États-Unis – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 04 Apr 2024 12:17:53 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png États-Unis – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Une option d’achat en devises neutres pour les FNB de Fidelity https://www.finance-investissement.com/fi-tv_/nouvelles-fi-tv/une-option-dachat-en-devises-neutres-pour-les-fnb-de-fidelity/ Wed, 10 Apr 2024 09:17:19 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97528 FI TV - Étienne Joncas-Bouchard, Stratège, FNB, Fidelity Canada, explique pourquoi Fidelity offre l’option d’achat en devises neutres de ses FNBs qui détiennent des titres américains.

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Finance et Investissement : Fidelity offre l’option d’achat en devises neutres pour ses FNB qui détiennent des titres américains. Pourriez-vous nous expliquer la raison de cette approche?

Étienne Joncas-Bouchard : Nous avons une version qui est non couverte et une version couverte tout simplement pour offrir l’option aux conseillers qui aimeraient intégrer une stratégie de couverture de devises, notamment pour limiter la volatilité.

Lorsqu’on parle de revenu fixe, les devises ont à peu près quatre à cinq fois la volatilité d’un titre à revenu fixe traditionnel comme un bon du Trésor. Pourquoi devrait-on exposer un portefeuille à la volatilité de devise quand on veut quelque chose à faible volatilité? C’est donc principalement pour une question de gestion de risque, je pense, qu’on utilise ces produits.

Si on regarde du côté des actions qui ont une volatilité assez similaire à celle des devises, dans ces cas-là, le but est peut-être tout simplement de prendre une position tactique. Par exemple, si on pense que le dollar américain est surévalué, on va décider de le couvrir. Si on pense à l’inverse qu’il est sous-évalué, alors il vaut mieux investir en dollars américain et laisser cette appréciation nous supporter en matière de rendement.

Je pense que pour les investisseurs canadiens la possibilité d’une telle option est particulièrement importante parce que l’on investit beaucoup à l’étranger. Oui, on a un grand biais domestique. La majorité des investisseurs canadiens auront plus de produits canadiens que n’importe où dans le monde. C’est tout à fait normal. Aux États-Unis, cette tendance est encore plus importante. Mais lorsqu’on investi à l’extérieur du Canada, il vaut mieux considérer la possibilité de figer les choses à un certain taux, même si, au final, on ne le fait pas nécessairement. Mais il est important de comprendre que ça a un impact sur les rendements totaux, ainsi, proposer ce type de produits, ça nous permet d’offrir des options pour ces investisseurs.

Les opinions exprimées sont celles d’Étienne Joncas-Bouchard, Stratège, FNB, Fidelity Canada en date du 13 novembre 2023, et elles peuvent changer selon la situation des marchés et d’autres conditions.

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Le fisc traque les riches Américains qui se livrent à l’évasion fiscale https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/le-fisc-traque-les-riches-americains-qui-se-livrent-a-levasion-fiscale/ Thu, 07 Mar 2024 12:26:12 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99487 PLANÈTE FINANCE – Grâce à la loi sur la réduction de l’inflation.

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Le fisc américain, l’Internal Revenue Service (IRS), est à la poursuite de 125 000 Américains fortunés qui ont omis de déclarer leurs impôts, certains depuis 2017.

Grâce à des fonds dégagés dans le cadre de la loi sur la réduction de l’inflation, l’IRS a lancé une campagne de recouvrement, ciblant 25 000 individus gagnant des revenus non déclarés dépassant un million de dollars US (M$), ainsi que 100 000 personnes avec des revenus compris entre 400 000 et un million de dollars américains.

L’agence prévoit d’envoyer entre 20 000 et 40 000 avis de réclamation chaque semaine, selon Reuters.

7000 nouveaux employés

L’IRS a entrepris des campagnes similaires par le passé, mais elles ont été mises en veilleuse en raison de coupes budgétaires.

Cependant, grâce à un financement de 80 G$US sur une décennie provenant de la loi sur la réduction de l’inflation de 2022, l’IRS a pu embaucher 7 000 nouveaux employés au service à la clientèle, gestionnaires de comptes et chargés du recouvrement.

Elle a également mis en place une technologie d’automatisation pour détecter plus efficacement les contribuables à hauts revenus en défaut de déclaration.

Équité pour tous

Danny Werfel, commissaire de l’IRS, a souligné que cette injection de fonds a permis à l’agence de « remplir sa mission fondamentale et de garantir l’équité pour tous ».

