Dans un discours livré mardi à Francfort, en Allemagne, Christine Lagarde a déploré que l’économie mondiale était présentement trop lente et trop fragile.

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Sans percevoir d’état de crise dans l’économie actuelle, elle a dit néanmoins craindre les effets qu’aurait une croissance trop modeste. Les perpectives économiques des six prochains mois sont d’ailleurs moins optimistes, ce qui laisse croire que le FMI pourrait les revoir à la baisse.

Le discours de la présidente semble donner le ton aux rencontres qu’auront les dirigeants du FMI et de la Banque mondiale plus tard en avril, à Washington.

The Associated Press