Pollara Strategic Insights – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 04 Apr 2024 10:50:31 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Pollara Strategic Insights – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Planification fiscale à l’année https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/planification-fiscale-a-lannee/ Thu, 04 Apr 2024 10:50:31 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99907 Seuls 27 % des Canadiens et 29 % des Québécois en profitent.

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Seuls 27 % des Canadiens et 29 % des Québécois profitent d’une planification fiscale à l’année, révèle l’étude annuelle sur la fiscalité réalisée par IG Gestion de patrimoine (IG).

Cette étude, menée en collaboration avec Pollara Strategic Insights auprès de 1 229 Canadiens de 18 ans et plus entre le 15 et 28 février 2024, indique également que :

  • un tiers seulement (33 %) des Canadiens et des Québécois ont la conviction qu’ils profitent de tous les allègements fiscaux possibles ;
  • dix-sept pour cent seulement des Canadiens et 24 % des Québécois s’estiment très bien informés sur l’incidence fiscale de certaines étapes ou certains événements de la vie.

En fait, si 57 % des Canadiens et 53 % des Québécois reconnaissent l’importance de la planification fiscale tout au long de l’année, peu d’entre eux en font une priorité.

« En priorisant votre planification fiscale en dehors de la seule période des impôts, vous pouvez réduire votre facture fiscale, maximiser les crédits et les déductions d’impôt auxquels vous avez droit et, ultimement, conserver et faire fructifier une plus grande partie de votre patrimoine », déclare Damon Murchison, président et chef de la direction d’IG Gestion de patrimoine.

 

Des incidences fiscales négligées

L’étude d’IG montre aussi que de nombreuses personnes négligent ou ne comprennent pas les incidences fiscales d’achats ou d’événements majeurs de la vie. De fait,

  • seul un tiers des Canadiens et 31 % des Québécois ont déclaré avoir pris en compte les incidences fiscales d’un achat important avant de le faire (maison, résidence secondaire ou voiture), ou d’un investissement dans la rénovation de leur domicile.
  • encore moins de Canadiens (17 %) et de Québécois (24 %) disent bien connaître les incidences fiscales de certaines étapes ou certains événements de la vie (mariage, naissance d’un enfant, départ à la retraite ou transmission de la succession).

Des conseillers peu sollicités

Enfin, l’étude a également révélé que si 54 % des Canadiens (49 % des Québécois) sollicitent des conseils fiscaux professionnels, seuls 17 % des Canadiens (15 % des Québécois) obtiennent ces conseils auprès d’un conseiller en services financiers.

« Un conseiller ou une conseillère fournit un service unique en adoptant une approche globale de la planification financière, et en élaborant un plan intégré et personnalisé qui tient compte de tous les aspects de votre vie financière, d’une manière aussi avantageuse que possible sur le plan fiscal », conclut Damon Murchison.

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Épargne-retraite : près d’un Canadien sur deux sans plan précis https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/epargne-retraite-pres-dun-canadien-sur-deux-sans-plan-precis/ Thu, 22 Feb 2024 13:01:42 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99264 Une étude révèle le décalage entre épargne et préparation.

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Dans un contexte économique de plus en plus incertain, les Canadiens de 35 ans ou plus affichent clairement une volonté d’épargner pour l’après-carrière. Selon l’étude annuelle sur la retraite d’IG Gestion de patrimoine, près des trois quarts (72 %) de cette tranche d’âge ont déjà investi dans leur épargne-retraite.

Toutefois, un peu moins de la moitié (42 %) de ces épargnants n’ont pas de plan de retraite défini. Beaucoup (45 %) ne savent donc pas le montant dont ils auront besoin pour vivre confortablement une fois qu’ils auront quitté le marché du travail.

L’étude a aussi révélé que seul un quart (26 %) des personnes sondées prend en compte des facteurs tels que l’inflation et les fluctuations économiques dans leur stratégie d’épargne-retraite.

Des résultats inquiétants aux yeux de Christine Van Cauwenberghe, cheffe de la planification financière à IG Gestion de patrimoine. Selon elle, un plan de retraite efficace doit intégrer divers éléments, dont le style de vie souhaité, les objectifs de revenus, les sources de revenus, les dépenses prévues, et une stratégie d’épargne qui englobe la gestion des actifs et des risques.