Pour la saison des impôts de cette année, à la suite des mesures mises en place, l’IRS déclare avoir constaté une réduction du temps d’attente téléphonique des contribuables et réussi à récupérer près de 500 M$US auprès de 1 600 « millionnaires » non déclarés.

La prochaine phase consistera à cibler les non-déclarants dont le revenu est inférieur à 400 000 $ US. L’objectif est de les aider à remplir leur déclaration de revenus, en leur faisant bénéficier des avantages fiscaux auxquels ils ont droit, tels que le crédit de taxe sur les enfants et le crédit d’impôt sur les revenus gagnés pour les bas salaires, a rapporté Danny Werfel.

Pénalités

Aux États-Unis, le défaut de déclaration peut entraîner une pénalité de 5 % du montant dû chaque mois, jusqu’à un maximum de 25 % de la facture fiscale totale. Des mesures telles que des prélèvements sur les salaires ou les comptes bancaires, ainsi que des poursuites civiles ou pénales, peuvent également être envisagées.

Le commissaire de l’IRS invite les personnes à hauts revenus qui n’ont pas encore rempli leur déclaration d’impôts à examiner leur situation sans tarder. Il recommande de consulter les informations disponibles sur le site Internet de l’agence et de faire appel à un professionnel de l’impôt pour se conformer aux obligations fiscales.

Selon un rapport récent du Congressional Budget Office, l’annulation de 20 G$ provenant de la loi sur la réduction de l’inflation entraînerait une diminution des recettes fédérales de 44 G$ sur 10 ans, contribuant à un déficit budgétaire accru de 24 G$ aux États-Unis au cours de cette période.

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Morgan Stanley condamné à indemniser une ex-employée candidate au Congrès https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/morgan-stanley-condamne-a-indemniser-une-ex-employee-candidate-au-congres/ Thu, 15 Feb 2024 20:34:43 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99118 PLANÈTE FINANCE - L'entreprise n'a pas approuvé une campagne politique en tant qu'activité professionnelle extérieure.

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La profession de conseiller est-elle compatible avec des ambitions politiques ? L’Autorité de régulation de l’industrie financière (FINRA) semble considérer que oui.

Un groupe d’arbitrage composé de trois représentants du régulateur américain vient d’ordonner à Morgan Stanley de verser 147 000 dollars US de dommages et intérêts à une ancienne courtière de Floride, Deborah Adeimy, rapporte Financial Planning.

Deborah Adeimy, qui travaille depuis 29 ans dans le secteur financier et n’est plus enregistrée comme courtière, brigue l’investiture républicaine pour le siège du 22e district du Congrès en Floride.

Elle accuse Morgan Stanley d’avoir violé ses contrats de travail, d’ingérence délictuelle, de licenciement déguisé et de traitement inéquitable, selon la sentence prononcée. Lors de l’arbitrage, elle a fait valoir que la société de courtage aurait dû lui accorder un congé temporaire en vertu de ses politiques, mais que l’entreprise a plutôt réaffecté ses clients et l’a forcée à partir, selon Advisor Hub.

Démissionner pour se présenter

Comme plusieurs entreprises américaines, Morgan Stanley possède des procédures autorisant ses employés à se présenter à des élections. Ils doivent toutefois veiller à ce que leurs activités politiques soient séparées de celles de l’entreprise.

Cependant, toutes les réponses que Deborah Adeimy a obtenues à la suite de ses demandes d’autorisation d’absence indiquaient qu’elle « devrait démissionner pour pouvoir se présenter », selon Kate Meisen, sa directrice des communications.

Les fonctions politiques sont souvent examinées de près dans le secteur financier, car les opinions du candidat peuvent être considérées comme représentant celles de l’entreprise. Or les banques veulent s’assurer qu’il n’y a pas de conflit apparent avec la souscription d’obligations municipales et d’autres activités gouvernementales, mentionne Advisor Hub.

Sommes importantes en jeu

L’ancienne courtière souhaite maintenant vérifier les calculs relatifs à la somme de 147 000 $ qui lui a été accordée en dommages et intérêts par la FINRA, indique Investment News. Elle réclamait plus de 10 millions de dollars (M$), dont 2,9 M$ de dommages-intérêts compensatoires et 8,1 M$ de dommages-intérêts punitifs, selon la sentence. À moins que les deux parties ne demandent une explication de la sentence, les arbitres n’ont pas à motiver leur décision, précise Advisor Hub.

