Le tiers des répondants, ou 34 %, utilisent un compte de chèques alors que 30 % se servent d’un compte d’épargne à intérêt élevé. Seize pour cent des répondants gardent quant à eux leurs économies pour les situations d’urgence sous forme d’argent liquide.
Cinquante et un pour cent des Canadiens ont accumulé moins de 10 000 $ pour des dépenses imprévues. Pire, un répondant sur cinq, ou 17 %, déclare avoir épargné moins de 1 000 $. Cinquante-sept pour cent des répondants ont dit ce que c’était parce qu’ils n’avaient simplement pas de surplus d’argent à épargner qu’ils n’avaient pas de fonds d’urgence.
Ceux qui n’ont pas de fonds d’urgence comptent plutôt sur la vente de biens, comme une automobile et des bijoux, ou bien sur l’aide de proches pour faire face à des imprévus. De plus, 27 % utiliseraient leur marge de crédit alors que 18 % iraient puiser dans leurs placements en cas d’urgence.
Pourtant, les Canadiens font face à des imprévus financiers régulièrement, en effet 49 % des Canadiens ont dû utiliser leur fonds d’urgence pour une réparation majeure à leur automobile alors que 47 % ont dû faire face à des imprévus liés à leur résidence. De plus, 35 % des répondants qui ont perdu leur emploi avaient suffisamment épargné pour tenir le coup financièrement.
Ce sondage en ligne non probabiliste a été effectué en ligne du 26 au 30 juillet 2013 auprès de 1000 répondants.