Le rapport souligne également un manque de soutien en planification de retraite parmi ceux qui consultent un conseiller : seulement 36 % d’entre eux déclarent recevoir de l’aide dans ce domaine précis.

Christine Van Cauwenberghe appelle à une responsabilité accrue du secteur financier pour aller au-delà de la gestion de portefeuille et offrir une planification financière intégrée, essentielle pour naviguer dans un environnement économique volatil.

L’étude en ligne a été réalisée avec Pollara Strategic Insights en janvier auprès de 1 305 personnes de 35 ans ou plus.

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Plus de 2 M$ pour la retraite https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/plus-de-2-m-pour-la-retraite/ Tue, 20 Feb 2024 12:21:10 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98953 C’est ce dont les millénariaux pensent avoir besoin.

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Les millénariaux pensent qu’ils auront besoin d’environ 2,1 millions de dollars (M$) pour prendre leur retraite, un chiffre bien plus élevé que la moyenne de toutes les générations. En effet, pour la deuxième année de suite, l’ensemble des Canadiens pensent avoir besoin d’environ 1,7 M$ pour leur retraite.

À noter que ce sont les jeunes générations qui font monter la moyenne. Car si les millénariaux pensent avoir besoin de 2,1 M$, les membres de la génération Z estiment avoir toute de même besoin de 1,6 M$, contre 1,3 M$ pour les membres de la génération X et les baby-boomers et 1,2 M$ pour les 71 ans et plus.

« Il n’existe pas de plan de retraite unique ni de chiffre universel quant au montant que les Canadiens devraient épargner en vue de leur retraite, souligne Nicole Ow, chef, Placements de particuliers, BMO. Nous encourageons les gens à commencer à planifier tôt et à tenir compte de tous les facteurs qui influeront sur leur style de vie idéal à la retraite, y compris les obligations familiales, les objectifs en matière de santé et de bien-être, les passe-temps et les intérêts, ainsi que les projets de voyage. »

À noter que pour les Canadiens, l’épargne n’est pas négligée, ainsi plus de 62 % d’entre eux ont déjà cotisé à leur régime enregistré d’épargne-retraite (REER) en 2023 ou prévoient de le faire. Le montant moyen que les gens prévoient de cotiser à leur REER a également augmenté, passant de 5 753 $ en 2022 à 6 512 $ en 2023.

Toutefois, la valeur des REER a baissé depuis ses niveaux élevés enregistrés au cours des deux années précédentes. Le montant moyen détenu à l’échelle nationale a chuté de 28 %, passant de 144 613 $ en 2022 à 113 070 $ en 2023. Malgré cette baisse, la valeur totale des comptes est conforme aux moyennes historiques, avec une augmentation notable de l’épargne-retraite au cours de la pandémie de COVID-19.

Cette baisse peut être attribuable à la situation économique actuelle. En effet, 63 % des Canadiens affirment que les conditions économiques actuelles ont un impact négatif sur leur capacité à épargner en vue de la retraite. Ainsi :

  • 37 % des Canadiens consacrent moins d’argent à l’épargne-retraite ;
  • 44 % des baby-boomers ont déclaré qu’ils compensent leur capacité réduite à épargner pour la retraite en travaillant plus longtemps que prévu ;
  • et 38 % des sondés de la génération Z remettent à plus tard l’épargne-retraite.

Un écart entre les sexes

Comme entre les générations, on voit un clivage entre les réponses des hommes et des femmes lorsqu’on leur demande combien ils pensent devoir épargner pour la retraite.

Les premiers estiment avoir besoin en moyenne de 2 M$ pour pouvoir prendre leur retraite, alors que les secondes calculent nécessiter 1,3 M$.

À noter que les hommes sont plus optimistes que les femmes. En effet, 67 % estiment qu’ils auront assez d’argent pour prendre leur retraite comme prévu contre seulement 56 % des femmes.

Âge de la retraite

Interrogée sur l’âge de retraite idéal, la population canadienne estime que celui-ci serait 55 ans.

Pour les plus jeunes, cet âge est plus bas. Les membres de la génération Z estiment que l’âge idéal est 50 ans. Les millénariaux parlent quant à eux de 53 ans.

Pourtant l’âge moyen de départ à la retraite est 62 ans.

Cette étude a été réalisée par Pollara Strategic Insights par le biais d’un sondage en ligne auprès de 1 510 adultes canadiens, entre le 3 et le 8 novembre 2023.

