Les découvertes scientifiques peuvent exiger beaucoup d'argent et la collaboration de chercheurs du monde entier. Ainsi, la construction à Hawaï d'un télescope de 30 mètres de diamètre et de 55 mètres de haut (soit l'équivalent de 18 étages) coûtera la bagatelle de 1,4 G$ US ! Écrit par un journaliste à la plume vivante, ce livre montre comment la science sans frontière et à grand budget s'est développée. L'auteur suit pas à pas l'action d'un pionnier, Ernest O. Lawrence. En 1939, ce scientifique américain gagne un prix Nobel de physique. Au cours de la Deuxième Guerre mondiale, il participe au Projet Manhattan et au développement de la bombe à hydrogène. Selon l'auteur, Ernest O. Lawrence doit ses réussites au talent exceptionnel qu'il a déployé pour trouver le financement nécessaire aux immenses laboratoires qui formeront l'armature du complexe militaro-industriel. À travers le récit de la vie de ce scientifique-gestionnaire, on comprend mieux certains défis de la science reposant sur le financement de la recherche.
Empire Vie a abaissé à 18 ans l'âge d'établissement des rentiers pour les rentes certaines, dans le but de permettre la mise en oeuvre d'une stratégie d'assurance vie financée par une rente. L'âge d'établissement des rentiers pour les rentes certaines était auparavant de 35 ans. Les clients peuvent financer les primes de leur police d'assurance vie de l'Empire Vie pendant une période spécifique. Pour ce faire, ils doivent souscrire une rente certaine dont le revenu annuel correspond à la prime annuelle de leur police d'assurance vie. L'assureur signale que cette stratégie aide les clients à financer les primes futures d'une police d'assurance vie AssurMax 20 primes en achetant une rente certaine avec une période garantie de 20 ans.
Les cartes de la démographie sont en train d'être rebrassées aux États-Unis. Ainsi, les Américains faisant partie des «minorités» deviendront majoritaires en 2045, selon une recherche de l'Université du New Hampshire. Chez les Américains «blancs», on compte maintenant plus de décès que de naissances. C'est l'inverse chez les Américains faisant partie des «minorités» (http://tinyurl.com/z5w22jn). Une récente étude publiée par l'Université Princeton montre une tendance similaire : le taux de mortalité des Américains blancs d'âge moyen ayant au plus un diplôme d'études secondaires augmente sans cesse à cause des suicides, des drogues, du stress financier et des problèmes de santé physique et mentale. Leur situation est unique, car la mortalité diminue chez les Américains Noirs et Hispaniques du même âge, de 45 à 54 ans (http://tinyurl.com/hz639gx). Finalement, la classe moyenne - toutes origines confondues - perd constamment du terrain sur le plan économique, révèle une étude de l'organisation Pew Research. La crise de 2008 a fait fondre leur richesse médiane de 28 %. La classe moyenne représentait 61 % de la population américaine en 1971, par rapport à 50 % en 2015 (http://tinyurl.com/jhjntrv).
Les clients d'Ivari (anciennement Transamerica Vie Canada) âgés de 16 à 50 ans qui souscrivent une nouvelle assurance vie peuvent maintenant se prévaloir d'office de la protection Assurance maladies graves (AMG). Ces clients doivent toutefois appartenir à la catégorie Sélect ou Élite non-fumeur de l'assurance vie. Le montant AMG correspond à un maximum de 50 % du montant de la nouvelle assurance vie pour un même assuré, le minimum étant de 25 000 $ et le maximum de 250 000 $. Étant donné que la police AMG est établie sur la base d'une police indépendante, cette offre ne permet pas d'ajouter un avenant à une police en vigueur. Les types de garanties possibles sont les AMG T10, AMG T20 et AMG T65. Les avenants d'exonération de primes et d'exonération de primes du payeur ne sont pas offerts. Les catégories Sélect et Élite s'appliquent automatiquement aux clients souscrivant un capital assuré d'au moins 500 001 $. Parmi les critères des catégories Sélect et Élite, les antécédents familiaux, le poids, la tension artérielle et le taux de cholestérol (http://tinyurl.com/o7n2zl6).
BMO Assurance a amélioré l'accessibilité de sa Temporaire 30 ans privilégiée. Pour un homme non fumeur âgé de 35 à 55 ans, les taux ont diminué de 9,7 % en moyenne. La Temporaire 30 ans privilégiée s'adresse aux 18 à 55 ans et comporte une protection jusqu'à l'âge de 100 ans. Le capital assuré s'établit entre 100 000 $ et 10 M$. Par ailleurs, BMO Assurance a augmenté les taux de commission sur les avenants d'assurance temporaire pour ses produits d'assurance vie universelle La Prévoyance et Gamme Dimension. La commission de première année de l'avenant de temporaire à 10 ans est ainsi passée à 40 %. La commission de première année des avenants de temporaire à 20 ans et de temporaire à 30 ans est maintenant de 50 %. De plus, l'assureur a institué un nouveau rabais pour polices multiples s'appliquant aux Temporaires privilégiées dans toutes les catégories de tarification et pour toutes les polices Prestation du vivant. Une réduction de 25 $ par année s'applique alors à la police ayant les frais les plus élevés.