Advisor Hub signale qu’en 2014, un ancien courtier de Morgan Stanley dans l’Illinois a remporté 525 000 $ US en arbitrage après avoir affirmé que l’entreprise l’avait diffamé lorsqu’elle l’avait licencié pour s’être présenté à un siège de député. L’entreprise a déclaré qu’il n’avait pas demandé l’autorisation, mais l’ex-courtier a prétendu que l’entreprise était revenue sur une autorisation précédente.

Finance et politique

Deborah Adeimy n’est pas la seule conseillère à se lancer en politique. La planificatrice financière Diane Young court sous les couleurs du Parti démocrate dans la banlieue de Détroit. Sans compter les anciens financiers qui siègent actuellement au Congrès, comme le député républicain French Hill, un ex-banquier, et le sénateur Tim Scott, un ancien professionnel de la vente d’assurances.

Deborah Adeimy n’est certes plus inscrite en tant que courtière ou conseillère en investissement, mais elle met tout de même en avant sur le site web de sa campagne sa carrière et ses titres professionnels en finance pour parler d’économie, un sujet qui intéresse particulièrement les électeurs américains en ce moment, indique Investment News.

Avant d’être recrutée par Morgan Stanley, Deborah Adeimy a commencé sa carrière chez le prédécesseur d’UBS, Painewebber, en 1990, et a travaillé chez Merrill Lynch pendant trois ans avant de se joindre à Smith Barney, racheté par Morgan Stanley. Elle a ensuite été embauchée par Merrill, puis par Wells Fargo avant de retourner chez Morgan Stanley en 2018, selon BrokerCheck.

En 2022, elle a perdu la primaire du Parti républicain face à Dan Franzese, qui a lui-même perdu les élections générales face à la députée démocrate Lois Frankel. La femme d’affaires a ensuite travaillé au bureau de J.P. Morgan Securities à Palm Beach, en Floride, de novembre 2022 à novembre 2023 avant de se lancer une deuxième fois dans la course aux élections.

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Expansion du groupe Institutions financières mondiales de VMTD https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/expansion-du-groupe-institutions-financieres-mondiales-de-vmtd/ Tue, 05 Dec 2023 13:10:27 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97877 L’équipe élargie sera dirigée par Geoff Bertram, à Toronto, et Jim Spencer, à New York.

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Le Groupe Banque TD annonce une importante expansion de la présence des Services bancaires d’investissement de son groupe Institutions financières mondiales aux États-Unis, ainsi que d’autres secteurs de produits, notamment Ventes d’actions, Marchés des capitaux propres, Marchés des capitaux d’emprunt et Recherche sur les actions.

Grâce à cette expansion, le groupe Institutions financières mondiales de Valeurs Mobilières TD pourra offrir ses services à davantage d’institutions financières clientes. L’équipe élargie sera codirigée par des vétérans du marché des capitaux, soit Geoff Bertram et Jim Spencer qui cumulent chacun près de 25 ans d’expérience et occuperont le poste de directeur général à Toronto et New York, respectivement.

Michael Giudice, Alston Lambert, Arvind Sriram, David Stolzar, Eric Tell et Taryn Widén se sont également joints à l’équipe des Services bancaires d’investissement du groupe Institutions financières mondiales.

« Nous sommes ravis d’annoncer l’expansion des activités de notre groupe Institutions financières mondiales ainsi que la croissance de notre offre de produits et services partout en Amérique du Nord, a indiqué Tim Wiggan, cochef des Services bancaires d’investissement mondiaux à Valeurs Mobilières TD. Geoff, Jim et les membres de leur équipe cumulent ensemble des dizaines d’années d’expérience et d’expertise approfondie du secteur, et ils joueront un rôle déterminant dans la réussite du groupe. »

Dans le cadre de cette expansion, Valeurs Mobilières TD a également fait des embauches clés dans ses équipes Marchés mondiaux et Recherche soit :

  • Scott Smith, à titre de directeur général, Ventes d’actions,
  • et Bill Katz, Andrew Kligerman et Moshe Orenbuch à titre d’analystes de recherche principaux.

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Fiera Capital renforce sa présence aux États-Unis https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/fiera-capital-renforce-sa-presence-aux-etats-unis/ Thu, 02 Nov 2023 12:02:58 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97048 NOUVELLES DU MONDE - Eric Roberts occupera le nouveau poste de directeur exécutif à Boston.