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Les investisseurs souhaitent une expérience client plus numérisée https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-investisseurs-souhaitent-une-experience-client-plus-numerisee/ Tue, 13 Apr 2021 12:08:28 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=78979 Et veulent que le service qu’on leur offre soit amélioré.

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Les Canadiens s’attendent à une expérience client plus numérique et moderne de la part du secteur de la gestion de patrimoine, révèle une étude récente d’IG Gestion de patrimoine menée par Pollara Strategic Insights.

Ainsi, la majorité des sondés qui travaillent avec un conseiller (62 %) estiment que le service qui leur est offert pourrait être amélioré. Plus de la moitié (59 %) aimeraient que leur conseiller adopte des solutions numériques plus modernes et 87 % estiment qu’à l’avenir il deviendra plus important que les conseillers offrent des expériences avant-gardistes à leurs clients.

« Les Canadiens veulent de la part de leur conseiller le même type d’expérience numérique qu’ils sont habitués d’avoir dans d’autres segments de leur vie », résume Damon Murchison, président et chef de la direction, IG Gestion de patrimoine.

Parmi les Canadiens ne faisant pas encore affaire avec un conseiller, ces derniers cherchent un professionnel capable de présenter leur plan financier d’une façon claire, simple et convaincante visuellement, et d’offrir différents scénarios de finances personnelles rapidement.

« Les Canadiens veulent faire appel à des conseillers qui sont en mesure de combiner leurs vastes connaissances et expérience de la planification financière avec les meilleurs outils, pour offrir une expérience moderne et harmonieuse. Nous sommes bien placés pour le faire », conclut Damon Murchison.

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Les REER grands incompris des investisseurs https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-reer-grands-incompris-des-investisseurs/ Mon, 22 Feb 2021 13:12:06 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=78008 Mais les avoirs moyens des comptes augmentent.

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Malgré les défis imposés par la pandémie, le montant que les Canadiens détiennent dans leur REER est en hausse, constate BMO Groupe financier dans son 11e sondage annuel sur le REER. Toutefois, les résultats montrent également que les connaissances des avantages et des caractéristiques de ce compte enregistré sont en baisse.

En 2020, le montant moyen détenu dans les comptes REER s’élevait à 112 295 $, une hausse de 3,3 % par rapport à 2019 et de 41 % par rapport à 2015. Toutefois, 12 % des Canadiens n’ont pas cotisé cette année du fait de la COVID-19.

« Les investisseurs doivent tenir compte des facteurs à long terme, comme l’augmentation du coût de la vie et l’allongement de l’espérance de vie moyenne, lorsqu’ils planifient leur retraite, a rappelé Robert Armstrong, directeur général, Solutions d’investissement multiactif, BMO Gestion mondiale d’actifs. Compte tenu de ces défis, il est encourageant de constater une augmentation à l’échelle nationale des montants détenus dans les REER. »

Déclin des connaissances

Si ces chiffres sont rassurants, le sondage annuel de la BMO montre toutefois que les connaissances des Canadiens sur le REER diminuent. Il s’agit de la cinquième année de déclin, un résultat pour le moins préoccupant.

Une grande majorité de Canadiens (71 %) savent comment cotiser à un REER, toutefois, il s’agit d’une diminution de 8 % par rapport à 2015. Dans le même sens, 61 % des Canadiens connaissent le plafond de cotisation au REER, une baisse de 12 % par rapport à cinq ans auparavant.

Seule la moitié des sondés savent quels placements peuvent être détenus dans un REER, une baisse de 10 % par rapport à 2015, ainsi seuls 44 % des Canadiens savent que les REER peuvent contenir des fonds négociés en Bourse (FNB), mais 79 % savent qu’ils peuvent y mettre des fonds d’investissement.

« Le REER est une solution de placement importante dans la boîte à outils de planification de la retraite des Canadiens. Compte tenu de la complexité inhérente au REER, des conseils professionnels s’avèrent judicieux pour aider les investisseurs à atteindre leurs objectifs financiers à long terme », note Robert Armstrong.

Les femmes moins informées

Les résultats varient selon le sexe des répondants. Ainsi, les femmes sont 9 % moins susceptibles que les hommes de savoir comment cotiser à un REER et 10 % moins susceptibles de connaître la différence entre CELI et REER.

