Le 1er février 2013, la juge Manon Ouimet, de la Cour du Québec, a imposé une amende de 2 808 000 $ à Guy Charron, de 2 240 000 à Richard Lanthier et de 100 000 $ à Huguette Gauthier, soit quatre fois la peine minimale sur chacun des chefs d’accusation.
Les trois accusés avaient plaidé coupables à chacun des 355 chefs d’accusation qui pesaient contre eux pour pratique illégale, placement illégal et aide au placement illégal dans le dossier Gestion Guychar (Canada) inc.
Selon l’Autorité des marchés financiers, le trio a fait perdre plus de plus de 10 M$ à des dizaines d’investisseurs.
La plainte déposée originalement contre les accusés par le Syndic de la Chambre de sécurité financière, révèle que Guychar et d’autres sociétés qui lui étaient liées (PEMP et Polygone) offraient aux investisseurs des billets à terme censés générer de bien meilleurs rendements que ceux offerts par les banques.
Les montants amassés servaient plutôt à financer les activités de Guychar et de ses représentants. L’argent de certains investisseurs permettait aussi de rembourser d’autres investisseurs.
Le 1er février 2013, la juge Manon Ouimet, de la Cour du Québec, a imposé une amende de 2 808 000 $ à Guy Charron, de 2 240 000 à Richard Lanthier et de 100 000 $ à Huguette Gauthier, soit quatre fois la peine minimale sur chacun des chefs d’accusation.
Les trois accusés avaient plaidé coupables à chacun des 355 chefs d’accusation qui pesaient contre eux pour pratique illégale, placement illégal et aide au placement illégal dans le dossier Gestion Guychar (Canada) inc.
Selon l’Autorité des marchés financiers, le trio a fait perdre plus de plus de 10 M$ à des dizaines d’investisseurs.
La plainte déposée originalement contre les accusés par le Syndic de la Chambre de sécurité financière, révèle que Guychar et d’autres sociétés qui lui étaient liées (PEMP et Polygone) offraient aux investisseurs des billets à terme censés générer de bien meilleurs rendements que ceux offerts par les banques.
Les montants amassés servaient plutôt à financer les activités de Guychar et de ses représentants. L’argent de certains investisseurs permettait aussi de rembourser d’autres investisseurs.