L’augmentation du bénéfice par rapport à celui du trimestre correspondant en 2011 s’expliquerait essentiellement par la baisse des charges opérationnelles découlant de la vente de la division des services de courtage de plein exercice de détail et de la réduction progressive des activités liées au secteur du crédit à la consommation; par le recul des charges de dépréciation liées aux prêts résultant d’une reprise des comptes de correction de valeur de prêts évalués collectivement et d’une diminution des charges de dépréciation liées à des prêts spécifiques; ainsi que par la hausse des produits de négociation nets tirés des produits liés aux taux et des produits de crédit.

L’augmentation du bénéfice a été partiellement contrebalancée par une réduction des produits d’intérêts nets découlant d’une baisse des soldes moyens des prêts et d’une marge nette d’intérêts plus faible.

Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat du secteur Services aux entreprises a totalisé 121 M$ au quatrième trimestre de 2012, soit 11 M$ de plus qu’au trimestre correspondant de 2011, et 24 M$ de moins qu’au troisième trimestre de 2012.

Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat du secteur Services bancaires internationaux et marchés a totalisé 69M$ au quatrième trimestre de 2012, soit 2 M$ de plus qu’au trimestre correspondant de 2011.

Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat du secteur Services bancaires de détail et gestion de patrimoine a totalisé 4 M$ au quatrième trimestre de 2012, soit 11 M$ de plus qu’au trimestre correspondant de 2011.

Le bénéfice attribuable aux actionnaires ordinaires s’est établi à 690 M$ pour l’exercice, soit une progression de 9 % ou 57 M$.

L’augmentation du bénéfice d’un exercice à l’autre s’expliquerait surtout par le profit réalisé sur la vente de la division des services de courtage de plein exercice de détail. L’augmentation du bénéfice a été en partie contrebalancée par la baisse des produits d’intérêts nets imputable au recul des soldes moyens des prêts de détail et des prêts à la consommation à la suite de la réorientation stratégique de ce secteur et au repli de la marge nette d’intérêts.