Également, un pourcentage moins élevé de femmes que d’homme connaissent la date limite de cotisation (62 % contre 70 %) et savent combien elles peuvent cotiser au compte (55 % contre 67 %).

Ainsi, il est peu étonnant de voir que les femmes sont 18 % moins confiantes que les hommes vis-à-vis de leurs projets de retraite. Toutefois, elles sont moins susceptibles que les hommes de retirer des fonds de leur REER avant l’âge de 71 ans. Ainsi seuls 25 % d’entre elles le font contre 31 % pour les hommes.

Ce sondage a été réalisé en ligne entre le 17 et le 23 novembre auprès de 1500 Canadiens par l’intermédiaire de Pollara Strategic Insights pour le compte de BMO.

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La pandémie stimule l’intérêt des Québécois face à leur avenir financier https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-pandemie-stimule-linteret-des-quebecois-face-a-leur-avenir-financier/ Fri, 18 Dec 2020 13:12:02 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=76967 Ils accordent davantage d’importance à leurs finances personnelles.

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Depuis le début de la pandémie, les Québécois s’intéressent davantage à la planification financière et leur avenir financier en général, révèle une étude récente publiée par IG Gestion de patrimoine.

L’étude révèle ainsi qu’environ la moitié des Canadiens (45 %) qui ne possèdent pas encore de plan financier comptent en bâtir un prochainement. De plus, 46 % des sondés qui ont déjà un tel plan sont engagés à le revoir ou l’ajuster pour mieux se préparer aux imprévus.

Ce regain d’intérêt vis-à-vis de la planification financière peut s’expliquer par l’effet dévastateur de la COVID-19 sur l’économie et les finances des consommateurs, selon l’étude. La pandémie a effectivement eu un effet sur le bien-être financier de bien des Canadiens.

Depuis le début de la pandémie, environ le quart des répondants (27 %) estiment gérer efficacement leurs finances, bien que seuls 25 % aient établi un budget qu’ils suivent scrupuleusement alors que 20 % estiment pouvoir épargner pour leurs dépenses futures. Côté assurances, un pourcentage encore plus faible de répondants (22 %) affirment avoir une protection adéquate pour eux et leur famille.

Finalement, moins de la moitié des sondés sont confiants quant à leur approche de placements pour leur retraite et leurs stratégies fiscales. En fait, 21 % des Canadiens interrogés pensent avoir une bonne connaissance de leur bien-être financier global.

« Après tous les bouleversements de cette année, il n’est pas surprenant que les Canadiens réévaluent leurs finances, estime Damon Murchison, président et chef de la direction d’IG Gestion de patrimoine. Cela dit, il est encourageant de voir qu’ils sont nombreux à prendre l’initiative et à reconnaître le rôle important qu’un plan financier peut jouer quand il s’agit de préparer son avenir et de réaliser des objectifs à court et à long terme. »

Quelques pistes de solutions

Interrogé sur ces statistiques, Damon Murchison voit d’un œil positif que nombre de Canadiens remettent en question la gestion de leurs finances. Selon lui, c’est le premier pas pour améliorer son bien-être financier global à long terme.

Il rappelle qu’il existe de nombreuses applications pour avoir un aperçu de son plan financier. Chez IG Gestion de patrimoine, il y a par exemple l’Aperçu du Plan vivant IG.

Mais pour bâtir un plan financier adapté à ses besoins personnels, Damon Murchison conseille de se tourner vers un professionnel.

« Pour prendre des décisions financières éclairées, il faut se faire aider. L’expérience et la formation d’un professionnel des services financiers peuvent être inestimables, que ce soit pour élaborer la bonne stratégie fiscale, pour épargner suffisamment afin de concrétiser ses objectifs ou pour mieux se préparer à toute éventualité », précise-t-il.

« Personne n’aurait pu prédire les événements de cette année, mais il est possible de se préparer financièrement à l’inattendu grâce à une planification intégrée », conclut-il.

Cette étude a été menée par Pollara pour le compte d’IG Gestion de patrimoine. Elle a été menée en ligne du 22 au 25 octobre dernier, et ce auprès de 1508 Canadiens de plus de 18 ans. Les résultats ont été pondérés en fonction de l’âge, du sexe et de la région afin d’être représentatifs de la population canadienne.