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Fiera Capital crée un nouveau poste de directeur exécutif et chef de la direction pour sa division américaine. Cette nomination s’inscrit dans la stratégie qui vise à accroître et à renforcer la présence de la firme aux États-Unis, a indiqué Fiera dans un communiqué.

Le poste a été confié à Eric Roberts, qui prendra ses fonctions à compter du 13 novembre. Le gestionnaire sera basé à Boston et sera amené à se déplacer dans les bureaux de Fiera à New York et à Dayton. Il dirigera directement les équipes de distribution et de marketing aux États-Unis et assurera un leadership exécutif pour l’ensemble des employés de la région.

Cette nomination s’insère dans le nouveau modèle de distribution régionalisé de la société, axé sur le développement des capacités locales. Dans le cadre de ce plan, Klaus Schuster a été nommé en mai dernier à la tête de Fiera EMOA (Europe, Moyen-Orient et Afrique). Rob Petty a pris quant à lui la direction de Fiera Asie. La firme, dont le siège social se situe à Montréal, est également à la recherche d’une personne pour occuper un poste similaire au Canada.

« Eric est un leader de haut niveau reconnu dans notre industrie. Ses connaissances démontrées de l’industrie, et plus particulièrement du marché américain, représentent des avantages importants dans l’expansion et la consolidation de notre position aux États-Unis et dans la stimulation de la croissance organique sur ce marché clé », a souligné Jean-Guy Desjardins, président du conseil et chef mondial de la direction.

Eric Roberts possède plus de 25 ans dans le secteur de la gestion d’actifs, plus particulièrement dans la distribution institutionnelle. Il a dirigé et développé plusieurs équipes de distribution et de vente pour les marchés publics et privés. Dans son plus récent poste, il était chef, institutionnel aux États-Unis auprès d’un gestionnaire de placements mondial coté en bourse au Royaume-Uni. Il détient une maîtrise en administration des affaires de l’Université Suffolk à Boston et un baccalauréat ès arts du collège Hamilton à Clinton.

Fiera a ouvert un premier bureau américain à Boston en septembre 2011. La société a par la suite renforcé sa présence aux États-Unis par diverses acquisitions, dont celles de Bel Air Investment Advisors (qui a été revendue), à Los Angeles, de Wilkinson O’Grady et Samson Capital Advisors, à New York. L’ajout en 2015 d’Apex Capital Management, un gestionnaire d’actions de croissance situé à Dayton en Ohio, lui a permis de doubler sa présence sur le marché institutionnel et sur celui des sous-conseillers aux investisseurs aux États-Unis. En mars 2023, la firme a conclu une entente de distribution stratégique avec New York Life Investments, dont les actifs sous gestion se chiffraient à plus de 660 milliards de dollars fin 2022. Ce partenariat contient certains droits d’exclusivité sur le marché intermédiaire des conseillers aux investisseurs aux États-Unis.

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KPMG Canada renforce son offre de services transfrontaliers  https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/kpmg-canada-renforce-son-offre-de-services-transfrontaliers/ Mon, 02 Oct 2023 11:51:53 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96324 NOUVELLES DU MONDE – En s’associant avec Feigenbaum Consulting.

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Mark Feigenbaum, fondateur de Feigenbaum Consulting, un cabinet comptable et juridique spécialisée dans les questions transfrontalières, s’est associé à KPMG Canada.

Selon Frank Giordano, associé en fiscalité et leader du groupe Technologie, médias et télécommunications de KPMG Canada, ce partenariat permettra de « répondre à la demande croissante de services professionnels personnalisés, en particulier pour (les) clients du bureau de gestion familiale qui ont des entreprises et des résidences dans plusieurs administrations ».

Œuvrant depuis près de 30 ans auprès du secteur privé et de clients fortunés, Mark Feigenbaum a fondé Feigenbaum Consulting en 2023. Basé à Toronto, et formé d’une équipe de neuf personnes, le cabinet-conseil se spécialise dans la planification juridique et fiscale transfrontalière, les litiges et la conformité pour les particuliers, principalement dans l’industrie du sport, de la musique et du divertissement. Sa clientèle se compose d’entreprises qui se développent aux États-Unis, de particuliers qui s’installent ou travaillent aux États-Unis et de citoyens américains qui vivent au Canada.

Avocat agréé aux États-Unis et au Canada, Mark Feigenbaum détient le titre de Certified Public Accountant (CPA) aux États-Unis et de Chartered Professional Accountant (FCPA) en Ontario. Au cours de sa carrière, il a plaidé des causes devant des tribunaux de diverses juridictions au Canada aux États-Unis.

