santé mentale – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Wed, 03 Apr 2024 10:44:00 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png santé mentale – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Santé et bien-être au travail https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/sante-et-bien-etre-au-travail/ Wed, 03 Apr 2024 10:44:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99880 Employés et employeurs n’ont pas les mêmes perceptions.

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C’est ce que rapporte un nouveau rapport publié par Dialogue, une plateforme de soins et de bien-être au Canada, en collaboration avec Environics Research.

Selon l’étude intitulée La santé et le bien-être en milieu de travail au Canada en 2024, des obstacles empêchent les employés canadiens d’améliorer leur état de santé général, notamment des contraintes financières (39 %), un manque de motivation (41 %) ainsi qu’un simple manque de temps (45 %).

Le rapport signale également des écarts de perception entre les employés et leurs employeurs en ce qui concerne les avantages sociaux. Ainsi,

  • la moitié des employés estiment que leur régime d’avantages sociaux est insuffisant ou déclarent qu’il ne répond pas à leurs besoins en matière de bien-être ;
  • quatre répondants sur dix déclarent que leur employeur n’accorde pas la priorité à la santé mentale de ses employés ;
  • seuls 18 % des répondants indiquent que leurs gestionnaires sont équipés pour reconnaître et soutenir la santé mentale de leurs équipes.

Quant aux employés, ils ne perçoivent pas toujours les efforts déployés par les employeurs pour améliorer leur bien-être. D’après l’étude,

  • 86 % des professionnels des ressources humaines affirment que leur organisation accorde de l’importance à la santé mentale des employés et reconnaît cette responsabilité ;
  • plus de 50 % des employés n’ont jamais utilisé leur PAE, même s’ils le considèrent comme une ressource précieuse pour la santé mentale, les problèmes familiaux et les conseils financiers.

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Objectifs : attention à ne pas placer la barre trop haut https://www.finance-investissement.com/fi-releve/carriere/objectifs-attention-a-ne-pas-placer-la-barre-trop-haut/ Thu, 29 Feb 2024 12:03:27 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99314 DÉVELOPPEMENT – Cela pourrait affecter la santé mentale de vos employés.

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Près de 75 % des employés à l’échelle mondiale disent se sentir toujours plus stressés en raison des objectifs de performance fixés par leur patron. Ils estiment ces derniers trop ambitieux, si l’on en croit une enquête menée par Dayforce et rapportée par Avantages.

Plus de 43 % des répondants ont avoué souffrir d’une baisse de motivation lorsqu’ils ne parviennent pas à atteindre les nouveaux objectifs fixés par leur employeur.

La plupart des sondés (91 %) estiment que leur patron pourrait en faire davantage pour aider à accroître la productivité de leurs employés, notamment :

  • en assurant un meilleur équilibre entre le travail et la vie personnelle (37 %),
  • en embauchant plus de personnel (32 %),
  • en développant les compétences de ses employés (29 %)
  • et en offrant des horaires de travail plus souples (29 %).

Quatre employés sur cinq environ confessent avoir souffert d’épuisement professionnel au cours de la dernière année, par conséquent, 69 % envisagent de trouver un nouvel emploi. En fait, seuls 10 % des répondants estiment que leur horaire de travail s’intègre « extrêmement bien » dans leur vie.

Toutefois, près de la moitié des répondants (48 %) conviennent que leur organisation fait preuve d’empathie à l’égard des employés. Parmi les autres, 90 % estiment que si leur patron faisait preuve de plus d’empathie cela améliorerait plusieurs aspects de leur vie professionnelle, notamment la satisfaction au travail (52 %), la santé mentale (48 %), la loyauté (41 %), la performance (39 %) et la productivité (37 %).

« Notre étude montre que les employeurs sont pris dans un jeu d’équilibre entre la nécessité d’accroître l’efficacité pour rester compétitif sur le marché tout en préservant le bien-être et la confiance des employés, qui sont en mutation depuis la pandémie », résume Katie Meyers, vice-présidente de la gestion et du développement des talents au niveau mondial chez Dayforce.

L’enquête a été menée auprès de plus de 8000 travailleurs au Canada, aux États-Unis, en Australie, en Nouvelle-Zélande, en Allemagne, en Malaisie, à Singapour et au Royaume-Uni.