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FNB : les clients enclins à acheter local https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/fnb-les-clients-enclins-a-acheter-local/ Tue, 02 Jun 2020 19:35:08 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=66903 FOCUS FNB – Les clients seraient davantage enclins à acheter des fonds négociés en Bourse (FNB) provenant de manufacturiers canadiens.

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C’est ce que semble montrer un sondage de Pollara Strategic Insights qui a été réalisé auprès de 1500 répondants canadiens, pour le compte de Placements Mackenzie, un manufacturier canadien de fonds d’investissement.

Dans ce sondage, on a demandé aux répondants d’indiquer s’ils préféreraient acheter un FNB d’un manufacturier canadien ou d’un manufacturier étranger. En tout, 61 % ont coché le choix de réponse suivant : « Oui, j’ai tendance à faire davantage confiance aux fournisseurs canadiens – ils se concentrent davantage sur les besoins des investisseurs canadiens et la stabilité du système financier canadien me rend plus à l’aise ». À l’inverse, 4 % des répondants ont choisi : « Non, je préfère les fournisseurs étrangers lors de l’achat d’investissements tels que les FNB ». Pour le reste des répondants, 18 % ont dit que cela n’avait pas d’importance et 17 % ne savaient pas quoi répondre.

Parmi les répondants qui détiennent un portefeuille de 1 M$ et plus, 56 % ont dit préférer les manufacturiers canadiens et 27 % étaient indifférents. Sinon, 4 % préféraient les fournisseurs étrangers et 13 % ne savaient pas quoi répondre.

Les répondants qui sont déjà des détenteurs de FNB étaient aussi plus enclins à privilégier les FNB canadiens (56 %), mais une portion significative (40 %) a indiqué que cela n’avait aucune importance.

« Les investisseurs particuliers préfèrent les fournisseurs de FNB qui ont des connaissances et des connaissances spécifiques sur les nuances du marché local », indique Lesli Martin, vice-président chez Pollara Strategic Insights.

Un conseiller qui propose d’opter pour un FNB provenant d’un manufacturier étranger dans la construction de ses portefeuilles devrait donc bien expliquer à son client ce qui motive son choix, laisse donc supposer l’étude de Pollara.

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Le chiffre FNB : 80 % https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/le-chiffre-fnb-80/ Tue, 05 May 2020 18:51:44 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=66197 FOCUS FNB – Les clients méconnaissent les fonds négociés en Bourse (FNB).

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Bien vulgariser ce qu’est un FNB et ses caractéristiques est un défi pour les conseillers, ainsi que pour l’industrie des FNB. Ce défi serait encore plus grand pour les conseillers faisant affaire avec des femmes.

C’est ce que semble montrer un sondage Pollara Strategic Insights, qui a été réalisé auprès de 1500 répondants canadiens, pour le compte de Placements Mackenzie.

Dans cette étude, les répondants devaient décrire leur degré de connaissance des FNB en général. Résultat, 31 % ont dit bien connaître ces produits, contre 69 % qui affirment ne pas les connaître. On peut cependant noter un écart entre les sondés masculins et féminins. En tout, 39 % des hommes interrogés ont dit connaître les FNB contre seulement 20 % pour les femmes.

De plus, 49 % des sondées par rapport à 34 % des sondés n’ont pas été capables d’identifier, parmi une liste d’avantages des FNB, lequel ils considèrent comme étant le plus important. Cette liste comprenait l’efficience fiscale, la diversification de portefeuille, les relativement faibles frais de gestion, les montants modestes d’investissement pour accéder à ces fonds, la forte liquidité et la transparence.

Après qu’on leur ait présenté les avantages liés aux FNB, on leur demandait s’ils étaient enclins à ajouter ces produits à leur portefeuille à l’avenir, soit d’ici les trois prochaines années. En tout, 47 % des répondantes étaient prêtes à le faire et 31 % ignoraient si elles allaient le faire, par rapport à, respectivement, 55 % et 23 % des hommes sondés.

« Étant donné la probabilité que les investisseurs particuliers ajoutent des FNB à leur portefeuille ou augmentent leurs avoirs, il existe une occasion d’affaires importante pour les conseillers partout au pays », indique Lesli Martin, vice-président chez Pollara Strategic Insights.

