Dévoilé la semaine dernière, ce document (en anglais) passe en revue quelque 112 pays ou juridictions avant de les classer en fonction de l’ampleur de leur culture d’opacité financière et de leur facilitation des activités financières extraterritoriales. Et comme le souligne Le Monde, cette liste noire est bien loin de celle qui a récemment été établie à grand-peine par l’Union européenne.

Pour réaliser son « palmarès » des États tricheurs, l’ONG fondée en 2003 utilise un indice (en anglais) spécialement mis au point par ses chercheurs. Cet outil est destiné à « comprendre l’opacité financière mondiale, les paradis fiscaux, les juridictions opaques, les flux financiers illicites et l’évasion de capitaux », ainsi que l’infrastructure mondiale et les facilitateurs qui les rendent possibles, explique le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC) sur son site web.

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