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La formation continue, pour miser sur vous-même https://www.finance-investissement.com/fi-releve/carriere/la-formation-continue-pour-miser-sur-vous-meme/ Thu, 15 Feb 2024 12:15:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99026 DÉVELOPPEMENT - Un pari gagnant, selon HBR.

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L’apprentissage en continu vous permet de développer vos compétences, de vous adapter à votre marché et de vous épanouir sur tous les plans. S’engager dans une formation continue, c’est donc miser sur soi, et sur sa capacité à s’adapter et à évoluer, signale un article de Harvard Business Review France.

C’est un pari gagnant, car il est porteur d’espoir dans l’avenir. Or, des recherches démontrent que l’espoir est étroitement lié à la performance au travail, à la satisfaction professionnelle, à l’engagement dans l’entreprise, ainsi qu’à la santé et au bien-être au travail.

En vous formant de façon régulière, vous affirmez aussi votre volonté de vous dépasser et de vous épanouir, quel que soit votre niveau de départ, indiquent les études.

Une enquête européenne révèle que 96% des personnes interrogées considèrent l’apprentissage tout au long de la vie comme essentiel. Cette importance est motivée par le désir d’améliorer ses compétences professionnelles (64 %) et son développement personnel (66 %).

Le fait de vous former en continu vous permet également de prendre soin de votre santé cognitive et psychique, selon une autre étude. En effet, le cerveau se comporte comme un muscle. Il peut se remodeler en fonction de l’utilisation que l’on en fait. Ainsi, plus on le sollicite, plus il se développe et plus les connexions entre les neurones se renforcent.

Apprentissages informels

Un autre avantage de la formation continue : elle favorise l’apprentissage informel, qui s’étend au-delà des connaissances enseignées, notamment grâce aux échanges avec les formateurs et les autres participants. Ces compétences transversales, qui s’appliquent dans de nombreux domaines professionnels, sont très précieuses, rapporte HBR France.

Les apprentissages informels jouent un rôle clé dans la formation continue plus formelle, selon les études. Le travail quotidien est une occasion de cultiver et de développer les compétences des collaborateurs. Leur confier de nouvelles responsabilités, légèrement au-delà de leurs compétences actuelles, est une manière très efficace de stimuler leur désir d’apprendre et de se développer.

Pour ce faire, la mise en place de programmes de mentorat, avec le soutien d’une institution extérieure par exemple, ou l’encouragement du mentorat informel au sein de l’institution, peuvent être des outils très efficaces pour développer des apprentissages informels.

De plus, les rencontres effectuées en contexte de formation sont autant de tremplins potentiels pour assurer le développement de votre réseau professionnel.

Finalement, la formation permet aussi de valoriser les choix de vie et de formation que vous avez réalisés dans le passé, en les replaçant dans leur contexte et en les reconnaissant comme des étapes de votre cheminement qui peut encore évoluer plutôt que comme des choix qui déterminent de manière figée et linéaire votre trajectoire professionnelle.

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Les coûts en santé gonflent les dépenses des baby-boomers https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-couts-en-sante-gonflent-les-depenses-des-baby-boomers/ Fri, 17 Nov 2023 10:46:54 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97174 Et ce, au-delà de leurs prévisions…

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Près du tiers des baby-boomers (32 %) estiment que le coût des soins de santé fait grimper leurs dépenses mensuelles de retraite au-delà de leurs prévisions, révèle un nouveau sondage de la Sun Life.

Réalisé par Ipsos, le sondage se penchaient sur les facteurs qui faisaient grimper le coût de la vie à la retraite. Les soins de santé sont arrivés en deuxième position après l’inflation (83 % des répondants). Viennent ensuite le coût du logement (31 % des répondants) et la volatilité des marchés (23 % des répondants).

Près de la moitié des sondés (49 %) ont déclaré souffrir d’une maladie physique ou mentale chronique nécessitant des médicaments ou un traitement et, pour cette raison, 32 % de ces personnes ont modifié ou envisagé de modifier leur plan de retraite pour faire face aux coûts liés à la santé.