Or, les personnes interrogées partagent les mêmes avis sur différentes affirmations qu’on leur a présentées lors du sondage. Ainsi, autant de répondantes que de répondants (76 %) jugent qu’on devrait en faire davantage pour éduquer les investisseurs canadiens sur les FNB. De plus, 50 % des sondés et 46 % des sondées estimaient que les FNB étaient le secret le mieux gardé du monde de l’investissement.

Fait intéressant, 61 % des femmes sondées se considèrent comme les principales preneuses de décision en matière d’investissement au sein de leur ménage et 39 % disent partager équitablement cette prise de décision avec quelqu’un d’autre. Pour les hommes répondants, ces proportions sont respectivement de 73 % et 27 %.

Par ailleurs, on ne peut exclure que l’écart entre les réponses des hommes et des femmes découle des différences socio-économiques entre chacun des échantillons. En effet, par rapport à l’échantillon de répondantes, l’échantillon d’hommes sondés comprenait davantage de gens ayant 55 ans ou plus, qui ont 400 000 $ ou plus à investir dans leur portefeuille et de personnes faisant partie d’un ménage qui gagne 100 000 $ ou plus. Les répondants faisant partie de ces trois sous-groupes étaient en général plus susceptibles de posséder des FNB et, donc, d’en connaître les caractéristiques et les avantages.

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Les riches pensent aussi que les faibles frais des FNB sont leur principal avantage https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/les-riches-pensent-aussi-que-les-faibles-frais-des-fnb-sont-leur-principal-avantage/ Tue, 31 Mar 2020 19:44:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=65320 FOCUS FNB – À l’instar des autres investisseurs de détail canadiens, les investisseurs de détail ayant plus d’un million de dollars à investir jugent que les relativement faibles frais de gestion des fonds négociés en Bourse (FNB) sont leur avantage le plus important.

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C’est ce que démontre un sondage Pollara Strategic Insights qui a été réalisé auprès de 1500 répondants canadiens pour le compte de Placements Mackenzie.

Dans cette étude, on a demandé aux répondants d’identifier, parmi une liste d’avantages des FNB, lequel ils considèrent comme étant le plus important. Cette liste comprenait l’efficience fiscale, la diversification de portefeuille, les relativement faibles frais de gestion, les montants modestes d’investissement pour accéder à ces fonds, la forte liquidité et la transparence.

En tout, 34 % des répondants ayant un portefeuille de plus d’un million de dollars (M$) ont désigné les faibles frais et 22 %, la diversification de portefeuille, ces deux choix étant ceux les plus populaires pour cette cohorte. L’efficience fiscale figure au troisième rang, avec 8 % des répondants l’ayant désigné comme principal avantage. De plus, 27 % ne savaient pas quoi répondre.

Les répondants ayant moins de 1M$ à investir ont quant à eux été plus nombreux à désigner la diversification de portefeuille comme l’avantage principal des FNB, suivie des faibles frais de gestion.

Par exemple, chez les répondants dont le portefeuille est de 500 000 $ à 999 000 $, 31 % ont identifié la diversification de portefeuille comme le principal avantage, et 24 %, les faibles frais. L’efficience fiscale arrive au troisième rang (11 %) et 25 % n’ont pas su quoi répondre.

Ces résultats laissent entendre que les clients ont associé FNB et faibles frais. Un conseiller qui souhaite développer une offre de services vers des portefeuilles à faibles coûts aurait donc la tâche plus facile s’il y incorpore des FNB.

Également, la proportion élevée de clients qui ne savaient pas quoi répondre à cette question laisse croire que plusieurs clients ont encore besoin d’éducation sur les FNB.

« Plus les investisseurs particuliers connaissent et comprennent les FNB, plus ils sont susceptibles de vouloir investir en les utilisant », indique Lesli Martin, vice-président chez Pollara Strategic Insights.

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Les investisseurs en FNB : bien informés et indépendants https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/les-investisseurs-en-fnb-bien-informes-et-independants/ Tue, 04 Feb 2020 20:11:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=63815 FOCUS FNB - Analyse en profondeur de la personnalité de l’investisseur en FNB.

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L’essor des fonds négociés en Bourse (FNB) ces dernières années reflète une modification des comportements dans le marché de l’investissement de détail au Canada.

Les investisseurs de détail qui ont adopté les FNB ont tendance à être moins fidèles à leurs conseillers et à les remettre davantage en question que les détenteurs de fonds communs de placement. Ils ont tendance à être mieux informés. Ils sont plus conscients de l’impact des frais et plus sensibles aux prix. Par ailleurs, ils sont plus à l’aise avec l’investissement autonome en ligne.