L'État islamique (EI), ou Daesh, baigne dans l'argent. L'organisation terroriste générerait des revenus annuels d'au moins 2 G$, selon la fascinante synthèse de Christine Duhaime, une avocate spécialiste du financement des activités terroristes. Mais d'où viennent ces 2 G$ ? De la vente de produits pétroliers (plus de 1,5 G$ par an) ; de rançons sur la vie d'individus kidnappés payées par des assureurs (au moins 120 M$ par année) ; des taxes acquittées par les citoyens sous sa juridiction (au moins 350 M$ par année) ; d'impôts sur le revenu (5 % des salaires bruts) ; de l'exploitation de mines et d'usines, notamment de la fabrication de ciment. Dans certains domaines, Daesh joint son idéologie à ses besoins financiers : au lieu de détruire les antiquités incompatibles à son interprétation de l'Islam, elle les vend à des courtiers en objets d'art. Beaucoup de pièces de musées d'Iraq et de Syrie se sont ainsi retrouvées dans les salons de riches collectionneurs privés d'Europe et d'ailleurs (http://tiny.cc/hcwr7x).
TOP 25 2015 - Parmi les lauréats du monde de la finance québécoise, le jury honore des finalistes qui se sont illustrés en 2015 par leurs réalisations exceptionnelles. Dans cette sélection figure Yvon Charest, qui remporte le prix Personnalité financière de l'année pour la progression de son entreprise dans un contexte difficile de faiblesse persistante des taux d'intérêt.PERSONNALITÉ FINANCIÈRE DE 2015YVON CHARESTPrésident et chef de la direction
Aux États-Unis, les opposants à la règle du devoir fiduciaire qui s'applique aux régimes de retraite individuels et collectifs ont raté l'occasion de faire échec à un projet soutenu de longue date par le président Barack Obama. Pilotée par le ministère du Travail, cette règle faisait partie d'un projet dit omnibus autorisant des dépenses de 1 200 G$ CA. Ce projet a été accepté en décembre par la Chambre des représentants. Outre la puissante Consumer Federation of America, le camp des partisans de cette règle compte le Financial Planning Coalition (FPC). Le FPC est formé de la Financial Planning Association et de la National Association of Personal Financial Advisors, qui regroupent environ 100 000 conseillers. Le FPC constate que les services financiers constituent le secteur économique à l'égard duquel la confiance du public est la plus faible (http://tinyurl.com/ol6jaes). Le FPC juge que la règle du devoir fiduciaire aidera à dissiper cette méfiance (http://tinyurl.com/nnv5hx2). Telle qu'élaborée par le ministère du Travail, la règle n'interdira pas la vente de produits propriétaires. Dans ce cas, le conseiller devra informer son client de l'existence de produits semblables, distribués ailleurs, à des coûts qui pourraient être moins élevés (http://tinyurl.com/z5y6oxf).
Le ministère du Travail des États-Unis imposera bientôt la règle du devoir fiduciaire aux conseillers spécialistes des régimes de retraite individuels et collectifs. Cela pourrait entraîner la disparition des commissions, selon une étude de Morningstar. En effet, tel qu'il est conçu, sur la vente de produits appropriés à la situation des clients, le modèle d'affaires des conseillers américains serait trop «conflictuel», affirme Morningstar. La règle du devoir fiduciaire hâtera trois tendances actuelles : la rémunération sur honoraires ; la popularité du courtage à escompte et des conseillers-robots auprès des clients qui ont un actif peu élevé ; et finalement, l'utilisation accrue d'instruments d'investissement axés sur les indices, comme les fonds négociés en Bourse (http://tinyurl.com/nu5zrhd). En entrevue au site WealthManagement.com, l'auteur de la recherche de Morningstar, Michael Wong, souligne un autre impact de la suprématie prochaine du devoir fiduciaire : la diminution progressive du nombre de conseillers. Cela vient du fait que le marché de masse de la retraite ne supportera pas les frais de la rémunération par honoraires (http://tinyurl.com/p9rwc6a).
L'auteur, Hilliard MacBeth, est gestionnaire de portefeuille pour le compte de Richardson GMP à Edmonton et a déjà présidé la section albertaine de l'Association canadienne des courtiers en valeurs mobilières (ACCVM). Son livre est un cri d'alarme lancé aux épargnants tentés d'investir dans l'immobilier. Selon lui, une bulle spéculative, du même ordre que la fameuse bulle techno du début des années 2000, serait en gestation à l'échelle du Canada. Il croit que lorsqu'elle éclatera, le prix des maisons pourrait chuter de moitié ! Étant donné que l'achat d'une maison ne peut plus être considéré comme un investissement, il suggère plutôt de louer une propriété. L'argent économisé devrait être investi dans des outils de placement traditionnels comme les actions et les fonds communs. Écrit de façon vivante, le livre présente de nombreuses données, qui ne portent cependant que sur les marchés de Toronto, de Calgary et de Vancouver. Et si Montréal et le Québec ne faisaient pas partie de ces marchés surévalués ?