« Peu de gens sont conscients des frais médicaux qu’ils devront assumer à la retraite, et ils n’y sont pas préparés, explique Jacques Goulet, président de la Sun Life Canada. Ces dépenses peuvent avoir des conséquences importantes sur cette étape de la vie, en particulier pour les personnes qui vivent avec une maladie physique ou mentale chronique nécessitant un traitement continu. Avec l’augmentation du coût de la vie, un plan global qui répond à vos besoins en matière de santé et de sécurité financière peut vous aider à éviter ce fardeau financier plus tard dans la vie. »

Une leçon pour les générations d’après

Bien que l’on parle ici des baby-boomers, les générations suivantes seront confrontées à des problèmes analogues, prévient Sun Life. Ainsi, près du tiers (31 %) des millénariaux (27 à 42 ans) souffrent d’une maladie physique ou mentale chronique nécessitant des médicaments ou un traitement.

Et parmi ceux-ci, seuls 48 % ont pris en compte le coût de la gestion de leur maladie chronique dans leur plan de retraite (61 % des femmes et 43 % des hommes).

« Il n’a jamais été aussi important de se munir d’un plan global comprenant des solutions en matière d’assurance, de gestion de patrimoine et de santé, affirme Rowena Chan, présidente, Distribution Financière Sun Life (Canada) inc. et vice-présidente principale, Conseils et solutions de l’Individuelle. Les conseillers Sun Life se spécialisent dans l’élaboration d’une stratégie créative pour aider les Clients à comprendre les coûts du vieillissement, accroître leur patrimoine et s’assurer que tous les aspects de la vie sont pris en charge. Ces conversations essentielles avec un professionnel de confiance sont la clé pour profiter pleinement de la retraite. »

Cette enquête est basée sur les conclusions d’un sondage mené par Ipsos entre le 30 août et le 1er septembre 2023. Un échantillon de 750 millénariaux âgés de 27 à 42 ans et de 750 baby-boomers âgés de 58 à 77 ans a été tiré du panel en ligne « Je-dis » d’Ipsos.

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Difficultés financières et inflation https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/difficultes-financieres-et-inflation/ Tue, 10 Oct 2023 10:13:54 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96570 Des répercussions sur la santé mentale des femmes.

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C’est ce que révèle notamment le premier rapport sur la santé mentale des femmes de GreenShield Communautaire, publié en collaboration avec Recherche en santé mentale Canada.

Au total, 71 % des femmes interrogées déclarent que les difficultés financières causées par l’inflation se répercutent sur leur santé mentale.

En fait, les questions d’argent deviennent un obstacle de plus en plus préoccupant quant à l’accès au soutien en santé mentale, mentionne le rapport de GreenShield Communautaire, une entreprise sans but lucratif qui fait la promotion de la santé pour tous, soutenant entre autres les communautés marginalisées et mal desservies.

Des habitudes financières changeantes

Les résultats de cette étude montrent que les habitudes financières des femmes ont beaucoup changé au cours de la dernière année à la suite de la montée en flèche du coût de la vie, et que la situation économique actuelle a des répercussions sur leur santé mentale.

En effet, les femmes qui avaient besoin de soins de santé mentale, mais qui n’y ont toutefois pas eu recours, sont deux fois plus nombreuses que les hommes à invoquer les obstacles financiers comme raison.

« Des femmes doivent puiser dans leurs économies, faire appel au crédit ou emprunter à des membres de leur entourage, entre autres choses, pour payer leurs dépenses de base. Cette nouvelle réalité montre bien que les femmes sont beaucoup plus touchées par la conjoncture économique. Si l’on tient compte en plus de l’expérience unique des femmes des communautés racisées et marginalisées, il n’y a pas lieu de s’étonner que ces facteurs de stress constants exercent une incidence sur leur santé mentale », constate Harriet Ekperigin, vice-présidente, Santé mentale, à GreenShield.

Des défis de taille

Le rapport sur la santé mentale des femmes de GreenShield Communautaire met aussi en exergue trois défis majeurs que doivent surmonter les femmes en ce moment.

D’abord, celles-ci disent vivre des niveaux plus élevés d’anxiété et de dépression.