Pollara Strategic Insights, de Toronto, a effectué un sondage d’opinion, parrainé par l’Institut des fonds d’investissement du Canada (IFIC) et publié en septembre 2019, dont les résultats documentent ces tendances. Pour la première fois depuis la création en 2006 de ce sondage annuel, Pollara a interrogé des investisseurs en FNB tout comme des détenteurs de fonds communs de placement. Au total, 500 investisseurs en FNB et 1024 investisseurs en fonds communs de placement ont participé aux entretiens téléphoniques menés de la fin mai à la mi-juin.

Pollara a constaté que les investisseurs en FNB ont des préférences plus larges quant aux types de fonds d’investissement qu’ils détiennent. Parmi les investisseurs en FNB sondés, 66 % détenaient également des fonds communs. Par contre, seulement 19 % des répondants détenant des fonds communs possédaient aussi des FNB. Le sondage a également montré qu’il existe de grandes possibilités de croissance des ventes pour les manufacturiers de FNB. Un quart des investisseurs en fonds communs sondés prévoient augmenter leurs participations en FNB. Il faut noter également un écart entre les sexes : les hommes ont en général davantage confiance dans les FNB que les femmes.

Toutefois, les conseillers ne devraient pas supposer que les plus jeunes investisseurs, qui sont en général plus à l’aise avec la technologie et dont les manières d’investir sont moins ancrées, sont plus réceptifs aux FNB que les baby-boomers. Il est faux de croire que ce sont seulement les plus jeunes qui vont sur Internet et qui préfèrent les FNB, dit Lesli Martin, vice-présidente, relations publiques chez Pollara. Alors que 22 % des investisseurs en FNB sondés avaient moins de 35 ans, c’était le cas de 20 % des investisseurs en fonds communs. Vers l’extrémité la plus âgée du spectre démographique, 43 % des investisseurs en FNB avaient 55 ans ou plus, alors que 49 % des investisseurs en fonds communs se situaient dans cette tranche d’âge.

« La différence n’est pas énorme », remarque Lesli Martin.

Parmi les investisseurs qui ont un conseiller, on constate des niveaux de satisfaction plus ou moins semblables chez les détenteurs des deux types de structures de fonds. Ainsi, de ceux qui se sont dits satisfaits ou totalement satisfaits de leur conseiller, 81 % étaient des investisseurs en fonds communs, et – pourcentage plus fort –, 91 % détenaient des FNB. « Les investisseurs en fonds communs et les investisseurs en FNB démontrent des degrés de confiance très élevés dans le conseil qu’ils reçoivent, dit Ian Bragg, directeur, Recherche et statistiques, à l’IFIC. De plus, les investisseurs en FNB et les investisseurs en fonds communs attribuent une valeur quasi aussi importante à leur conseiller. »

Toutefois, les investisseurs en FNB étaient beaucoup plus susceptibles d’être des investisseurs autonomes que les investisseurs en fonds communs, et moins susceptibles de reconnaître la valeur de leur conseiller. « La façon dont ils font l’acquisition de leurs produits est une des principales différences [entre ces deux types d’investisseurs] », dit Ian Bragg. L’un des résultats du sondage qu’il a noté montre que 80 % des plus récents achats de fonds communs étaient faits par l’intermédiaire de conseillers, alors que seulement 46 % des achats de FNB étaient faits par l’intermédiaire de conseillers. Le groupe des investisseurs autonomes a également tendance à posséder plus de connaissances en investissement et à faire davantage confiance à l’utilisation du courtage en ligne.

Bien que les méthodes de livraison électronique soient de plus en plus acceptées, le sondage a indiqué que les conseillers en placement en ligne, également connus sous l’appellation robots-conseillers, ne sont pas largement acceptés. Seulement 18 % des investisseurs en FNB et 16 % des investisseurs en fonds communs ont dit à Pollara qu’ils étaient susceptibles ou très susceptibles d’utiliser un robot-conseiller.

Néanmoins, ce faible niveau d’acceptation laisse entendre que la part de marché des robots-conseillers poursuivra sa croissance. À la mi-2019, les actifs sous gestion du robot-conseil au Canada totalisaient 5,9 G$, soit une hausse de 88 % par rapport à l’année précédente, selon le rapport « Fintech Advisory Service » publié par Investor Economics.