Avant de créer son cabinet, il a enseigné la comptabilité, la fiscalité et le droit des affaires dans plusieurs universités. Il a aussi travaillé dans le secteur privé, notamment pour Aliments Ault, Tiffany & Co., Cara et Paramount Pictures.

Titulaire d’une licence en comptabilité, d’une licence en droit, d’une maîtrise en droit du divertissement et des médias et d’un doctorat en sciences juridiques, en fiscalité internationale et services financiers de Californie, Mark Feigenbaum détient également des maîtrises en sciences économiques et en éducation des adultes. Il a suivi le programme de développement du leadership (EMBA alternatif) de la Harvard Business School.

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La Banque TD sous le coup d’une enquête aux États-Unis https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/la-banque-td-sous-le-coup-dune-enquete-aux-etats-unis/ Fri, 25 Aug 2023 12:20:10 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95871 L’imposition de pénalités serait attendue.

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Le groupe Banque TD a révélé jeudi qu’il s’attendait à ce que les autorités de réglementation américaines imposent des pénalités liées à son programme de conformité en matière de lutte contre le blanchiment d’argent.

La banque a fait cette déclaration dans son rapport du troisième trimestre, alors qu’elle annonçait une baisse de ses bénéfices par rapport à l’année précédente et une expansion importante de son programme de rachat d’actions.

La TD a reçu des demandes formelles et informelles de la part des autorités de régulation concernant son programme de conformité, a indiqué la banque dans son rapport aux actionnaires. Elle a répondu de manière générale et « en relation avec des clients, des contreparties ou des incidents spécifiques aux États-Unis, y compris dans le cadre d’une enquête menée par le ministère de la Justice des États-Unis », a déclaré la banque.

Le chef de la direction, Bharat Masrani, a indiqué lors d’une conférence téléphonique sur les résultats jeudi que la banque s’efforçait de renforcer ses efforts en matière de conformité, tout en refusant de fournir des détails sur les discussions en cours avec les régulateurs.

« Nous travaillons d’arrache-pied pour améliorer nos programmes », a-t-il dit en réponse aux questions des analystes.

« Nous prenons cette question très au sérieux et nous réalisons les investissements et les améliorations qui conviennent à notre organisation pour gérer le risque. Je suis convaincu qu’avec le temps, nous apporterons les améliorations nécessaires. »

Cette déclaration intervient après que la TD a annulé en mai son projet de rachat de la banque First Horizon, établie aux États-Unis, pour un montant de 13,4 milliards de dollars (G$), en invoquant l’incertitude réglementaire. Les médias avaient alors rapporté que le programme de conformité de la banque en matière de lutte contre le blanchiment d’argent était l’un des principaux points d’achoppement pour les autorités de réglementation.

La Banque TD a précisé dans son dossier que, bien que l’issue des enquêtes réglementaires soit inconnue, elle s’attend à ce que des pénalités monétaires ou non monétaires soient imposées.

Bénéfice en baisse

Parallèlement à l’enquête, la banque a déclaré jeudi que son bénéfice net s’élevait à 2,96 G$, contre 3,21 G$ au cours du même trimestre de l’année précédente, en raison d’une augmentation des provisions pour pertes sur créances et d’une hausse des dépenses liées en partie à l’échec de l’offre d’achat de First Horizon.

La banque a également annoncé un plan de rachat de 90 millions d’actions, soit environ 4,9 % des actions en circulation, après l’achèvement d’un programme de rachat de 30 millions d’actions.

Ce programme intervient alors que la banque dispose de liquidités supplémentaires mises de côté pour l’opération First Horizon et que des questions subsistent quant à ses plans de croissance après l’échec de l’opération.

Kelvin Tran, directeur financier de la TD, a déclaré dans une interview que les rachats faisaient partie de l’approche cohérente de la banque en matière de déploiement de capital, qui établit un équilibre entre la croissance interne, les acquisitions et les versements aux actionnaires.

« Cette stratégie dépend de ce qui est optimal à un moment donné, mais nous sommes très heureux de pouvoir le faire en restituant le capital excédentaire aux actionnaires », a-t-il dit.

Le bénéfice ajusté de la banque s’est élevé à 1,99 $ par action au cours du dernier trimestre, en baisse par rapport au bénéfice ajusté de 2,09 $ par action enregistré au cours du même trimestre de l’année précédente.