Même si, pour l’ensemble de la population canadienne, les niveaux d’anxiété et de dépression sont plus élevés qu’avant la pandémie, 16 % des femmes affirment éprouver des symptômes d’anxiété plus graves et 17 % des symptômes de dépression. Les pourcentages sont encore plus élevés chez les femmes racisées et les personnes s’identifiant à la communauté LGBTQ2SI+, signale l’enquête.

De plus, les femmes sont plus nombreuses à avoir accès à des services de santé mentale, mais les groupes racisés et marginalisés sont moins satisfaits des soins.

En tout, 13 % des femmes ont indiqué avoir fait appel à des services de santé mentale ou de traitement d’une toxicomanie au cours de la dernière année. Les personnes racisées et celles s’identifiant à la communauté LGBTQ2SI+ sont moins satisfaites des soins.

Enfin, les femmes sont beaucoup plus touchées par les conditions économiques actuelles.

De fait, 42 % des femmes qui avaient besoin de soins, mais qui n’y ont pas recouru, ont invoqué les obstacles financiers comme motif, contre 21 % chez les hommes.

Des mesures pour la santé mentale des femmes

GreenShield Communautaire propose justement un programme de santé mentale pour les femmes qui vise à offrir des services de thérapie et de santé mentale respectueux de la culture, partout au Canada, à toutes les femmes et à toutes les personnes s’identifiant comme telles, de 18 ans et plus.

Ce programme comprend deux heures gratuites de thérapie par la parole, un abonnement d’un an à la thérapie cognitivo-comportementale en ligne (TCCI) guidée et l’accès à un carrefour bien-être en ligne.

En un peu plus d’une année, l’OSBL a aidé près de 60 000 femmes à accéder à des services de santé mentale gratuits.

Selon le communiqué, « la principale mesure de réussite de l’entreprise consiste à investir 75 millions de dollars pour améliorer la vie d’au moins un million de Canadiens et Canadiennes d’ici 2025, et elle est en bonne voie d’y parvenir ».

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Le moral des Canadiens encore une fois en baisse… https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/le-moral-des-canadiens-encore-une-fois-en-baisse/ Fri, 29 Jul 2022 12:09:26 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=88288 Si l’on en croit l’Indice de santé mentale LifeWorks.

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Après quatre mois d’amélioration, l’Indice de santé mentale de Solutions Mieux-être LifeWorks est en baisse à 64,1 points sur 100 en juin comparativement à 64,9 points en mai.

Un score qui se situe entre 50 et 79 indique une santé mentale précaire.

Le moral des Canadiens a donc décliné en l’espace d’un mois dans toutes les provinces à l’exception de la Colombie-Britannique et de la Saskatchewan.

Stressés au travail et à la maison

En ces années pandémiques, le stress affecte les gens autant dans leur vie professionnelle que personnelle, avec 26 % des répondants dans chacune de ces sphères, révèle le sondage.

Au total, près de trois Canadiens sur quatre (74 %) disent être affectés par le stress dans leur emploi ou à la maison.

Au travail, les sources de stress découlent principalement du volume de travail (25 %), des exigences en matière de rendement (14 %) et du manque de soutien (12 %).

Ceux qui sont stressés dans leur vie personnelle éprouvent des problèmes de sommeil (31 %), ont du mal à se détendre (28 %) et vivent des changements émotionnels, comme l’anxiété et la dépression (27 %).

« On accorde beaucoup d’importance aux problèmes au travail comme source de stress, mais les difficultés personnelles affectent tout autant les gens, soutient Stephen Liptrap, président et chef de la direction de LifeWorks.

« Par ailleurs, même si de nombreuses organisations ont amorcé ces derniers mois un retour vers un semblant de normalité, il est clair qu’on n’est pas encore au bout de nos peines, ajoute-t-il. C’est le plus bas score de santé mentale collective depuis janvier, signe qu’il faut poursuivre de plus belle les conversations entourant le mieux-être des employés et le soutien au lieu de s’y désintéresser. »

Soutien des employeurs

Les mesures adoptées par les employeurs en faveur du bien-être de leurs employés font une grande différence. Les travailleurs qui ont pu en bénéficier affichent un score supérieur de 7 points comparativement à la moyenne nationale et de près de 15 points à celui des participants n’ayant pas eu l’impression que leur employeur favorisait leur santé mentale.