La popularité croissante des FNB a mené la plupart des principales sociétés de fonds, et de nombreuses sociétés de fonds moins importantes, à offrir des choix entre les deux structures. Manufacturiers de FNB et manufacturiers de fonds communs, c’est de plus en plus du pareil au même. Ainsi, en décembre 2019, selon l’IFIC, 28 manufacturiers de fonds communs offraient également des FNB.

Placements iA Clarington, de Toronto, est l’une des sociétés de fonds qui a récemment développé son offre de FNB. Elle a créé des séries en FNB à partir de trois de ses fonds communs – les séries en FNB ayant le même actif sous-jacent que les autres séries de fonds communs – en octobre 2018, et en a ajouté trois de plus en novembre 2019.

« Si elle ne l’a pas encore fait, presque chaque société de fonds importante va dire : “Pourquoi voudrait-on fermer la porte à l’investisseur en FNB ?”, dit Adam Elliott, vice-président principal et directeur national des ventes chez Placements iA Clarington. Ce n’est pas un choix à faire entre deux possibilités qui s’excluent. Ceci peut nous rendre accessibles aux deux types de clients. »

L’opinion du client prend davantage d’importance ces dernières années, dit Adam Elliott, ce qui concorde avec les résultats du sondage de Pollara. « Nous avions l’habitude d’entendre les conseillers dire souvent : “Mon client se tourne vers moi pour que je lui fasse des recommandations en matière de placement, alors c’est moi qui tiens le volant”, dit-il. Mais nous entendons de plus en plus souvent, particulièrement de la part des investisseurs en FNB, qu’une grande partie de l’activité est axée sur le client et que celui-ci dit : “Je veux des FNB” et tout aussi souvent : “Je ne veux pas de fonds communs”. »

Le rapport sur les ventes de fonds d’investissement de l’IFIC 2019, confirme que les ventes nettes de FNB ont dépassé les ventes nettes de fonds communs pour la deuxième année de suite, et ce, avec une marge considérable. En effet, selon ce rapport, les ventes nettes de fonds communs de placement ont atteint 16,9 G$ en 2019, et les ventes nettes de FNB ont atteint 27,9 G$. Après 2008, 2009 et 2018, l’année 2019 a été la quatrième année civile où les ventes nettes de FNB ont dépassé celles de fonds communs de placement.

Un des défis pour les conseillers vient du fait que les périodes de détention des FNB peuvent être plus courtes que celles des fonds communs, puisqu’il n’existe aucun effet dissuasif significatif aux transactions fréquentes. À la différence des fonds communs, il n’y a pas de frais pour les opérations à court terme avec les FNB. « Si nos activités en FNB continuent à s’effectuer principalement par l’intermédiaire des conseillers, espérons que les conseillers insisteront sur le fait que négocier fréquemment des titres, des FNB ou des actions n’est généralement pas judicieux », dit Adam Elliott.

L’augmentation du choix de structures de produits dans le secteur des fonds de détail ne se limite pas exclusivement à la création de FNB. Evolve Funds Group, de Toronto, qui a fait son entrée dans le marché des FNB en septembre 2017, a lancé la première série de fonds communs de ses fonds en avril 2019.

« Personnellement, je crois que l’avenir appartient aux FNB, dit Raj Lala, président et chef de la direction d’Evolve Funds Group. Mais nous avons créé une catégorie de fonds communs, parce que nous voulons permettre aux gens d’accéder à la structure avec laquelle ils sont beaucoup plus à l’aise. » Tout en remarquant que la plupart des courtiers en fonds communs de placement ne peuvent pas vendre des FNB, Raj Lala affirme que certains courtiers en valeurs mobilières préfèrent utiliser les fonds communs parce qu’ils n’aiment pas composer avec les écarts entre le cours acheteur et le cours vendeur et que leurs clients n’ont pas besoin de liquidité d’échange intrajournalière.

En offrant le choix entre les structures de fonds, dit Raj Lala, les sociétés doivent assurer que les frais de gestion des parts de fonds communs à honoraires ne sont pas plus élevés que ceux des parts de FNB. « La plupart des courtiers n’approuveraient même pas les fonds communs s’il existait une catégorie de FNB qui facturait des frais plus bas que les fonds communs [de catégorie F]. »

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