Le résultat est inférieur à l’estimation moyenne des analystes de 2,04 $ par action, sur la base des estimations compilées par la société de données sur les marchés financiers Refinitiv.

L’écart s’explique en partie par des provisions pour pertes de crédit plus élevées que prévu, qui se sont établies à 766 M$, contre 351 M$ un an plus tôt, a déclaré John Aiken, analyste chez Barclays.

Les provisions plus élevées que prévu proviennent en grande partie des vastes activités de la banque aux États-Unis, où les résultats ont également été décevants.

« Le manque à gagner peut être attribué en grande partie à la baisse des bénéfices dans son segment de détail aux États-Unis, qui a vu les marges diminuer et les provisions augmenter », a-t-il indiqué dans une note.

Il a toutefois ajouté que le programme de rachat d’actions compenserait probablement ce léger manque à gagner.

Les revenus de la banque se sont élevés à 12,78 G$, contre 10,93 G$ au cours du même trimestre de l’année précédente.

La Banque TD a déclaré que ses services bancaires personnels et commerciaux au Canada ont rapporté 1,66 G$, comparativement à 1,68 G$ pour le même trimestre de l’exercice précédent, principalement en raison de l’augmentation des provisions pour pertes sur créances, partiellement contrebalancée par la croissance des revenus.

Kelvin Tran a indiqué que les activités de la banque ont été stimulées par les nouveaux comptes, en hausse de 26 % d’une année à l’autre, grâce à un trimestre record pour les nouveaux comptes au Canada, tandis que les dépenses sur les cartes de crédit canadiennes ont également atteint un niveau record.

Les volumes de prêts hypothécaires sont également en train de rebondir par rapport aux niveaux les plus bas enregistrés au début de l’année, malgré la hausse des taux, a-t-il déclaré.

« Il est évident que lorsque les taux augmentent, les gens sont un peu plus prudents, mais structurellement, il y a beaucoup de demande. »

Et bien que ces taux affectent les consommateurs, les soldes des cartes de crédit restent inférieurs aux niveaux d’avant la pandémie et les profils de crédit des clients sont bons dans l’ensemble, a-t-il ajouté.

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Placements Mackenzie lance un Fonds mondial de dividendes en dollars US https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/placements-mackenzie-lance-un-fonds-mondial-de-dividendes-en-dollars-us/ Wed, 05 Jul 2023 10:44:43 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94766 PRODUITS - Il permet un accès plus aisé et diversifié aux marchés financiers mondiaux.

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Placements Mackenzie lance le Fonds mondial de dividendes en dollars américains afin d’offrir aux investisseurs une nouvelle façon de maintenir leur exposition en dollars américains, tout en tirant profit des occasions de placement que présentent diverses sociétés mondiales.

Le nouveau fonds sera géré par l’équipe d’actions et de revenus mondiaux de Placements Mackenzie. Il vise à générer une plus-value du capital à long terme et un revenu régulier en investissant principalement dans des actions mondiales susceptibles de verser des dividendes. L’objectif est de constituer un portefeuille diversifié comprenant des entreprises mondiales aux valorisations attrayantes qui versent régulièrement des dividendes et offrent un potentiel de croissance solide.

Le dollar américain servira de devise de base, éliminant ainsi les risques liés aux fluctuations des taux de change, explique Darren McKiernan, VPP, gestionnaire de portefeuille et chef de l’équipe des actions et du revenu mondiaux de Placements Mackenzie.

« Les Canadiens et Canadiennes qui détiennent des dollars américains, comme ceux et celles qui passent un certain temps aux États-Unis ou qui possèdent une entreprise facilitant les transactions en dollars américains, peuvent désormais utiliser ces fonds pour s’exposer à des sociétés qui ont démontré leur capacité à générer des rendements solides et à rendre les bénéfices aux actionnaires, » ajoute Darren McKiernan.

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Plafond de la dette américaine : un accord de principe est conclu https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/plafond-de-la-dette-americaine-un-accord-de-principe-est-conclu/ Mon, 29 May 2023 11:24:45 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94223 Cependant, le Congrès doit donner son aval.

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Le président des États-Unis Joe Biden et le président de la Chambre, Kevin McCarthy, sont parvenus à un « accord de principe » samedi soir pour relever le plafond de la dette légale du pays alors qu’ils se précipitaient pour conclure un accord visant à limiter les dépenses fédérales et à éviter un défaut potentiellement désastreux des États-Unis.

