Une étudiante portant un masque pour se protéger de la COVID-19.
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La pandémie a forcé plusieurs remises en question. Parmi celles-ci, l’utilisation des fonds accumulés dans les régimes enregistrés d’épargne-étude (REEE), alors que la COVID-19 a changé les modalités d’enseignement à travers le pays, rapporte le Globe and Mail.

Les conditions des étudiants ont changé cette année avec cette pandémie qui a forcé plusieurs établissements d’enseignement supérieur à adopter les cours à distance. En ajoutant le stress financier qui accompagne le ralentissement économique résultant de la présente situation, plusieurs jeunes sont forcés de retourner habiter chez leurs parents, réduire leurs dépenses ou même interrompre leurs études.

Dans cet environnement, les conseillers en services financiers se doivent de revoir la planification des portefeuilles des REEE de leurs clients en incluant les nouvelles conditions qu’impose la pandémie de la COVID-19.

« Il est particulièrement important de prêter attention au PAE, surtout si les investisseurs ont plus d’argent dans leur REEE qu’ils n’en auront probablement besoin maintenant, note le Globe and Mail. La tentation pourrait être de laisser la contribution de la subvention PAE investie pour plus tard, même si un maximum de 5 000 $ peut être retiré au cours des 13 premières semaines de scolarité. Mais cette stratégie pourrait mener à un scénario perdant des années plus tard, s’il y a encore des fonds du PAE dans le compte après l’obtention du diplôme. »

Rappelons que les paiements d’aide aux études (PAE) est le montant versé à un bénéficiaire à partir d’un REEE pour l’aider à payer le coût de ses études post-secondaires. Ce montant est composé de subventions gouvernementales ainsi que des revenus générés par les cotisations aux régimes.

Au vu des conditions actuelles, certains…

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