Les modalités de travail flexibles (51 %) et la communication d’informations sur les services et les ressources en santé mentale (41 %) apparaissent comme des mesures efficaces pour le moral des troupes.

En juin 2022, 33 % des Canadiens présentaient un risque élevé de problème de santé mentale, 43 % un risque modéré et 23 % un risque faible.

Parmi ceux les plus à risque, ils sont 30 % à avoir reçu un diagnostic d’anxiété ou de dépression (7 % chez ceux présentant un risque modéré).

C’est sensiblement les mêmes proportions qu’en avril 2020, au lancement de l’Indice et lors de la première vague de COVID-19, alors que 34 % des répondants étaient à risque élevé, 45 % à risque modéré et 21 % à faible risque.

Pour consulter le rapport complet de l’Indice de santé mentale, cliquez ici.

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Déluge de demandes de prestations d’invalidité à prévoir?  https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/deluge-de-demandes-de-prestations-dinvalidite-a-prevoir/ Mon, 30 Aug 2021 12:06:34 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=81655 Les assureurs le craignent.

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Les assureurs estiment que le coût total de la COVID-19 devrait se manifester l’année prochaine. En raison de la pandémie et du confinement, les employés ont évité les praticiens de santé. Une situation qui devrait s’inverser dans les mois à venir. Les assureurs s’attendent aussi à une hausse des problèmes de santé mentale et à un prolongement des invalidités de courte et longue durée.

« Je ne crois pas que nous ayons encore vu tout l’impact de la pandémie », assure Cheryl Nicholson, directrice de l’assurance vie et invalidité collective chez l’assureur montréalais iA Groupe Financier.

Entre mars et juin 2020, les assureurs privés ont économisé environ 4,8 milliards de dollars en demandes de remboursement de soins de santé en raison du confinement, calcule la plateforme de comparaison d’assurances Hellosafe.ca dans un rapport de septembre 2020.

Toutefois, les demandes de remboursement des praticiens de santé – massothérapeutes, chiropraticiens et dentistes – ont commencé à rebondir cette année, selon Theresa Tran, directrice du cabinet de conseil sur les avantages sociaux et les retraites Eckler.

Les réductions de primes introduites par les assureurs au cours de la première vague, en reconnaissance des faibles niveaux de sinistres, ont pour la plupart été supprimées depuis.

Quant aux demandes de prestations d’invalidité, plusieurs experts s’attendent à un « tsunami » en raison des tensions mentales et physiques liées à la pandémie.

Déjà les demandes de prestations d’invalidité de l’ensemble des assureurs canadiens ont augmenté d’environ 5 % en 2020, soit un point de pourcentage de plus que le taux de croissance moyen des cinq dernières années, rapporte l’Association canadienne des compagnies d’assurances de personnes au Financial Post.

Difficile de savoir si cela signifie quelque chose ou non, mais déjà les employés qui en situation d’invalidité le restent souvent plus longtemps.

Sans compter que la plupart des opérations chirurgicales ont été reportées et que certaines cliniques de soins spécialisés et de réadaptation ont été fermées. Ainsi, différents problèmes qui auraient pu, normalement, être facilement résolus ne l’ont pas été et les prestations d’invalidité à court terme et à long terme ont été prolongées.

« Je crois que c’est là que nous pourrions voir le plus gros impact », avance Cheryl Nicholson.

Sans compter les problèmes de santé mentale. Ceux qui présentaient déjà un faible niveau d’anxiété ont vu leurs symptômes s’exacerber entraînant une hausse des demandes d’indemnisation. Au cours de l’année 2020, les demandes de soutien en matière de santé mentale ont augmenté de 24 %, selon les données des membres de l’ACCAP.

Il reste finalement les personnes qui constatent une persistance des symptômes de la COVID-19. Plusieurs disent en souffrir et plusieurs pourraient vouloir prendre congé pour se soigner.