Cependant, l’accord risque de mettre en colère les démocrates et tout comme les républicains avec les concessions faites pour parvenir à un compromis. Les négociateurs ont accepté certaines demandes des républicains concernant le renforcement des exigences en matière de travail pour les bénéficiaires de bons d’alimentation, ce qui avait suscité un tollé de la part des démocrates de la Chambre des représentants, qui considéraient qu’il s’agissait d’une fin de non-recevoir.

Lire également : Les États-Unis pourraient-ils vraiment faire défaut sur leur dette ?

Le soutien des deux parties sera nécessaire pour obtenir l’approbation du Congrès la semaine prochaine avant le défaut de paiement prévu par le gouvernement le 5 juin.

Le président démocrate et le président républicain sont parvenus à un accord après que les deux se soient parlé plus tôt samedi soir par téléphone. Le pays et le monde ont observé et attendu une résolution de l’impasse politique qui menaçait les États-Unis et l’économie mondiale.

« L’accord représente un compromis, ce qui signifie que tout le monde n’obtient pas ce qu’il veut, a déclaré Joe Biden dans un communiqué tard samedi soir. C’est la responsabilité de gouverner ».

Joe Biden a qualifié l’accord de « bonne nouvelle pour le peuple américain, car il empêche ce qui aurait pu être un défaut de paiement catastrophique et aurait entraîné une récession économique, la destruction des comptes de retraite et la perte de millions d’emplois ».

Dans de brèves remarques au Capitole, Kevin McCarthy a déclaré : « Nous avons encore beaucoup de travail à faire ».

Le président républicain a ajouté qu’il estime que « c’est un accord de principe digne du peuple américain. »

Avec les grandes lignes d’un accord en place, le projet de loi pourrait être rédigé et partagé avec les législateurs à temps pour les votes au début de la semaine prochaine à la Chambre et plus tard au Sénat.

Au cœur du projet de loi se trouve un accord de réduction budgétaire de deux ans qui maintiendrait les dépenses à plat pour 2024 et les augmenterait de 1% pour 2025 en échange d’un relèvement du plafond de la dette pendant deux ans, repoussant la question politique volatile au-delà de la prochaine élection présidentielle.

Travaillant dur pour un accord visant à imposer des exigences de travail plus strictes aux bénéficiaires de l’aide gouvernementale, les républicains ont réalisé une partie, mais pas la totalité, de ce qu’ils voulaient. L’accord augmenterait l’âge des exigences de travail existantes pour les adultes valides sans enfants de 49 à 54 ans, mais Joe Biden a pu obtenir des dérogations pour les anciens combattants et les sans-abris.

Les deux parties étaient également parvenues à une refonte ambitieuse des permis fédéraux pour faciliter le développement de projets énergétiques et de lignes de transport. Au lieu de cela, l’accord mettrait en place des changements dans la loi historique des années 1970 sur la politique nationale de l’environnement qui désignera « une seule agence principale » pour développer les évaluations environnementales, dans l’espoir de simplifier le processus.

L’accord de principe est survenu après que la secrétaire au Trésor, Janet Yellen, a indiqué au Congrès que les États-Unis pourraient faire défaut sur leurs obligations de dette d’ici le 5 juin,  quatre jours plus tard que prévu, si les législateurs n’agissent pas à temps pour relever le plafond de la dette fédérale. La prolongation de la date limite donne aux deux parties un peu de temps supplémentaire pour conclure un accord.

Joe Biden s’est également entretenu plus tôt dans la journée avec des dirigeants démocrates au Congrès pour discuter de l’état des pourparlers.

Le président de la Chambre républicaine avait réuni les meilleurs alliés à huis clos au Capitole alors que les négociateurs faisaient pression pour un accord qui augmenterait la limite d’emprunt du pays et éviterait un tout premier défaut de paiement sur la dette fédérale, tout en procédant à des réductions de dépenses que les républicains de la Chambre exigent.

Mais alors qu’un autre jour s’éternisait avec un désastre financier qui se rapprochait, il était apparu que certains des problèmes liés aux questions politiques qui avaient entravé les discussions toute la semaine restaient non résolus.

Les deux parties ont suggéré que l’un des principaux retards était un effort des républicains pour élargir les exigences de travail des bénéficiaires de bons d’alimentation et d’autres programmes d’aide fédéraux, un objectif républicain de longue date auquel les démocrates se sont vigoureusement opposés. La Maison-Blanche a soutenu que les propositions républicaines étaient « cruelles et insensées ».

