Cette enquête illustre que les hommes représenteraient les deux tiers des investisseurs en ligne, mais les données recueillies auprès des répondantes femmes démontrent qu’elles sont plus nombre à avoir l’intention « d’ouvrir un compte de courtage en ligne bientôt ».

Calvin MacInnis, président, Placements directs TD est d’avis que le passage à la technologie numérique continuera d’être le moteur de la croissance du placement en ligne.

« Malgré l’utilisation croissante du courtage en ligne, cela ne signifie pas que les gens n’ont plus besoin de services. Un peu plus de la moitié des investisseurs nous ont confié qu’ils demandent encore l’aide d’un conseiller ou d’un comptable lorsqu’il s’agit de gérer au moins une partie de leurs placements », indique toutefois Calvin MacInnis.

Le sondage de la TD révèle aussi qu’un quart des gens qui n’investissent pas en ligne disent que c’est parce qu’ils ne possèdent pas les connaissances suffisantes.

Tony Ierullo, VPA, Stratégie et développement de produits, Placements directs TD souligne qu’il n’est pas nécessaire d’être riche pour investir en ligne : « La recherche sectorielle a aussi montré que les gens qui ont moins de 100 000 $ d’actif sont, en fait, les plus enclins à planifier l’ouverture d’un compte de courtage en ligne. Nous avons d’ailleurs récemment établi un taux de commission fixe de 9,99 $ par opération en ligne au Canada et aux Etats-Unis. »