« Je pense que le véritable niveau du problème est masqué en ce moment, conclut Steve Raskin, avocat spécialisé dans les préjudices corporels et l’emploi. Lorsque de plus en plus de gens vont au bureau ou luttent pour y aller, et que tout à coup ils ressentent le stress lié aux déplacements ou au fait d’être entourés de collègues, on risque de voir l’ampleur du problème s’amplifier. »

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Trop de Canadiens se fient aux médias sociaux en matière d’informations financières https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/trop-de-canadiens-se-fient-aux-medias-sociaux-en-matiere-dinformations-financieres/ Wed, 23 Jun 2021 11:51:59 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=80733 L’Indice de mieux-être financier de Solutions Mieux-être LifeWorks révèle un besoin croissant de ressources et d’outils fiables.

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Les Canadiens enregistrent encore un score de mieux-être financier négatif, selon l’Indice de mieux-être financier (IMF) de Solutions Mieux-être LifeWorks. En avril, l’IMF s’établit ainsi à -2,2, une amélioration par rapport au -2,8 de février, mais un score faible par rapport à 2019.

Un résultat négatif signifie que le mieux-être financier des Canadiens actifs est plus bas que les données de référence recueillies en 2019.

« Les Canadiens ressentent encore les répercussions de la pandémie sur leur situation financière, commente Idan Shlesinger, président, Solutions retraite et vice-président exécutif. Alors que certains Canadiens gèrent bien leurs finances durant la pandémie, d’autres doivent mieux s’informer afin de planifier pour l’avenir et surmonter les difficultés financières auxquelles ils font peut-être face. La première chose à faire pour aider les Canadiens à améliorer leur santé financière consiste à leur fournir des sources d’informations fiables. »

L’IMF montre ainsi que d’avoir recours à des sources d’informations fiables va de pair avec un meilleur mieux-être financier.

Ainsi les participants se fiant à leur conseiller, soit 40 % d’entre eux, comme source principale d’informations financières sont ceux qui obtiennent le score de mieux-être financier le plus élevé (4,7). Selon le sondage, 37 % des Canadiens utilisent leur famille comme source principale d’informations financières, 35 % se tournent vers les médias traditionnels, 22 % vers leurs amis et 11 % vers les médias sociaux. Ces derniers sont ceux qui obtiennent le score de mieux-être financier le plus bas (-7,3).

Cela entraîne un gouffre entre les différents groupes d’âge. Ainsi les participants entre 20 et 39 ans sont deux fois plus enclins à utiliser les médias sociaux comme source principale d’informations et ont donc le score de mieux-être financier le plus bas.

De plus, 56 % des Canadiens disent encore rencontrer des obstacles à l’enrichissement de leurs connaissances financières. Parmi les raisons évoquées, on trouve le manque de temps (18 %), le manque de compréhension (14 %) ou encore la gêne (11 %).

Un impact sur la santé mentale

« On sait que le mieux-être financier est un facteur distinctif entre les personnes qui ont une bonne santé mentale et celles dont ce n’est pas le cas, indique Paula Allen, directrice mondiale et première vice-présidente, Recherche et mieux-être global. Souvent, les employeurs n’ont pas conscience des difficultés auxquelles leurs effectifs font face. Il y a des personnes de 50 ans et plus qui n’ont pas de fonds d’urgence et d’autres qui bénéficient d’un régime de retraite, mais qui épargnent également hors de celui-ci. Il est essentiel de fournir un système qui offre des options plus personnalisées. »

Pour aider les Canadiens, Solutions Mieux-être LifeWorks a lancé une solution de mieux-être financier numérique appelée mesFinances qui est accessible par l’entremise des employeurs. Il s’agit d’un exemple de la manière dont les employeurs peuvent soutenir leurs employés à s’éduquer, s’informer et obtenir des recommandations afin d’atteindre leurs objectifs financiers.

L’enquête IMF a été menée en ligne du 22 mars au 2 avril 2021 auprès de 3000 Canadiens qui étaient employés au cours des six mois précédents.

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Les employeurs soutiennent leur force de travail https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/les-employeurs-soutiennent-leur-force-de-travail/ Tue, 25 May 2021 12:05:11 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=80026 La plupart ont rehaussé les avantages sociaux.