Le président Biden s’est dit contre les exigences de travail pour pouvoir bénéficier de l’assurance maladie Medicaid. Il avait semblé potentiellement ouvert à la négociation de changements sur les coupons alimentaires, maintenant connu comme le programme SNAP (Supplemental Nutrition Assitance Program), malgré les objections des démocrates.

Les Américains et le monde observaient avec inquiétude les négociations au bord du gouffre qui pourraient plonger l’économie américaine dans le chaos et saper la confiance du monde dans le leadership de la nation.

Le fait de ne pas lever la limite d’emprunt, désormais de 31 billions de dollars, pour payer les factures encourues par le pays, enverrait des ondes de choc dans l’économie américaine et mondiale. Janet Yellen a souligné que le fait de ne pas agir à la nouvelle date « causerait de graves difficultés aux familles américaines, nuirait à notre position de leader mondial et soulèverait des questions sur notre capacité à défendre nos intérêts de sécurité nationale ».

Des retraités anxieux et d’autres préparaient déjà des plans d’urgence pour les chèques manqués, les prochains paiements d’assurance sociale étant attendus la semaine prochaine.

En raison de la longue fin de semaine du Memorial Day, les législateurs devraient reprendre le travail mardi, au plus tôt, et Kevin McCarthy a promis aux législateurs qu’il respecterait la règle selon laquelle tout projet de loi doit être affiché pendant 72 heures avant d’être voté.

(Avec la collaboration de Zeke Miller, Stephen Groves, Fatima Hussein, Farnoush Amiri, Seung Min Kim et Rick Gentilo de l’Associated Press.)

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Dette américaine : le Canada serait affecté par un défaut de paiement https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/dette-americaine-le-canada-serait-affecte-par-un-defaut-de-paiement/ Wed, 10 May 2023 11:32:39 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94000 Des négociations visant une hausse du plafond de la dette se poursuivent.

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Le gouvernement canadien retenait son souffle mardi alors que de l’autre côté de la frontière débutait une course contre la montre, avec l’économie mondiale pesant dans la balance.

Le président américain Joe Biden a rencontré des représentants du Congrès, dont le président républicain de la Chambre des communes, Kevin McCarthy, pour négocier une éventuelle hausse du plafond de la dette, qui limite le pouvoir d’emprunter du gouvernement.

La secrétaire du trésor, Janet Yellen, a prévenu la semaine dernière que le plafond pourrait être atteint dès le 1er juin.

Lire également : Les États-Unis pourraient-ils vraiment faire défaut sur leur dette ?

Les républicains, qui ont une majorité en Chambre, disent qu’ils n’accepteront pas de hausser la limite tant que l’administration Biden n’aura pas coupé dans les dépenses gouvernementales.

« McCarthy est aux prises avec une très fine majorité et la possibilité bien réelle que l’aile droite de son parti pourrait (encore) se retourner contre lui comme président de la Chambre », a expliqué le professeur de politique John Aldrich, de l’Université Duke.

« Tout le monde autour de la table comprend les risques d’un défaut de paiement: notre économie tomberait dans une grande récession, a dit le président Biden. Près de huit millions d’Américains perdraient leur emploi et notre réputation internationale serait endommagée. »

Si le Canada se garde bien de s’exprimer sur la situation, ses conséquences pourraient se faire sentir dans le pays.

« De bien des façons, nous sommes comme un 51e État », a soutenu le professeur Andreas Schotter, spécialiste du commerce international à la Western University. Les compagnies et institutions qui vendent des produits ou des services ou prêtent de l’argent au gouvernement américain sentiront l’impact d’un défaut de paiement presque instantanément, a-t-il dit, citant aussi l’effet que cela aurait sur les marchés boursiers et les taux d’intérêt, déjà en hausse, qui grimperaient en flèche.

Il ne pense pas qu’on en viendra là, mais prédit qu’avec la situation politique actuelle, l’éventuel accord risque de se faire à la dernière minute.

« Les conséquences d’un défaut de paiement de la dette des États-Unis seraient mondiales et des discussions sont en cours entre le président, la branche exécutive et le Congrès », a dit l’ambassade canadienne dans un communiqué. « Le Canada suit cette situation de très près. »

Le ministre adjoint aux Finances, Randy Boissonnault, a affirmé mardi qu’il s’agit d’un enjeu interne que les États-Unis doivent régler par eux-mêmes. Il a cependant noté que les ministres des Finances du G7 se rencontreront cette semaine au Japon.

(Avec des informations de David Fraser, à Ottawa.)

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