir d’éventuelles ventes précipitées d’investisseurs inquiets de l’accroissement de la volatilité des marchés ? Certains experts ont des solutions.
La consultation sur le cadre des organismes d’autoréglementation (OAR) des Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) est-elle une occasion ratée de mieux protéger le public et considère-t-elle trop peu les bienfaits du modèle québécois ?
PRODUITS – Le risque est passé de « faible à moyen » à « moyen ».
Moins de cas d’infraction en 2020.
De 2016 à 2019, les investisseurs ont amélioré leurs connaissances en matière de frais et de rendement, mais ont été moins nombreux à se dire satisfaits de la relation avec leur conseiller.
Malgré la volatilité récente des marchés.
Quelle leçon l'industrie financière devrait-elle retenir des gestes qu'ont posés les régulateurs et organismes d'autoréglementation au cours des 10 dernières années ? Que si elle ne veut pas que ces derniers l'encadrent davantage, elle doit se prendre en main !
Lors de la publication de ses priorités pour l'exercice 2020-2021, l'Autorité des marchés financiers (AMF) a évoqué la poursuite de «ses travaux sur la gestion des incitatifs des institutions financières, sur l'encadrement à l'égard des fonds distincts et quant à l'interdiction du paiement de commissions de suivi par les organismes de placements collectifs».
Comme celle de réduire la proportion de la rémunération variable des conseillers.