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Que les travailleurs aient continué à travailler en présence ou à distance, leurs employeurs ne les ont pas oubliés. Au contraire, ces derniers ont eu tendance à relever les avantages collectifs offerts à leurs employés pour les aider à affronter la pandémie.

Les employés ont ainsi reçu un soutien de la part des organisations. Plus de deux employeurs sur cinq ont ajouté des services à leur offre en santé mentale, indique une enquête de l’International Foundation of Employee Benefit Plans, citée par Avantages.

Près du quart des employeurs (23 %) ont ajouté une option de soins virtuels en santé mentale entre juin 2020 et février 2021. Auparavant, ils étaient un peu moins de la moitié (47%) à offrir ce type de services.

Cet effort n’est pas resté vain. Parmi les employeurs disposant d’un programme d’aide aux employés, six employeurs sur dix ont constaté une hausse des accès à ce service. Un employé sur sept utilise cette aide, alors qu’ils n’étaient qu’un sur dix avant la pandémie.

Soutien financier

Le soutien des organisations ne s’est pas cantonné au soutien à la santé mentale. Des employeurs (18%) ont également poussé leurs efforts jusqu’à payer eux-mêmes les primes pour leur assurance médicaments dont les employés s’acquittaient habituellement.

Les employeurs ont pu observer les impacts concrets de la pandémie sur leurs employés. Parmi les organisations fournissant un régime de retraite à cotisations déterminées, une sur cinq a constaté une hausse des retraits de la part des participants à ces régimes.

Quant aux régimes à prestations déterminées, ils ont été remaniés par une bonne partie des employeurs, qui ont vu la pandémie changer la donne. Le quart d’entre eux a revu les hypothèses actuarielles et la conception de leur régime. Un autre quart s’apprête à les imiter. Il en est de même pour la politique de placement : un quart l’a déjà revue, et un autre quart compte le faire bientôt.

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Le présentéisme, un autre effet pervers de la pandémie https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/le-presenteisme-un-autre-effet-pervers-de-la-pandemie/ Mon, 17 May 2021 12:04:37 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=79830 Ce phénomène serait plus coûteux pour les entreprises que l’absentéisme.

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Le passage au télétravail a déplacé le présentéisme du bureau vers la maison, avec une difficulté supplémentaire : celle de parvenir à détecter la dégradation de l’état de santé du télétravailleur.

La vague pandémique a contraint de nombreuses personnes à travailler depuis leur domicile, ce qui, parallèlement, a provoqué la détérioration de la santé mentale.

L’isolement social a des conséquences claires sur le moral des travailleurs. Les prescriptions d’antidépresseurs ont augmenté de 11 % entre avril et septembre 2020, relève Avantages.

Les restrictions sanitaires empêchent toutefois l’entreprise de mesurer l’état de santé mentale des employés.

Ainsi, le présentéisme, qui consiste à venir au travail alors que notre santé physique ou psychologique nuit à notre rendement, s’est déplacé du lieu de travail vers le lieu de résidence.

Mais alors qu’au bureau l’employeur pouvait observer une détérioration de l’état de ses employés, il lui est bien plus compliqué d’assurer la même vigilance à distance.

Pire que l’absentéisme

Pourtant, le présentéisme a des impacts plus néfastes que l’absentéisme, et il serait plus coûteux pour les organisations. À la maison, le présentéisme est entretenu par la difficulté de séparer vie personnelle et travail. L’équilibre travail-famille est plus compliqué à atteindre.

Aussi, l’anxiété et le stress sont nourris par le manque de contacts réels avec les collègues de travail et tout simplement le manque de socialisation.

Face à ces obstacles à une bonne santé mentale, l’organisation peut mettre en place des outils aussi simples que la bienveillance et l’écoute active, souligne Avantages. L’employeur devrait recenser les mesures qu’il offre déjà et les rendre plus accessibles.

Ce travail visant à prendre soin et à écouter les employés ne se limitera pas au court terme. Les futures jeunes recrues, qui auront vécu les répercussions du confinement, auront besoin d’attention et de contacts réels bienveillants. Les outils mis en place durant la pandémie seront donc des atouts pour l’avenir, afin de permettre l’intégration réussie des futurs embauchés.

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