Guillaume Poulin-Goyer est rédacteur en chef adjoint pour Finance et Investissement et Conseiller.ca, ainsi qu’administrateur de projet, recherche – Québec.
Guillaume Poulin-Goyer est rédacteur en chef adjoint pour Finance et Investissement et Conseiller.ca, ainsi qu’administrateur de projet, recherche – Québec.
Eric Stevenson quitte l'Autorité des marchés financiers (AMF). L'actuel surintendant de l'assistance aux clientèles et de l'encadrement de la distribution de l'AMF a annoncé cette décision la semaine dernière, confirme Sylvain Théberge, responsable des relations médias à l'AMF.
La planification successorale d'un client fortuné est généralement complexe et unique à son cas. Elle varie entre autres selon ses volontés, s'il détient ses placements personnellement ou par l'intermédiaire d'une entité légale comme une société privée, s'il est encore en affaires, l'importance de ses avoirs et les besoins de sa famille et de ses héritiers. Si elle est bien conçue et à jour, cette planification fait économiser de l'impôt et peut éviter des tracas aux héritiers. L'inverse est aussi vrai.Voici des préoccupations que peuvent avoir certains clients et des éléments à considérer dans l'élaboration de leurs plans.
Lyne Duhaime ne dirige la division québécoise de l'Association canadienne des compagnies d'assurances de personnes (ACCAP-Québec) que depuis 2015, mais elle a déjà laissé sa marque dans l'industrie. Son lobbying a certes contribué à ce que les honoraires des pharmaciens soient dorénavant affichés sur la facture des Québécois lorsqu'ils achètent un médicament, mais c'est en coulisses que son influence est le plus remarquée.«Depuis que Lyne est en poste, la notoriété de l'ACCAP-Québec s'est améliorée. Nous sommes mieux connus des décideurs, des partenaires et du gouvernement. Les gens vont faire appel plus naturellement à nous», explique Yvon Charest, président et chef de la direction d'iA Groupe financier et membre du conseil d'administration de l'ACCAP.
CONGRÈS DE L'APFF - « Tremblement de terre fiscal », « ouragan fiscal », « apocalypse fiscale », les conférenciers du congrès de l'Association de planification fiscale et financière (APFF) ne manquaient pas de superlatifs afin de décrire la proposition de réforme sur la fiscalité des sociétés privées présentée par le ministère des Finances du Canada, le 18 juillet dernier.
Les grandes institutions financières semblent les gagnantes de la bataille de l'influence à laquelle se sont livrés des membres de l'industrie financière depuis quelques années, à la lecture du projet de loi 141 sur l'amélioration de l’encadrement du secteur financier.
Le projet de loi 141 sur l'encadrement du secteur financier semble fermer la porte à l'incorporation des représentants en épargne collective.
Une proportion importante de conseillers en sécurité financière est favorable à ce que l'industrie des services financiers se dote d'un régime commun d'assurance responsabilité professionnelle, d'après le sondage mené dans le cadre du Baromètre 2017 de l'assurance.À la question : Pensez-vous que l'industrie devrait se doter d'un régime commun d'assurance responsabilité professionnelle plutôt que de devoir faire affaire avec des assureurs privés ? 55 % des répondants qui ont pris position ont répondu par l'affirmative.
«Chères autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM), prière de faire très attention lorsque vous envisagerez d'interdire les commissions intégrées. Celles-ci ont beau engendrer des conflits d'intérêts, elles ne sont pas les seules à le faire : toutes les formes de rémunération entraînent des conflits d'intérêts. Et tenter de résoudre un conflit d'intérêts en interdisant une forme de rémunération risque d'exacerber les conflits d'intérêts découlant d'autres types de rémunération.»Voilà, de manière imagée et simplifiée, l'un des messages que plusieurs membres de l'industrie financière ont lancés aux ACVM dans leur mémoire en réponse à la consultation 81-408 sur l'option d'abandonner les commissions intégrées.
Un conseiller en sécurité financière dont le volume d'activité est jugé peu rentable par l'agent général (AG) auquel il est rattaché risque de se faire montrer la porte, selon des membres de l'industrie.Depuis quelques mois, des conseillers ont reçu une lettre de leur assureur ou de leur agent général leur annonçant qu'on ne souhaitait plus faire affaire avec eux en raison de leur volume d'affaires trop faible, a évoqué Nabil Tarcha, vice-président, courtage et soutien, chez RBC Assurances, lors du congrès du Groupe financier PEAK, à Montréal, en juin.
Le gouvernement fédéral doit abandonner sa proposition d'ajouter un impôt punitif sur les revenus de placement dans les sociétés privées, car celle-ci risque de créer des situations aberrantes où les clients entrepreneurs ou professionnels incorporés paieraient un taux d'imposition implicite de 120, 200, 300 %, voire même davantage.